Auteur Sujet: Ondes, wifi et téléphonique un danger pour la santé...  (Lu 10237 fois)

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jrne

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Ondes, wifi et téléphonique un danger pour la santé...
« le: 30 août 2016 à 13:50:04 »
Hello j'ouvre un nouveau topic sur les ondes et la santé !

Rien de comparable avec les portables. Les usages ont changé. Les utilisateurs envoient plus de SMS et passent moins de temps l'oreille vissée au portable...
et les constructeurs se sont appliqués à fabriquer des téléphones moins nocifs. Bien insuffisant pour les associations environnementales et certains élus qui
exigent une meilleure information des consommateurs. Comme le précise Laurence Abeille, députée Europe Ecologie-les Verts, "la téléphonie mobile n'est
pas seule en cause, toute la technologie sans fil est concernée comme les téléphones, le wi-fi, et d'autres objets de la vie courante tels les micro-ondes,
les babyphones, certains nouveaux jouets ou même des appareils médicaux."

Aujourd'hui, la guerre se porte sur les antennes-relais. "Il n'y a pas eu suffisamment d'études épidémiologiques", estime Janine Le Calvez,
présidente de Priartem (Pour une Réglementation des Implantations des Antennes-Relais de Téléphonie mobile). "On peut toujours faire plus
de recherche. Mais je crains que la science ne soit au bout de ce qu'elle peut apporter, rétorque Anne Perrin, présidente de la section Rayonnements
 non ionisants de la SFRP (Société française de Radioprotection). Près de 2.600 études ont été publiées sur les effets des fréquences de téléphonie
et wi-fi. Désormais le terrain est déblayé. Comme pour les OGM, ce n'est plus une question scientifique, mais une question de société."
Insupportables propos pour les "anti-ondes" qui ont vite fait d'accuser certains scientifiques de travailler en sous-main pour les opérateurs.

Certes, le Pr Aurengo a bien été membre du conseil scientifique de Bouygues Telecom, "mais à titre bénévole", précise-t-il.
Sa position n'est, selon lui, liée à aucune compromission. L'académicien comme Anne Perrin et bon nombre de leurs confrères sont catégoriques.
Pour eux la méthodologie des essais cliniques est infaillible et ils savent - c'est leur métier - distinguer les bonnes études des mauvaises.
 Au nom du progrès scientifique, ils sont aussi pro-nucléaire, pro-OGM et pro-gaz de schiste. Pour eux, les électrosensibles ont développé une "phobie des ondes"
qui s'est propagée dans la société comme les rumeurs.

Electro-hypersensibles : fous ou vraiment malades ?

Pour étayer leur thèse, ils s'appuient sur les premiers résultats délivrés par l'étude nationale menée par
l'équipe du Pr Dominique Choudat à l'hôpital Cochin. Pourtant cette expérience risque de rester inachevée.
 Mécontentes du protocole mis en place, les associations environnementales ont en effet recommandé à leurs
 adhérents de la boycotter au motif que le questionnaire avait une approche plus psychiatrique que biologique.
 "Dans ces conditions, je ne sais pas si Cochin pourra aller jusqu'au bout de l'étude, regrette le neuropsychiatre Jean-Pierre Marc-Vergnes,
car elle a mis en observation davantage de sujets âgés. Ces patients consultent moins les sites des associations que les plus jeunes."

Le neuropsychiatre le regrette car il comptait s'appuyer sur ce groupe de patients pour mener sa propre étude sur les EHS (les électro-hypersensibles)
alors que l'objectif de Cochin était principalement de prendre les malades en charge. Comme beaucoup de médecins, le Pr Marc-Vergnes estime
 que l'on n'a pas encore pu prouver de lien direct entre l'hypersensibilité et les ondes. En revanche, il est certain que "ces patients ne relèvent
pas de la psychiatrie". Contrairement au sentiment qui a pu se dégager de reportages présentant comme des illuminés certains réfractaires aux ondes partis se cacher au fin fond de cavernes...

Cette pathologie affecte aussi les technophiles. Ainsi Veronika Giesecke, une très belle femme de 56 ans, dessinatrice et infographiste de formation,
n'est-elle plus capable de travailler sur un ordinateur que quelques heures par jour. Lorsqu'elle se rend dans le centre de Tours, où elle habite,
elle se déplace avec un voile de protection anti-ondes qui lui donne un air d'apicultrice. "J'adore les technologies, j'adore aller au cinéma avec des amis,
 et j'adore me maquiller. Me promener dans cet accoutrement ne m'amuse pas du tout, précise-t-elle. Je n'ai strictement aucune envie de quitter cette ville pour aller m'installer dans une grotte."

L'exemple de l'écrivain Jean-Yves Cendrey, qui publie le récit de son cauchemar dans son prochain roman intitulé "Schproum", est tout aussi effarant.
Stéphane Cagnot, fondateur de Dédale, une agence qui travaille sur les innovations urbaines et les enjeux de la ville verte et du numérique, a installé
dans son appartement de Charenton des rideaux pour protéger ses deux enfants de l'antenne-relais installée juste en face. En 2008, il a perdu son fils de 5 ans,
 atteint d'une leucémie. Il s'interroge sur la nocivité de cette antenne. Tous fous ? Tous désireux de mettre leurs angoisses sur le dos des ondes électromagnétiques ?
"Les fréquences ont un effet sur le corps humain"

Professeur de physique à l'université Pierre-et-Marie-Curie et membre de l'Académie des Sciences depuis 2000,
Pierre Encrenaz se méfie depuis toujours des téléphones portables et des antennes-relais. Depuis son bureau de l'Observatoire,
dans le 14e arrondissement de Paris, il pointe la tour Eiffel, en droite ligne devant lui : "Son rayonnement est très puissant."
 Sa défiance s'appuie notamment sur les découvertes d'Alim-Louis Benabid. Le neurochirurgien et biophysicien de Grenoble a
 inventé une méthode très particulière pour soigner les malades atteints de Parkinson. Elle consiste à implanter des électrodes
 dans la boîte crânienne permettant d'induire un courant électrique à haute fréquence (100 à 200 hertz). Une opération délicate et risquée.
 A ce niveau de fréquence, la stimulation a l'effet d'une lésion... ce qui supprime l'effet Parkinson. "C'est bien la preuve que les fréquences ont un effet sur le corps humain", souligne Pierre Encrenaz.

Aucune hésitation, en revanche, pour Fleur Pellerin. La ministre de l'Innovation et de l'Economie numérique
a torpillé la proposition de loi déposée par la députée verte Laurence Abeille en évoquant des "peurs irrationnelles".
L'ambitieuse ministre s'est faite le porte-voix des opérateurs soucieux de ne pas relancer la polémique des ondes en plein
 lancement de la 4G. Fin août, ils ont ainsi réussi à échapper à un débat embarrassant. Après trois années d'études,
le Copic, un comité opérationnel mandaté par le Grenelle des ondes en 2009, a calculé que pour se limiter au seuil recommandé
d'exposition de 0,6 volt maximum par mètre, il faudrait multiplier par trois le nombre d'antennes-relais. Or, si 90% du territoire,
selon le Copic, est situé en dessous du seuil de 0,7 volt/ mètre, 9% du territoire va jusqu'à 2,7 volts/mètre. "Impensable !"
pour Martin Bouygues. "On a déjà du mal à installer des antennes alors les tripler ! Cela augmenterait le coût et cela diminuerait
 la qualité du service offert." Aujourd'hui en France, on compte environ 150.000 antennes-relais.

La France a pris du retard
Les mesures de précaution ne sont pas du goût des opérateurs. Elles freinent les profits et angoissent inutilement les consommateurs. Mais ils savent aussi très bien qu'ils auraient encore plus à perdre dans des procès comme ceux de l'amiante ou du Mediator. C'est pourquoi ils financent la recherche et s'entourent de scientifiques. Mais leurs experts sont-ils crédibles ? Pierre Encrenaz plaide pour que les études soient désormais prises en charge par le public, afin de tordre le cou à tout soupçon de conflit d'intérêts.
La France paraît bien en retard : la Suède, l'Autriche et l'Allemagne reconnaissent que les pathologies attribuées aux ondes sont une véritable maladie. En 2002, puis en 2012, des milliers de praticiens allemands ont lancé l'appel de Fribourg, dénonçant le danger des ondes. Le pays d'Angela Merkel dispose d'un Office fédéral pour la protection contre les radiations (Bundesamt für Strahlenschutz) qui informe le public sur les précautions à prendre pour se protéger des rayonnements ionisants et optiques mais aussi des champs électro magnétiques.
En France, il a fallu attendre le 17 septembre dernier pour que le ministre de l'Ecologie, Philippe Martin, assure devant la commission des Affaires économiques de l'Assemblée nationale que le sujet des ondes serait un "axe prioritaire du gouvernement pour tout le quinquennat". Tellement "prioritaire" qu'il n'a pas été inscrit au menu de la seconde conférence environnementale qui s'est tenue trois jours plus tard...

extrait: http://tempsreel.nouvelobs.com/l-enquete-de-l-obs/20130930.OBS9058/portables-wi-fi-tablettes-les-vrais-dangers-des-ondes.html

Je fais mes recherches et je posterai bientôt d'autre article venant étayer ce fléau qu'est les ondes wifi sur notre santé
« Modifié: 30 août 2016 à 14:28:39 par jrne »

jack

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Ondes, wifi et téléphonique un danger pour la santé...
« Réponse #1 le: 30 août 2016 à 13:55:13 »
Corrector, t'as un émule;

jrne

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Ondes, wifi et téléphonique un danger pour la santé...
« Réponse #2 le: 30 août 2016 à 14:05:05 »
Il s'agit d'un sujet sérieux, ! ... Il est impensable de trouver cela idiot ou de poster n'importe quoi !

Nico

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Ondes, wifi et téléphonique un danger pour la santé...
« Réponse #3 le: 30 août 2016 à 14:07:55 »
Renvoyer vers un article qui cite M. Belpomme ça fait pas très sérieux :D. Quel charlatan...

Et blague à part, un pavé comme ça c'est illisible.

jack

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Ondes, wifi et téléphonique un danger pour la santé...
« Réponse #4 le: 30 août 2016 à 14:09:21 »
Il s'agit d'un sujet sérieux, ! ... Il est impensable de trouver cela idiot ou de poster n'importe quoi !

Ha ben je n'ai fait que suivre l'exemple de ceux qui ont post avant moi  ;D

Nh3xus

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Ondes, wifi et téléphonique un danger pour la santé...
« Réponse #5 le: 30 août 2016 à 14:11:52 »
Quand je vois les sujets suivants :

(C'est un peu long à lire, mais ça en vaut clairement le détour)

Sujet 1 : https://lafibre.info/raccordement-immeuble/une-colonne-montante-ftth-aurait-ete-detruite-par-une-ehs/

Sujet 2 : https://lafibre.info/k-net-tv/un-reportage-sut-linstallation-de-la-captation-tv-par-k-net/msg242595/#msg242595

Je me dis qu'il faut parler de troubles psychologiques plutôt que d'électro-sensibilité....

jrne

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« Réponse #6 le: 30 août 2016 à 14:13:18 »
Autre extrait:

Ever since the invention of the wheel, scientific discoveries have underpinned human advancement. Yet most people have little understanding of the technologies they use every day, and harbour notions about them that have no scientific basis.
One myth gaining traction, for example, is that electromagnetic communication devices cause disease. I was reminded of this when delegates at last month’s convention of B.C. municipalities vigorously debated a resolution demanding a moratorium on BC Hydro’s wireless “smart meter” reading program. Seems none of the delegates knew they were using exactly the same WiFi technology when they turned on their laptops.
Politicians and regulators frequently come under pressure from ill-informed groups opposing a commercial venture, even when it’s clear it will have no discernible impact – environmental or otherwise. Consider the many proposals to bottle and sell water from four of B.C.’s remote coastal mountain streams. Although the amount of water involved is infinitesimal compared with flow volumes, and although the fresh-water streams go on to mingle with the salty Pacific, five environmental groups have demanded a full environmental assessment of “cumulative impacts.”

Politicians are prone to kneejerk decisions based on incomplete scientific analysis. A classic example is the ban on incandescent light bulbs. Calculations about energy savings from switching to compact fluorescent and halogen bulbs considered only the reduction in electricity use. That might be a acceptable in the southern U.S. and other warm regions, but it leads to erroneous conclusions in the Canadian climate. Heat given off by incandescent lighting offsets energy needed for space heating during our colder months. Our northern latitude gives us long days of sunlight in summer, further lessening the energy savings from fluorescent lighting.
Nor did the analysis used to justify banning incandescent lights examine the health and environmental impacts of mercury used in the manufacture of compact fluorescent bulbs. The federal government recently announced a two-year deferral of the phase out of incandescents, to the end of 2014, “to consider the concerns about … perceived health and mercury issues including safe disposal of compact fluorescent lamps.” Meanwhile, manufacturers have already moved to stop incandescent production. Hence, another kneejerk “green” policy fiasco based on incomplete scientific analysis.
Sometimes costly decisions are made in response to public perceptions, even when thorough scientific analysis shows an expenditure would not benefit, or might even harm, the environment. A current example is the proposed $782-million sewage treatment plan for Victoria. The city’s sewage currently undergoes primary screening before being pumped offshore into Juan de Fuca Strait. Huge tidal flows through the strait drive strong currents that break up and oxidize the sewage quickly and thoroughly. Measurements show that within only 100 metres of the Victoria outflow point, effluent quality as good as that disposed by much larger cities into rivers of comparatively tiny flow volumes.
An expert panel appointed by the Victoria Capital Regional District found no scientific evidence of significant contamination; and more than 10 marine scientists and six current and former medical health officers have stated that deep-ocean disposal has minimal impact on the marine environment and no measureable public-health risk. Yet the federal and provincial governments insist that a land-based treatment system must be built. Why? Prophetically, the expert panel’s report signalled that its conclusions might be ignored because of public sentiment based on “ethics, aesthetics or other factors that cannot be resolved on purely scientific grounds.”
But the pending victory of public perception over scientific fact doesn’t end there. Although ocean disposal was thoroughly assessed, the environmental impacts of land-based treatment were not. These include using good farm and/or recreational land for sewage treatment plants; odour emissions to nearby residential areas; substantial energy consumption; atmospheric emissions; and surface contamination from treating, transporting and disposing thousands of tonnes of sewage sludge annually.
Public-policy decisions that ignore scientific facts in favour of pressure from vocal minorities can kill job-creating commercial ventures, or cause unnecessary public expenditures. In both cases, society loses.

Nico

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« Réponse #7 le: 30 août 2016 à 14:13:39 »
Je me dis qu'il faut parler de troubles psychologiques plutôt que d'électro-sensibilité....
D'ailleurs un pays nordique (je ne me souviens plus lequel) reconnaît l'électro hypersensibilité ... mais comme maladie psychologique. Je suis totalement en phase avec ce diagnostique et le resterai au moins jusqu'à ce que des tests en double aveugle montrent qu'ils ressentent vraiment qqch.

Nico

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« Réponse #8 le: 30 août 2016 à 14:14:14 »
Autre extrait:
Comme je disais plus haut, poster des pavés sans mise en forme ne va probablement pas faire avancer ce sujet.

underground78

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« Réponse #9 le: 30 août 2016 à 14:15:19 »
Personnellement je fais parti de ceux qui pensent qu'on devrait (continuer à) faire des études sérieuses sur le sujet parce que c'est important. Reste que ressortir un article publié le 26 septembre 2013 pour lancer le débat en (presque) septembre 2016 ça me parait pas top...

jrne

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« Réponse #10 le: 30 août 2016 à 14:16:39 »
12 mars 2015

Sciences - Santé
Le rapport européen sur les effets sanitaires potentiels de l’exposition aux champs électromagnétiques vient d’être rendu public (vous pouvez le découvrir en cliquant ici). Le rapport se veut favorable à l'absence de risque. Sans danger, les ondes élétromagnétiques? Des ONG dénoncent une " expertise biaisée", "favorable aux intérêts industriels" "acquis à la thèse du déni de risque".
Pour les ONG, "Ceci pourrait expliquer que les résultats scientifiques inquiétants aient été écartés, notamment, ceux qui concernent les tumeurs cérébrales", remarque Mona Nilsson, présidente de la Fondation suédoise de protection contre les rayonnements.
Selon les associations, si le rapport se veut favorable à l'absence de risque, et malgré le fait que "s'accumulent les études montrant des effets", c'est parce que la Commission européenne a su sélectionner "un groupe d'experts où domine la position favorable à l'absence de risque et d'étouffer les éventuelles voix discordantes", manquant au respect de règles déontologiques: "l'exemple de Joachim Schüz est particulièrement frappant puisqu'il a été révélé qu'il s'était arrogé la partie épidémiologique, en contradiction avec le principe de pluralité de l'expertise, et qu'il avait, dans le pré-rapport rendu public en février 2014, écarté systématiquement les études montrant des effets sanitaires sur les tumeurs cérébrales liées à l'usage du téléphone portable." 
Et de citer également plusieurs personnalités du rapport entrant en conflit d'intérêt direct, comme par exemple le président du groupe d'experts, Théodoros Samaras, ancien consultant chez Vodafone. Les ONG réclament une enquête approfondie sur les infractions déontologiques, et l'annulation des conclusions du rapport, puisqu'entachées par diverses infractions.

vtimd

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« Réponse #11 le: 30 août 2016 à 14:16:46 »
1) le post est illisible
2) l'article est très orienté anti, donc pour l'objectivité on repassera
3) parler d'ondes électromagnétiques est une chose, de santé publique une autre et de lier les deux encre une autre. L'article met des mots comme onde, santé, mauvais dans la même phrase sans donner la moindre explication tout juste quelque pourcentage sortie de nul part !

4) je rappel, pour ceux qui voudrai continuer par là, que pour qu'une onde électromagnétique soit "nocive" il ne faut pas seulement considérer la fréquence et la puissance (amplitude) mais également la notion de dépôt de dose. En plus de cela il faut considérer les effets de surface et les effets sur les corps "moux" (cerveaux, organes internes).

5) j'ai bien ris lorsque j'ai lu la comparaison entre le traitement de Parkinson avec des ondes électriques et les ondes électromagnétiques ! car, les deux ondes ont absolument rien à voir, et le cortex cérébral protège le cerveaux des ondes électromagnétiques extérieur (effet cage de Faraday)

Bref, juste de vieux articles de 2013 et 2015 tout juste bon à faire peur aux grand mères voulant acheter un smartphone à leur petit enfant.