Auteur Sujet: Turquie : Photos de la préparation d'un avion à l'aéroport de Milas-Bodrum  (Lu 10485 fois)

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vivien

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Turquie : Photos de la préparation d'un avion Onurair à l'aéroport de Milas-Bodrum

Je reviens d'un voyage en Turquie. J'ai pu prendre des photos de la préparation de mon avion (un vol charter affrété par Marmara) à l'aéroport de Milas-Bodrum, je vous partage ces quelques photos. Ce ne sont pas moins d'une vingtaine de personnes qui vont remplir chacune des taches bien précises pendant les 45 minutes où l'avion est présent.

L'avion arrive : 13 personnes attendent au pied de l'avion, tandis que d'autres ont pris place dans les différents véhicules qui vont intervenir.


Go : Chacun sa tache. 3 personnes vont mettre des cales sur les 6 roues de l'avion, un autre va mettre des plots autour de l'avion, un autre va ouvrir la soute, le deux personnes avec des gilets rouge semblent superviser le tout.


Vu générale avec en bas à gauche le camion qui va apporter la noriture à bord de l'avion et le petit train avec le nécessaire pour récupérer les valises dans la soute :

vivien

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Approche finale du soufflet pour entourer la porte avant de l'avion où les passagers vont descendre :


Installation sur la soute arrière du tapis qui va permettre de récupérer les bagages :


Après l'ouverture de la soute arrière, ouverture de la soute avant :

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Installation du tapis à bagage sur la soute avant et arrivée du petit train pour déplacer les bagages.

On note aussi l’arrivée du camion citerne qui va ré-aprovisionner l'avion en kérosène. L'utilisation du kérosène dans l'aviation est principalement dû à son fort pouvoir calorifique, qui autorise une plus grande autonomie à masse embarquée égale.

Derrière la camion citerne, la camion qui va ré-aprovisionner l'avion en nourriture + récupérer les déchets des passagers.


Certains bagages sont récupérés à la main, comme cette poussette :


Pour aller dans la soute, je trouve étrange qu'il n'y ait pas de moyen plus sécuriser que de marcher sur le tapis : Il y aura des dizaines d'aller -retour de personnes sur ce tapis qui n'est pas protégé contre une chute :

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Les chariot avec les bagages sont déplacés sur des courtes distances par la force humaine, comme le montre cette photo du premier chariot rempli qui est écarté de l'avion :


Arrivée du camion citerne de kérosène et du camion d'approvisionnement en nourriture près de l’avion :


Pour brancher le tuyau qui va remplir les réservoirs en kérosène (situés dans les ailes de l'avion), c'est un escabeau qui est utilisé :

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Le camion de nourriture s'est levé et est arrivé et est arrivé au niveau de la porte arriéré de l'Avion qui est encore fermée :


Ouverture de la porte arriéré :


Début de la livraison en kérosène et déjà 3 chariots remplis de valises. Il faut des muscles pour faire ce métier :

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Petite aparté pour montrer le camion qui approvisionne l'avion en nourriture sous un autre angle :


La livraison se fait avec des "trolet" :


Ce sont des chariots, assez étroits et de 1m de haut qui sont mis dans l'avion (et ceux vide de l'avion, sont récupérés) :

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La soute arrière est vide, ils passent à la soute avant :


Embouteillage autour de l'avion avec le départ de 3 chariots de bagages vers l'aérogare :





vivien

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L'avion a des resserves de nourriture à l'avant et a l’arriéré et le camion se place maintenant devant la porte avant pour échanger les chariots vide contre des chariots pleins :


Encore un chariot de valise tiré par la force humaine :


Pour information, la bouteille d'eau de 50cl est venue 3€, un petit sandwich basic (au choix jambon, poulet ou fromage) est venu 7€ et des plats chaud sont disponible à partir de 13€.

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Arrivée des bagages à charger dans l'avion (il repartira avec les 2 chariots des bagages retirés de la soute avant) :


Atterrissage d'un autre avion Onurair :


Fin de remplissage du kérosène :

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Voici un tracteur pour avion ou "push tracma". Il sert à tracter l'avion, via le train d'atterrissage pour le mettre sur la piste.

Vous remarquerez que le tube métallique pour le "push-back" est déjà accroché a train d'atterrissage avant de l'avion :


La marche arrière de l'avion via le tracteur est appelé "push-back".


Exemple :

vivien

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Voici un autre avion qui va décoller de l'aéroport de Milas-Bodrum.
Ils sont en train de retirer le tracteur au niveau du train d'atterrissage aprés que le tracteur ait fait le push-back.

Lors du push-back avec un tracteur, il y a toujours quelqu'un qui guide et après le pull back, il retire la prise fait un grand signe et tout va bien.


Le push-back se fait avec un conducteur de tracteur, un assistant en contact avec le pilote, un accompagnateur et un controleur à la tour. Les pilotes ne peuvent même pas voir le bout de leurs ailes.

C'est un modèle différent (pour les plus gros avions ?) où le train d'atterrissage avant est monté sur le tracteur. Le poids de l'avant de l'avion doit permettre une meilleur adhérence à la route du tracteur.

Comme vous pouvez le voir la vue est limitée, d'où le besoin d'un guide :


L'avion poursuit avec ses moteurs la route en avant vers la piste pour décoller :


Pour le refoulement aux moteurs, sans tracteur, ce qui permet d'économiser 400€ à Orly, ne peut se faire qu'avec des avions avec les réacteurs montés en queue, comme le DC-9 car la hauteur des moteurs permet que rien ne soit absorbé. Sur tous les avions de ligne avec les moteurs montés sous les ailes sans exception, les reverse sont interdites au sol (en dessous de 60 KIAS - Knots Indicated Air Speed, soit la « vitesse air indiquée » exprimée en nœuds) pour effectuer un repoussage.

vivien

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