Si on dit que chaque technologie d'énergie est une variable de recherche opérationnelle, et que l'on souhaite maximiser la fonction à moindre coûts, cela reviens à dire que l'éolien est une variable, le nucléaire est une variable, le gaz, le pétrole etc sont des variables.
Les énergies qui ne sont pas pilotables, parce que aléatoires en fonction de l'environnement climatique, vent, etc, sont des variables qui ont besoin de variables d'ajustement pilotables, centrales, hydro-électrique pour mettre en face de la demande de consommation, elle aussi variable.
Après avoir maximiser cette fonction de production et consommation, il reste à définir les coefficients de pondérations de cette fonction à maximiser, et cela passe par des poids de pondération, on les considère comme des coûts, plus ils sont chers dans la fonction, moins la variable à d'importance ou est exclue de l'optimisation.
Reste à définir quel coût est attribué ( pas au sens financier, au sens poids de la variable d'ajustement, il y a un abus de langage à définir le coût de la variable avec son poids.) Dire que la pollution visuelle d'éolien offshore a un coût, cela indique, que on passe sous silence que si on mets des éoliennes offshore devant Biarritz, c'est débile.