Auteur Sujet: Prix de l'électricité négatifs, une menace pour les producteurs  (Lu 6999 fois)

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alain_p

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Prix de l'électricité négatifs, une menace pour les producteurs
« Réponse #60 le: 15 mai 2024 à 22:38:16 »
Vu la baisse des prix, vaut-il mieux prolonger les anciens réacteurs nucléaires, très rentables, ou en construire de nouveaux, difficilement rentabilisés ?

Le Figaro a sorti un article, d'Etienne Bertier, ancien secrétaire général d'EDF, évoquant ce problème de baisse des prix (éventuellement négatifs), et concluant que pour EDF cela pose question, que construire de nouveaux EPR(2) très chers, qui ne pourront peut-être jamais être rentabilisés avec des prix nécessaires de 100 € le MWh, et que l'option pour EDF serait de maintenir le plus longtemps possibles les réacteurs actuels, déjà rentabilisés, jusqu'à éventuellement 80 ans.

Mais je pense que ce serait très risqué, car tous les réacteurs sont pratiquement du même âge, et ne sont pas à l'abri du même défaut qui apparaitrait partout, comme cela a été le cas de la corrosion sous contrainte, qui obligerait à les arrêter, soit pour une grosse maintenance, soit même pour définitivement si impossible à réparer (exemple fissures de la cuve). Et aussi, ce serait perdre complétement les compétences dans la construction de nouvelles centrales nucléaires.

De plus, il faudra bien arrêter un jour ces réacteurs, et il vaudra mieux en avoir de prêts à ce moment là (ou compter sur une 4eme génération comme les réacteurs à sels fondus ?), ce qui est plutôt aléatoire.

«Les prix de l'électricité baissent : une chance pour la France, un dilemme pour EDF»

Par Etienne Bertier - le 16/05/2024

FIGAROVOX/TRIBUNE - L'entreprise publique doit garder son rang de leader mondial et incontesté du nucléaire. Pour ce faire, il préconise de remettre sur pied nos centrales, explique Étienne Bertier, ancien secrétaire général d'EDF.

8 milliards d'euros ! C'est le montant de la commande record qu'EDF a passé fin avril à sa filiale Framatome pour la mise en chantier des cuves des six futurs EPR du nouveau programme nucléaire français. Un montant colossal par lequel EDF veut prouver son engagement en faveur du nouveau nucléaire pour des centrales qui ne seront couplées qu'en 2040, au mieux !

Mais faut-il vraiment se hâter ? Peut-être pas, car depuis dix-huit mois les prix de gros de l'électricité… s'effondrent. Des hauteurs stratosphériques qu'ils avaient atteintes (plus de 1000 euros le mégawatt-heure en août 2022), les prix de gros ont fondu depuis (entre 70 et 80 euros le mégawatt-heure) !

....
Frottons-nous les mains ! Les ménages vont profiter de cette baisse et retrouver du pouvoir d'achat, du moins si les fournisseurs indépendants et Enedis jouent le jeu et que l'Etat n'augmente pas les taxes sur l'électricité.

Les PME vont respirer et réembaucher. Mais surtout de nouvelles usines vont pouvoir sortir de terre en Europe sous la baguette magique de la fée électricité qui leur offrira son courant à des conditions compétitives.

Bercy a bien compris qu'il y avait là un atout unique en faveur de la réindustrialisation de la France, qui demande à EDF de signer des contrats à long terme avec ses grands clients. Bruno Le Maire fronce même les sourcils devant le peu de contrats signés entre les industriels et l'opérateur public.

Pour EDF l'équation est délicate. De l'aveu d'EDF et de l'avis général, un prix de gros de 70 euros par mégawatt-heure permet à EDF d'être rentable (la CRE par exemple évalue le coût complet du nucléaire existant à 60 euros). C'est sur ce prix de 70 euros que l'Etat et EDF ont basé l'accord de novembre 2023 dit de «market design» qui doit permettre de mettre fin au système de l'Arenh, spoliateur pour EDF. Mais le coût du nouveau nucléaire est, lui, bien supérieur. Sans doute nettement au-delà de 100 euros (si l'on en croit les chiffres des projets de centrales nucléaires d'EDF au Royaume Uni). Or EDF s'apprête à construire au moins six nouvelles tranches nucléaires (l'EPR2), éventuellement suivies par huit autres. Ces centrales, même à l'état de projet, tireront, elles aussi, les prix vers le bas. Dilemme : pour construire il faut financer et pour financer il faut des prix élevés, or construire de nouveaux réacteurs contribuera à faire baisser les prix.

Aujourd'hui EDF prévoit d'investir sensiblement les mêmes sommes dans les nouveaux EPR2 et dans la prolongation de son parc. 70 milliards dans les deux cas ! Mais ces 70 milliards seraient investis beaucoup plus rapidement dans le programme de construction des nouvelles centrales ERP2 que dans la prolongation du parc, opération dite du «grand carénage» qui se finance au fil du temps. Et cela malgré le fait que le retour sur investissement d'un euro investi dans la prolongation des centrales existantes soit bien supérieur à celui d'un euro investi dans une nouvelle centrale. C'est d'ailleurs ce qui avait été pointé dès 2014 par la commission d'enquête parlementaire présidée par le député PS François Brottes.

Une vision objective du marché devrait donc conduire EDF à privilégier le grand carénage ceci afin que les centrales françaises atteignent les 60 ans de durée de vie souhaitée par la Commission de régulation de l'électricité et EDF, voire les 80 années d'exploitation que sont en train d'obtenir plusieurs centrales aux États-Unis. Et à prendre son temps pour lancer les nouvelles centrales dont les coûts de production seront plus chers que le prix du marché. Un tel scénario aboutirait sans doute à contenir la dette d'EDF alors qu'aller à toute vapeur vers le nouveau nucléaire la fera s'envoler. Dans un pays surendetté comme le nôtre, est-il raisonnable de laisser s'envoler la dette d'EDF, assimilable, depuis la renationalisation à 100%, à la dette publique.

De 1974 à 1985, le France s'était équipée de 58 réacteurs nucléaires faisant d'EDF le premier électricien du monde ! L'entreprise publique doit garder son rang de leader mondial et incontesté du nucléaire. Chacun en convient. Et pour cela il faut construire de nouvelles centrales. Certes ! Seulement, cette fois, il faut se hâter comme la tortue ; lentement !


https://www.lefigaro.fr/vox/economie/les-prix-de-l-electricite-baissent-une-chance-pour-la-france-un-dilemme-pour-edf-20240515

Une remarque : la mise en service de l'EPR de Flamnaville, de puissance 1.6 GW, dans un contexte de surproduction, risque aussi de peser sur les prix.
« Modifié: 18 mai 2024 à 12:09:01 par alain_p »

Mogette

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Prix de l'électricité négatifs, une menace pour les producteurs
« Réponse #61 le: 18 mai 2024 à 11:55:03 »
Comme pour le carburant, les baisses se font attendre pour les particuliers. J'espère que cette baisse va être répercuter rapidement.  :)

thierry68

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Prix de l'électricité négatifs, une menace pour les producteurs
« Réponse #62 le: 18 mai 2024 à 15:29:52 »
C'est fait depuis hier pour mon contrat chez le fournisseur à la pieuvre rose alors que j'étais déjà client depuis fin 2023: maintenant pendant 1 an 1∕2 j'ai -22% HTT garanti au lieu de -17% par rapport au tarif régulé.
J'ai un lien de parrainage si vous voulez en MP (est-ce autorisé?)

PeGGaaSuSS

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Prix de l'électricité négatifs, une menace pour les producteurs
« Réponse #63 le: 18 mai 2024 à 17:27:06 »
Donne au moins le nom, je serais curieux de voir si c'est effectivement moins cher.

thierry68

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Prix de l'électricité négatifs, une menace pour les producteurs
« Réponse #64 le: 18 mai 2024 à 18:20:44 »
Octopus
Edit: Octopus Energy

alain_p

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Prix de l'électricité négatifs, une menace pour les producteurs
« Réponse #65 le: 18 mai 2024 à 21:48:53 »
Comme pour le carburant, les baisses se font attendre pour les particuliers. J'espère que cette baisse va être répercuter rapidement.  :)

C'est vrai que ces prix négatifs, ou très bas, en journée, vont inciter les consommateurs à réclamer leur part dans cette baisse. Alors que les prix depuis plusieurs années ont beaucoup augmenter. Ce qui va bien embêter EDF, qui a d'une part à se refaire de son énorme perte de 17.9 milliards d'euros en 2022, l'Etat lui ayant fait porter le poids du bouclier tarifaire, avant de la nationaliser, financer son énorme dette de 54 milliards d'euros, qu'il a réduite de 10 milliards d'euros grâce à son bénéfice du même montant en 2023. Il doit aussi financer le grand carénage des réacteurs qui arrivent à 40 ans, 70 milliards d'euros, et financer les nouveaux EPR, 70 milliards aussi. Et avec la concurrence des fournisseurs alternatifs, qui vont recommencer à pouvoir acheter des lots d'électricité à pas cher...

En tout cas, selon les Echos, la Commission de Régulation de l'Energie (CRE) aurait demander à Enedis de revoir la programmation des heures creuses, pour la faire porter de la nuit, traditionnellement où il y avait une moindre consommation, vers la journée, 10h-17h, là où se situe la pointe de la production du solaire. Mais c'est vrai surtout en été, beaucoup moins en hiver.

Electricité : vers la révolution des « heures creuses »

La Commission de régulation de l'énergie engage Enedis à remettre à plat le maquis des « heures creuses » dans les grilles tarifaires. Plus incitatives pour déplacer les consommations des ménages, elles devront aussi coller aux heures de pic de production solaire qui perturbent de plus en plus les marchés en Europe.

Par Sharon Wajsbrot - Publié le 17 mai 2024 à 06:02Mis à jour le 17 mai 2024 à 06:03

Faire tourner sa machine à laver ou brancher son véhicule électrique la nuit risque bientôt de ne plus être un gage d'économies pour les ménages.

Confronté à une croissance inédite du solaire photovoltaïque et aussi des montants à déployer pour financer les investissements dans les réseaux, la Commission de régulation de l'énergie (CRE) a demandé à Enedis d'engager un vaste chantier : la remise à plat du régime des « heures pleines, heures creuses ».

Le solaire change la donne

Utilisés par 15 millions de Français, ces prix préférentiels de l'électron, accessibles avec un tarif réglementé de l'électricité ou sans, permettent en théorie de faire baisser sa facture lorsque les consommations sont concentrées aux heures les moins tendues sur le réseau électrique national.

Mais voilà, ce système, conçu à l'origine pour mettre à profit l'électricité nucléaire très abondante pendant la nuit - l'industrie étant souvent à l'arrêt -, est désormais largement en décalage avec la nouvelle réalité du marché.

Les réacteurs nucléaires s'ajustent quasiment systématiquement à la demande d'électricité désormais et c'est la production solaire, très abondante en début d'après midi, qui est compliquée à évacuer. En atteste l'occurrence de plus en plus régulière des prix négatifs sur les marchés , comme le week-end du 11 mai en France ou ailleurs en Europe.

« On a tous appris que l'électricité était moins chère la nuit mais le photovoltaïque qui arrive de façon très abondante en Europe crée un changement de rythme dans le système électrique tout entier », résume Yannick Jacquemart, directeur nouvelles flexibilités chez RTE, le gestionnaire du réseau de transport d'électricité.

Des tarifs peu lisibles

Ces « heures creuses » sont en outre souvent peu lisibles pour les consommateurs. Chez Enedis, dix régimes de tarification différents cohabitent, avec parfois des plages de huit heures creuses consécutives pendant la nuit et parfois des plages discontinues la nuit et le jour…

Surtout, ces heures « discountées » ne sont pas assez incitatives pour provoquer un décalage massif des consommations des ménages. Or, prendre de telles habitudes risque de devenir critique si l'on veut éviter une flambée des pics de consommation électrique dans les années à venir, avec l'essor attendu des voitures individuelles électriques, des pompes à chaleur, etc.

Ces dernières années, l'évolution des prix de l'électricité a parfois créé des situations où les clients devaient concentrer 50 à 60 % de leurs consommations pendant ces heures « creuses » pour obtenir un rabais sur leur facture. « Désormais, on est revenu à un niveau de 30 % mais on aimerait stabiliser ce seuil », explique-t-on, au sein du régulateur de l'énergie.


https://www.lesechos.fr/industrie-services/energie-environnement/electricite-vers-la-revolution-des-heures-creuses-2095345

alain_p

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Prix de l'électricité négatifs, une menace pour les producteurs
« Réponse #66 le: 29 mai 2024 à 23:08:33 »
Blocage des investissements sur les barrages à cause contentieux avec l'Europe : initiative de députés

On parlait il y a quelques semaines du blocage des investissements sur les barrages, suite à un contentieux avec la communauté européenne, qui oblige à les ouvrir à a concurrence, ce que refuse la France.

Les Echos ont sorti un article avant hier disant que certains députés veulent lancer une mission d'information pour essayer de débloquer la situation. Ils estiment que investissements permettraient de gagner 10% de production (2 à 3 GW).

Barrages hydroélectriques : les députés veulent sortir d'une impasse qui dure depuis dix ans

Les députés lancent une mission d'information pour trouver une issue à un contentieux juridique vieux de dix ans qui oppose Paris et Bruxelles et empêche tout nouvel investissement dans l'hydroélectricité en France.

Par Sharon Wajsbrot - Publié le 27 mai 2024 à 07:01Mis à jour le 27 mai 2024 à 10:49

C'est un sujet sans cesse repoussé et pourtant éminemment stratégique pour la souveraineté énergétique que les députés veulent mettre à l'agenda du gouvernement : l'avenir du régime juridique des barrages hydroélectriques français.

Mise en demeure par la Commission européenne en 2015 puis à nouveau en 2019, pour ouvrir à la concurrence les concessions d'exploitation de ses barrages, la France a jusqu'ici refusé d'obtempérer. De sorte qu'aucun investissement majeur ne peut aujourd'hui être consenti dans ces centrales pourtant en théorie capables de produire 10 % de plus que les 26 gigawatts aujourd'hui disponibles.

Une loi de programmation énergie abandonnée

« Ce dossier a trop souvent été tout en bas de la pile, il doit être mis tout en haut de l'agenda européen », estime Antoine Armand, le député Renaissance de Haute-Savoie, qui a été également rapporteur de la commission d'enquête sur les raisons de la perte de souveraineté énergétique française .

Pour en convaincre l'exécutif qui avait inscrit au sein de son projet de loi sur la programmation énergétique une disposition pour sortir de cette impasse mais qui s'est finalement ravisé puisque ce projet de loi a été abandonné, Antoine Armand et la députée socialiste, Marie-Noëlle Battistel, ont mis sur pied une mission d'information consacrée aux modes de gestion et d'exploitation des installations hydroélectriques, dans le cadre de la commission des affaires économiques de l'Assemblée nationale.

« Nous ne voulons pas faire un nième rapport sur le sujet mais bien trouver une solution qui fonctionne pour aboutir, dès l'automne prochain, à la mise en oeuvre de cette solution dans la loi », expliquent les deux députés. En clair, faire aboutir un dossier enlisé depuis près de dix ans.

Un consensus jusqu'ici impossible

Pour cela, ces derniers ainsi que les députés RN, PS, LFI, LR, Modem ou encore Ecologistes qui participent à cette mission devront trouver le chemin d'un consensus jusqu'ici impossible.

Ces dernières années, l'idée de placer ces actifs dans une quasi-régie pour éviter leur remise en concurrence a été écartée par l'exécutif. En cause : les conséquences sur l'organisation d'EDF que le gouvernement a promis de ne pas démanteler.

Sur ce sujet, les députés n'ont pas bougé d'un iota. « Nous avons deux lignes rouges : aucune remise en concurrence et aucune désintégration du groupe EDF », pointe Marie-Noëlle Battistel.

Une alternative a été mise sur la table : l'exploitation de ces barrages non plus via un régime de concessions mais grâce à un régime d'autorisations. L'exercice implique toutefois des transferts d'actifs majeurs de l'Etat vers EDF et pose aussi de sérieuses difficultés juridiques vis-à-vis des règles de libre concurrence.

« Les derniers échanges que j'ai eus avec la Commission tendaient à conclure qu'il n'existait pas de chemin juridique pour faire fonctionner le mécanisme de bascule en autorisation », a récemment reconnu l'ancien directeur de cabinet adjoint de la ministre de l'Energie, Pierre Jérémie, lors d'une audition au Sénat


https://www.lesechos.fr/industrie-services/energie-environnement/barrages-les-deputes-veulent-sortir-dune-impasse-qui-dure-depuis-dix-ans-2097120

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Prix de l'électricité négatifs, une menace pour les producteurs
« Réponse #67 le: 30 mai 2024 à 11:25:47 »
Pourquoi les peuples ne votent pas ce qui se passe à Bruxelles sans des élus qui ne font les choses que dans leurs propres intérêts influencés et payés par des lobbys ?

On pourrait voter les budgets, ce que l'Europe doit gérer ou non, décider de poursuivre les truands qui opérèrent depuis 80 ans à nous pourrir la vie et à progressivement nous retirer notre souveraineté en forçant la concurrence faussée qui devient une menace quelques années après pour chaque pays.

C'est quand qu'on décide que tout ce cirque qui nous pousse à la guerre par des décisions anti-peuples répétées est neutralisé ?

Enfait l'Europe c'est la gardienne d'un immeuble qui fait sa loi dans les communs et dans les logements, décide de qui peut entrer et qui est refusé, qui doit payer pour réparer les communs salopés par d'autres, qui oblige à avoir ta porte et tes rideaux de telles couleurs, qui t'explique que même si tu n'es pas d'accord des extérieurs à l'immeuble sont autorisés à dealer de 10h à 5h, qui décide sans ton consentement qu'il faut installer un store devant chacune de tes fenêtres et à tes frais, qui décide seule que l'eau chaude c'est max 10 min par jour et par habitants sur bail et que si tu n'es pas content, tu peux te casser et avant de partir t'aligne des infractions qu'elle a elle même décidées dans la nuit !

Oui c'est à peut prêt ça l'Europe -> la dictature dans toute sa splendeur !

Free_me

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Prix de l'électricité négatifs, une menace pour les producteurs
« Réponse #68 le: 30 mai 2024 à 11:51:04 »
tu fais expres de te faire passer pour un debile ? l'europe ne decide rien dans son coin, on vote pour les mecs qui decident, dans pas longtemps

Apres pour les barrages c'est pas parce que juste la france ca nous fait chier, alors que dans aucun autre pays ca ne pose de probleme que le petit barrage au fond de la valée appartienne a la famille qui habite dans la valée, que ca veut dire que c'est aux autres de changer et de faire comme nous hein.
Et pourquoi ca nous fait chier ? bah parce que la CGT va pleurer dans la rue qu'on dementele EDF en disant que c'est la fin du monde et qu'on va tous mourir....

xp25

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Prix de l'électricité négatifs, une menace pour les producteurs
« Réponse #69 le: 30 mai 2024 à 13:16:40 »
Apparemment, la lecture et la compréhension de texte n'est pas donnée à tout le monde et bien sûr ça vote et insulte les autres ::)

Mogette

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Prix de l'électricité négatifs, une menace pour les producteurs
« Réponse #70 le: 31 mai 2024 à 17:33:23 »
Reste à savoir quand est ce que ce sera répercuté sur le kwh des particuliers.

jerome34

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Prix de l'électricité négatifs, une menace pour les producteurs
« Réponse #71 le: 31 mai 2024 à 17:40:30 »
Apparemment, la lecture et la compréhension de texte n'est pas donnée à tout le monde et bien sûr ça vote et insulte les autres ::)

Et la modération tolère ces individus, au mieux bizarre. ::)
Reste à savoir quand est ce que ce sera répercuté sur le kwh des particuliers.

Reste à savoir quand est ce que ce sera répercuté sur le kwh des particuliers.

Pas avant le printemps 2025.

Il faut que les tarifs de l'électricité baisse. 25 Centimes du Kwh sur du TRV, c'est honteux.

A contrario, on peut observer qu'avec cette hausse des tarifs, TEMPO offre tout son intérêt.
Jamais compris pourquoi EDF n'a pas basculé ses clients en EJP vers TEMPO. ON rappelle quand même que cette offre ne peut plus être souscrite depuis.... 1998 ! :o