Quel est l'intérêt de cracker les mots de passe si l'on est déjà dans le système ?
passer de claude.martin@wanadoo.fr à claude.martin/foe20fj sur le site societegenerale.fr, ou dorment grassement un joli miyion.
ou sinon, récupérer l'encours paypal à 300$ d'un geek qu'a revendu sa switch. ou autre chose.
les gens font jamais rien gratuitement vous savez?
Et c'est donné à un logiciel brutforce paramétré pour le site et qui test 24/7/365 sur des centaines d'adresses mail d'une base acheté ou sur mail construit à partir de nom et prénom et d'un domaine aléatoire du style :
chantal.bayant@orange/sfr/free/hotmail.fr
bayant.chantal@orange/sfr/free/hotmail.fr
Pour valider l'adresse on a inventé le "undelivered mail returned to sender", il suffit d'un robot qui test les réponses.
ya quand meme ue énorme quantité d'adresses email, tous prestataires confondus (surtout fai francais) qui s'agrandit chaque année dans une sorte d'absence d'intéret : les gens changent d'outils/habitude avec les années. J'ai connu un étudiant qui avait sorti comme excuse "mais euh ca c'était mon adresse mail de l'année dernière!"
j'en connais d'autres qui ne gardent jamais un email plus de 3/4/5 ans, par précaution spam, flemme de gérer le courriel, oubli du mdp..
finalement, ceci reste quelque chose de censé, meme si j'apprécie pas du tout l'idée de l'@courriel sur le c/m terme (et ca devient l'usage), à contrarion du num de tel (qui prends le meme chemin, pour les jeunes, meme si c'est souvent minoritaire) ou de l'adresse postale (excepté chez les les jeunes) qui peut être valide dix ans voire beaucoup plus longtemps
à l'exception de l'adresse postale, je connais très peu de jeunes qui conserve les memes coordonnées plus de cinq ans ; à contrario, la plus écrasante 30+(actifs) n'est vraiment pas dans cette habitude. D'ailleurs je connais des jeunes joignables uniquement sur les "applis" type insta/whapp etc sans jamais répondre aux sms, et qui n'ont jamais eu d'@email, et n'en veulent pas (vu le boulot de maintenance, je commence à comprenre)
j'avais vu ce document de recherche, qui m'avait doucement fait sourire, lors de la constitution de ma base de leaks (approx 100GB, et j'en ai viré pas mal) :
https://www.enssib.fr/bibliotheque-numerique/documents/67750-du-leak-en-tant-qu-archive-ou-comment-le-leak-est-devenu-une-archive.pdf