N'oublions pas que sur la même période de construction des EPR2 il y aura également un SMR qui sera construit sur un site nucléaire existant.
Et enfin, on laisse à l'ASN le seul pouvoir de stopper une centrale en cas de vieillissement: plus de fermeture politique pour plaire à un petite fange de la population de décérébrés.
c'est normalement déjà le cas, avec aussi la stratégie industrielle d'EDF.
mais comme EDF appartient à l'Etat, c'est ce dernier qui décide ce qu'il veut...
Le cas de Fessenheim aura au moins permis de prendre conscience des conséquences d'un tel choix purement politique :
- privation de 2 unités de productions sûres, économiquement viables et compatibles avec les objectifs climatiques.
- impact sur la vie économique du territoire
- et surtout indemnisation d'EDF au titre de la fermeture anticipée (plusieurs centaines de M€ !!!)