La 4g n'était pas cachė : lors de l'annonce de l'accord (
Le Figaro, 31/01), il était annoncé : "
la création d'une société ad-hoc commune, qui gèrera le patrimoine des sites radio mis en commun (et) la prestation de service de RAN-sharing que se rendront mutuellement les opérateurs en 2G, 3G et 4G sur le territoire partagé", mais l'itinérance sur les zones denses,c'est strict verboten...
Cela commence à sentir le détricotage de cet accord. Orange (
Les Echos, 30/04) avait soulevé le lièvre lors de son attaque devant l'ADLC, qui a pu lui souffler ?