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Le petit jeu des opérateurs historiques qui consistait à éliminer le dernier rentrant sur les enchères des 800Mhz se retourne maintenant contre eux......
Euh, le dernier entrant a misé le strict minimum, il s'est éliminé tout seul des enchères sur la bande 800MHz !
L’extension de l’itinérance 4G aux zones denses pose un problème beaucoup plus sérieux. D’abord parce qu’il est difficile de mesurer l’existence et l’ampleur éventuelle du handicap dont souffrirait Free du fait d’un déficit de fréquences basses (800 MHz), plus aptes que les fréquences hautes (2,6 GHz) à pénétrer les bâtiments. Ce handicap résulte en partie de l’arbitrage fait par Free lui-même lors de la mise aux enchères des blocs de fréquences 800MHz : si son offre d’acquisition n’a pas été retenue, c’est qu’elle était la moins-disante sur le plan financier. Le surcoût auquel est exposé Free pour déployer aujourd’hui la 4G - avec l’obligation de configurer un nombre de sites plus importants pour garantir une qualité de service équivalente à celle des autres opérateurs - doit donc être mis en balance avec les économies qu’il a réalisées en ne payant pas les redevances associées au fréquences 800MHz.
C'est vrai, mais d'un autre côté sachant qu'il est utile à Free, si le prix mini est trop faible ils risquent d'être "contraints" d'enchérir quand même.
Il y aura un prix de réserve comme à chaque fois.