Auteur Sujet: Arrivée de Netflix  (Lu 35634 fois)

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kgersen

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Arrivée de Netflix
« Réponse #60 le: 31 juillet 2014 à 23:21:30 »
Non, il faut informer les utilisateurs. Il y avait un site qui s'était mis à informer les utilisateurs de certains FAI et très vite après ces FAI ont corrigé le problème.

Ces personnes ont très peur de voir la population s'éduquer car la masse d'argent qu'ils font est faite sur l'ignorance des utilisateurs. Or j'ai remarqué que lorsque que l'on explique et apprend aux gens en utilisant les bonnes méthodes on peut récuperer du soutient efficace bien plus rapidement que l'on pense.

La population est au courant et informée

Ca ne marche que s'il y a concurrence et un marché équilibré. Les FAI qui ont corrigé le probleme étaient sur un secteur géographique ou il y a concurrence.

Le cas présent c'est des clients 'verrouillés' par AT&T: ils n'ont pas le choix de prendre un autre opérateur. Il n'y a que AT&T comme offre disponible.
Ils savent qu'ils sont otages, que Netflix est otage, que c'est un racket organisé a grande échelle.

T'as beau être éduqué et plus malin que la moyenne ça changera rien si le choix se résume entre rien ou payer.

cali

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Arrivée de Netflix
« Réponse #61 le: 31 juillet 2014 à 23:57:40 »
Le cas présent c'est des clients 'verrouillés' par AT&T: ils n'ont pas le choix de prendre un autre opérateur. Il n'y a que AT&T comme offre disponible.
Ils savent qu'ils sont otages, que Netflix est otage, que c'est un racket organisé a grande échelle.

Ils savent rien. J'ai constaté ça encore cette après-midi.

Et à ce propos, si ils savaient il n'y aurait pas que 3 opérateurs pour tout le pays.

kgersen

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Arrivée de Netflix
« Réponse #62 le: 27 août 2014 à 14:33:29 »
Interview intéressante du patron de Netflix par Télérama :

Reed Hastings, PDG de Netflix : “S'il y a de gros chèques à la clé, les artistes ont envie de créer”

La société de streaming débarque en France le 15 septembre. Choix des films et séries proposés, concurrence avec les acteurs du PAF, installation du siège de la société aux Pays-Bas… Son PDG revient sur les questions que suscite son arrivée.

Avec son faux air de Jeff Bridges et sa décontraction, il nous fait un peu penser au « Dude », le héros du Big Lebowski des frères Coen. Reed Hastings, le big boss de Netflix, qui nous a reçus début juin chez lui, à Los Gatos, dans la Silicon Valley (Californie), n'a pourtant rien d'un loser, fut-il magnifique. Son site de streaming vidéo affiche 50,5 millions d'abonnés dans le monde, dont 35 millions aux Etats-Unis (un foyer sur trois !). Après des mois de rumeurs, Netflix débarque en France – et aussi en Allemagne, en Autriche, en Belgique, en Suisse et au Luxembourg. Le 15 septembre précisèment, au prix de 7,99 euros (1). Bientôt au programme : un millier de films et de séries, comme Orange is the New Black, produite par la maison ou la très attendue Fargo, déclinaison du film culte des frères Coen que l'on retrouve d'ailleurs à la production. Après la Grande-Bretagne, les Pays-Bas et la Scandinavie, c'est une étape décisive dans la conquête du Vieux Continent. Entretien.

Vous débarquez le 15 septembre en France, après des mois et des mois de rumeurs. Quand avez-vous réellement décidé de vous lancer chez nous ?
Nous avons pris la décision définitive fin 2013. L'Internet haut débit (ADSL), qui est le mode principal de diffusion de Netflix, est très développé chez vous. Et les Français apprécient beaucoup les films et séries…

Combien de titres seront disponibles au lancement sur Netflix France ?
On ne se concentre pas trop sur leur nombre mais sur leur qualité. On veut proposer les meilleurs films et séries. Une fois lancé, nous analyserons ce que les gens regardent sur Netflix (drames, comédies, films étrangers, etc.) grâce à notre algorithme. Nous ferons évoluer le service et le catalogue en fonction de ces résultats.

Quels sont les accords déjà signés avec les producteurs et détenteurs de droits ?
Certains deals sont encore en négociation. Tout sera annoncé le jour du lancement. Quand nous arrivons sur un marché, nous ne disons rien avant la semaine qui précède. Tout ce qui se passe avant, c'est du bluff.

Netflix cultive l'art du secret, écrit son propre story-telling. C'est très américain, non ?
C'est vrai, on aime entretenir les mystères (sourire). Mais notre objectif n'est pas de tromper qui que ce soit. On veut juste ne pas se faire griller par les concurrents. En France, la compétition promet d'être rude avec le groupe Canal+…

Quelles sont les particularités du marché français selon vous ?
Il ressemble beaucoup aux autres, même si les contextes sont parfois différents. Aujourd'hui, tout le monde veut tout, partout, tout le temps, et sur tous les écrans (télé, ordinateurs, mobiles, tablettes…). Les gens désirent aussi que ce soit facile d'accès et d'utilisation : on doit tout voir en un clic. Et sans publicité.

En France, beaucoup redoutent votre arrivée. Quelles sont vos relations avec les acteurs du PAF ?
Il y a toujours de la nervosité quand un nouveau venu arrive. Ça a été le cas avec BskyB en Angleterre. Pourtant, presque trois ans après notre lancement, Sky est toujours en croissance ! Nous aussi, d'ailleurs… (sourire). Aux Etats-Unis, où nous avons aujourd'hui 35 millions d'abonnés, il y a toujours 100 millions de clients au câble et au satellite ! Netflix est vraiment complèmentaire des offres existantes.

Et avec Canal+ ?
Nous faisons déjà beaucoup d'affaires avec eux. Nous diffusons leurs séries aux Etats-Unis, ils achètent les nôtres, comme House of Cards, pour la France. Nos relations sont très directes, cette concurrence sera très positive pour les consommateurs français.

On raconte que vous avez invité à dîner le patron de la chaîne cryptée, Rodolphe Belmer, pour lui annoncer l'arrivée de Netflix. Pourquoi ?
C'est vrai. C'était à Paris et le dîner était génial, même si je ne me souviens plus du nom du restaurant. C'est toujours très cordial entre nous. Nous sommes comme deux entraîneurs de football : sur le terrain, on veut gagner ; en dehors, on peut être de grands amis. Nous avons aussi des rapports de long terme avec d'autres groupes français, comme Gaumont avec qui nous produisons les séries Hemlock Grove et Narcos.

Netflix va-t-il aussi produire des séries en France ?
Bien sûr. La première sera une série politique, tournée à Marseille. Nous sommes encore en négociation avec le producteur. Elle sera diffusée sur Netflix dans un an, si tout va bien. Nous investissons toujours dans la production là où nous nous implantons. La première, ça a été Lilyhammer, en Norvège. Ces séries « locales » sont diffusées dans le monde entier.

On dit que vous travaillez avec Europa Corp., la société de Luc Besson…
No comment.

Votre série House of Cards, diffusée sur Canal+, a reçu un très bon accueil. Quelles seront les prochaines productions de Netflix ?
Marco Polo, une grande saga épique produit par les frères Weinstein, sera tournée en Malaisie et au Kazakhstan. Ses standards sont plus proches de ceux du cinéma que de ceux des séries. Narcos va traiter du trafic de drogue et son impact aux Etats-Unis et en Colombie. En octobre, nous diffuserons aussi le « préquel » de Breaking Bad, Better Call Saul. Chaque saison est lancée en même temps partout dans le monde, comme nous l'avons fait pour Orange is the New Black.

Votre siège européen, aujourd'hui au Luxembourg, va être transféré aux Pays-Bas à partir de 2015. Pourquoi ?
Il est très difficile de se loger au Luxembourg. Pour nos équipes, ce n'est pas non plus un super endroit pour vivre. C'est très, très calme (rire). Amsterdam, c'est plus central et animé.

C'est aussi un moyen d'échapper à l'exception culturelle française, qui veut que chaque diffuseur présent dans l'Hexagone participe au financement de la création…
Quand Fleur Pellerin (ex-ministre déléguée à l'Economie numérique, ndlr) est venue à Las Vegas pour le Consumer Electronics Show (CES), en janvier dernier, on lui a bien fait comprendre que nous étions prêts à contribuer de deux manières : en produisant des contenus et en achetant des droits. Nous créerons de l'emploi. Les créateurs nous voient comme un atout, qui fait monter les prix.

Etre dispensé des obligations de financement ne va-t-il pas engendrer des tensions avec les sociétés d'auteurs et une distorsion de concurrence avec les chaînes de télé ?
Je ne crois pas. Quand il y a des gros chèques à la clé, les artistes ont envie de créer des contenus ! Beaucoup voudront travailler avec nous (2). Nous diffusons beaucoup de productions françaises et européennes, partout dans le monde. A ce titre, nous sommes un grand exportateur de la culture française ! Prenez La Vie d'Adèle, qui est resté très peu de temps à l'affiche aux Etats-Unis, et seulement dans les grandes villes. Le film a été disponible sur Netflix quatre mois après sa sortie en salles, ce qui lui a permis de toucher rapidement un large public.

Certains voient Netflix comme un prédateur qui, à l'image des géants américains Google ou Facebook, va faire des affaires en France sans être soumis aux mêmes contraintes, notamment fiscales…
En janvier 2015, avec l'application des décrets Smad (services de médias audiovisuels à la demande), la TVA sera collectée suivant les pays où les clients se trouvent, et non plus où se trouve le service. En France, la TVA sur Netflix tombera dans les caisses du gouvernement français ! Et nos impôts, nous les paierons conformèment au droit néerlandais.

En France, la chronologie des médias vous oblige à proposer des films au moins trois ans après leur sortie en salles. Ce qui fait dire à Canal+ que vous ne diffusez que du vieux… Sacré handicap, non ?
Ça montre que Canal+ n'a pas peur de nous (sourire). Plus sérieusement, la chronologie des médias n'est pas un problème car nous diffusons surtout des séries, qui ne sont pas soumises à cette réglementation. Au Royaume-Uni, Sky Movies, qui est notre plus gros concurrent, a un contrat d'exclusivité avec les six plus grands studios américains, qui bloquent aussi les droits plus de trois ans. Cela ne nous a pas empêché de nous développer rapidement dans ce pays.

Netflix est diffusé directement sur le Web. Dans le jargon, on dit que vous êtes « OTT » (over the top), c'est-à-dire que vous ne passez pas par les box télé de Free ou SFR. Avez-vous toutefois signé des accords avec des opérateurs ?
Nous discutons avec Orange, SFR ou Free. Tout dépendra des conditions financières.

En France, contrairement aux Etats-Unis, beaucoup de foyers reçoivent la télé par ces box. N'est-ce pas se priver de nombreux clients potentiels ?
Notre réussite ne dépend pas d'un deal avec un opérateur. Aux Etats-Unis, nous avons signé notre premier accord il y a quelques mois seulement. Ailleurs, nous ne sommes sur aucune box. Je rappelle que nous sommes aussi accessibles via les consoles de jeux Playstation 3 et 4, X Box, ainsi que sur Apple TV, Chromecast (Google) et les téléviseurs connectés.

Netflix, c'est « mes films et séries où je veux quand je veux ». L'utilisateur devient son propre directeur des programmes, épaulé par votre fameux algorithme qui suggère des contenus suivant ses goûts. Cela marque-t-il la fin d'une télévision qui impose une grille de programmes au téléspectateur ?
La télévision linéaire va encore durer un peu grâce au sport, dont la fin n'est jamais écrite. Mais elle aura disparu dans vingt ans, car tout sera disponible sur Internet. Canal+ deviendra aussi un média sur Internet. Souvenez-vous : ils ont commencé par la diffusion hertzienne, se sont ensuite étendus au câble, au satellite puis à l'ADSL. La prochaine étape, c'est le Web.

Yahoo!, Amazon , Microsoft ou Sony commencent eux aussi à produire des séries. L'arrivée de ces géants sur votre marché vous inquiète-t-elle ?
Sur les séries originales, on est plutôt en concurrence avec FX, la BBC, HBO ou AMC. Pour un bon scénariste, cette concurrence est la garantie de voir sa série produite.

Quand Amazon se met aussi au streaming vidéo, ça ne vous fait pas peur ?
Amazon nous attaque depuis cinq ans aux Etats-Unis, et ça ne nous a pas empêché de conquérir 35 millions d'abonnés ! C'est un compétiteur au même titre qu'Hulu ou abc.com. Vous voulez que je vous dise qui est notre principal concurrent dans le monde ? C'est le piratage !

Appréciez-vous le cinéma français ? Avez-vous des auteurs et acteurs favoris ?
Je ne pas suis pas fan de films de tel pays ou de tel réalisateur. Je choisis en fonction de ce qu'on m'en dit. En ce moment, je suis la minisérie Carlos, réalisée par Olivier Assayas (produit par Canal+, ndlr). Ça dure 5 heures et demie, c'est d'excellente qualité. Je regarde principalement des productions américaines. Mais j'aime aussi le cinéma étranger, brésilien et mexicain notamment. Le dernier film français que j'ai vu, c'est Intouchables, il y a un peu plus d'un an.
 

(1) Netflix est proposé en trois formules : 7,99 euros par mois en SD (définition standard) sur un seul écran, 8,99 euros pour deux écrans simultanés et en HD, et enfin 11,99 euros pour quatre écrans simultanés et HD.

(2) Netflix a depuis signé un accord avec la Sacem.


Source : Télérama, le 27 aout 2014

mattmatt73

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Arrivée de Netflix
« Réponse #63 le: 06 septembre 2014 à 01:16:12 »
Netflix : Bouygues a-t-il révélé qu'il offrirait le service de SVOD sur sa prochaine box ?



Bien audacieux sera le premier opérateur qui laissera Netflix s'installer sur sa box. Après avoir officiellement échoué dans ses négociations avec Orange et Free, la plate-forme de vidéos à la demande par abonnement (SVOD) semblait bien dépourvue à 10 jours de son lancement. Aucun fournisseur d'accès ne semblait vouloir du sulfureux Américain, critiqué pour avoir établi son siège fiscal au Luxembourg puis aux Pays-Bas.

Mais c'était sans compter sur Bouygues Telecom. La filiale du groupe de Martin Bouygues a laissé échapper un indice dans la vidéo de présentation de sa future box (baptisée "Miami"). "Elle s'appuie sur la richesse d'Android et d'une sélection de start-ups", égrène le commentaire. Un peu plus loin, il explicite: "Android et le Play Store Google ouvre votre salon au monde des applis". À ce moment-là, la vignette de l'application Netflix apparaît sur l'écran. Serait-ce le résultat d'un hasard fortuit? C'est rarement le cas en matière de marketing.



La présence de Netflix dans les box est capitale pour l'entreprise. Les Français sont très nombreux à regarder la télévision via cet équipement. Et selon le baromètre de GfK et du CNC, les box représentent 78% du marché de la vidéo-à-la-demande, contre seulement 22% pour un visionnage sur ordinateur. Un canal apparemment nécessaire si Netflix veut conquérir un tiers des foyers d'ici 5 ans.

Officiellement, l'Américain ne sera présent que via son site internet ou ses applis iOS et Android (ce qui comprend les Smart TV mais extrêmement minoritaires). Être présent sur une box change donc radicalement la donne.

Premier à faire rentrer le loup dans la bergerie ?

La stratégie de Bouygues Telecom ne manquerait pas d'hypocrisie si cette information se vérifiait. En effet, l'opérateur pourra se défendre d'avoir passé le moindre accord avec Netflix car sa présence est liée au catalogue Android. Mais en fermant les yeux, il s'assure un argument de vente déterminant par rapport à la concurrence. Une façon de faire un pied de nez à la profession qui se demande si Netflix va participer au financement des infrastructures réseau et à la création audiovisuelle.

D'importantes batailles ont eu lieu aux Etats-Unis, où Netflix est responsable de 30% du trafic en soirée. Faire circuler une telle quantité de données a un coût et les opérateurs ne comptent pas être les seuls à mettre la main à la poche. Orange, Free et les autres veulent s'assurer que Netflix contribuera aux investissements avant de l'accueillir sur leurs box.

SFR n'a de son coté pas encore communiqué. Sa box possède une architecture Android mais rien ne dit que l'appli Netflix sera de la partie. Enfin, les liens avec son ancienne société sœur Canal+ (toutes deux filiales de Vivendi avant le rachat par Numericable) restent forts. Bouygues tranche néanmoins avec la concurrence en utilisant le sulfureux américain dans sa communication.

Stéphane Richard (Orange) s'était exprimé fin juillet sur le sujet. "Comme tout cela n'est pas encore très clair, moi j'ai décidé que nous n'aurions pas le service Netflix au moment de son lancement. Le service Netflix ne sera pas sur les box d'Orange lorsque Netflix lancera son service". Une position forte que n'aura pas imité son collègue Olivier Roussat. La direction de Bouygues Telecom a assuré qu'elle ferait son maximum pour gagner des abonnés sur l'internet fixe. Avec Netlix elle aurait un argument de poids.


Source :
Le HuffPost
le 5 septembre 2014 Par Grégory Raymond

Nico

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Arrivée de Netflix
« Réponse #64 le: 06 septembre 2014 à 09:07:49 »
Au delà de la présence de l'icone Netflix potentiellement intentionnelle, on est d'accord qu'on est assez proche de la non-information là ? Une box Android qui permet d'installer l'appli Netflix, c'est un peu logique.

D'ailleurs le machin Google vendu par SFR a accès le Play Store ?

vivien

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Arrivée de Netflix
« Réponse #65 le: 06 septembre 2014 à 09:19:39 »
Oui, il a été montré lors de la conférence de presse qu'on pouvait installer les application de son choix, mêmes celles qui sont gourmandes, du Play Store pour Android TV (Attention, il a beaucoup mois d’application que le Play Store pour téléphone/tablette).

Pouvoir installer Netflix est donc évidement possible.
C'est principalement un buz du Le HuffPost qui n'a peut être pas toutes les infos sur la box.

mattmatt73

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Arrivée de Netflix
« Réponse #66 le: 06 septembre 2014 à 12:04:46 »
bouygues va-t-il faire cette possibilité un argument marketing ?

Nikos

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Arrivée de Netflix
« Réponse #67 le: 07 septembre 2014 à 22:58:02 »
vu le peu d’intérêt des français pour Netflix c'est pas le meilleur argument.

K-L

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Arrivée de Netflix
« Réponse #68 le: 07 septembre 2014 à 23:12:06 »
En France, on a déjà de très bons services de SVOD.

Depuis quelques jours, j'ai pris un abonnement à CanalPlay et je suis franchement étonné par la qualité et le nombre de films et séries disponibles. Tout ça pour 9,99€/mois.

Les médias nous bourrent tellement le ciboulot avec Netflix que tout le monde va vouloir s'y abonner. Et c'est dommage car au lieu de faire travailler des entreprises françaises, on va aller dilapider nos deniers dans des entreprises étrangères juste pour dire "moi j'ai Netflix".

Comme quoi, l'opinion est toujours autant contrôlée.

Concernant Bouygues, Netflix ne serait disponible que sur la Box Miami (encore un joli nom de ville américaine) donc incompatible avec les Bbox HFC sur réseau Numericable. et si l'on a une BBox Sensation (FTTH ou ADSL/VDSL), il faudra jouer entre les boîtiers pour regarder ou utiliser un service ???

mattmatt73

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Arrivée de Netflix
« Réponse #69 le: 07 septembre 2014 à 23:29:16 »
tu oublis les télés connectées et les consoles de jeux

K-L

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Arrivée de Netflix
« Réponse #70 le: 08 septembre 2014 à 11:39:26 »
Numericable va bientôt dévoiler son offre, nommée pour l'instant SerieFlix :

 http://www.lepoint.fr/technologie/netflix-a-quoi-ressemblera-l-offre-numericable-08-09-2014-1861156_58.php

corrector

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Arrivée de Netflix
« Réponse #71 le: 09 septembre 2014 à 06:38:49 »
Au delà de la présence de l'icone Netflix potentiellement intentionnelle, on est d'accord qu'on est assez proche de la non-information là ? Une box Android qui permet d'installer l'appli Netflix, c'est un peu logique.
Je croyais que By contrôlait les applis installables.

J'aurais donc tout compris à l'envers!!!