La Fibre
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Offres d'emploi => Discussion démarrée par: vivien le 27 juin 2024 à 08:19:42
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https://lafibre.info/videos/free/202406_free_recrute_et_toi_tes_libre.mp4
C’est une première dans l’histoire de Free : l’opérateur lance une campagne Marque Employeur à son image, destinée à faire connaître l’entreprise et la diversité de ses métiers tout autant qu’à attirer les meilleurs talents. Un site web dédié etre-free.fr et une campagne digitale sont activés aujourd’hui.
Un employeur… pas comme les autres
Devenu en 25 ans un acteur majeur du secteur qui réunit 22,7 millions d’abonnés, Free a beaucoup grandi mais demeure un opérateur pas comme les autres.
En France, Free incarne la révolution des Télécoms : dernier entrant sur le marché, l’opérateur est venu bouleverser l’ordre établi en conjuguant innovation technologique, juste prix, liberté et simplicité afin de rendre le numérique accessible à tous. Aujourd’hui, Free continue de se distinguer par ses produits, par sa politique tarifaire et par sa relation de proximité avec sa communauté d’abonnés.
Cette singularité a aussi construit la grande entreprise que Free est devenue, forte aujourd’hui de plus de 11 500 collaborateurs dédiés à ses activités en France. C’est ce qu’a révélé le sondage qui a été réalisé auprès de nos collaborateurs : Free n’est pas un employeur comme les autres.
Les 5 piliers RH constituent l’identité de Free en tant qu’employeur :
1. Avoir de l’impact - Free est un opérateur engagé à l’ADN militant. Chez Free, notre travail a un impact concret sur le monde qui nous entoure.
2. Etre agile - Free a une forte culture entrepreneuriale et ses équipes de petite taille, agiles et dynamiques, aiment délivrer et se dépasser. De nombreux savoir-faire ont été internalisés car on aime faire les choses nous-mêmes.
3. Etre libre - Chez Free, on est libre et il règne un climat de confiance ; l’autonomie est l’une de nos valeurs cardinales.
4. S’épanouir - Free est une entreprise diverse, ouverte, accueillante où chacun peut trouver sa place et s’épanouir. Le recrutement y est très ouvert, sans jugement a priori.
5. Apprendre et évoluer - Free propose une grande variété de métiers et il est possible de faire évoluer sa carrière tout au long de sa vie professionnelle ; un effort très important est consacré à l’éducation, à la formation, à l’accompagnement RH des collaborateurs.
Une plateforme de marque dédiée
Afin de faire connaître sa culture singulière et d’attirer les meilleurs talents sur tous ses métiers, Free lance aujourd’hui une plateforme de marque dédiée autour du site etre-free.fr.
En complément, une campagne digitale est lancée sur les réseaux sociaux, avec la promotion du film Manifeste de sa marque employeur sur LinkedIn et la diffusion d’une série de vidéos Métiers sur TikTok et Snapchat.
Free recrute !
Porté par une forte croissance, Free recrute actuellement sur ses 6 grandes familles de métiers :
- métiers de la Tech et du Digital ;
- métiers des Boutiques ;
- métiers de la Relation Abonné ;
- métiers des Réseaux Télécoms ;
- métiers des Fonctions Centrales ;
- métiers Free Pro.
Près de 650 postes sont à pourvoir dans toute la France.
Frédérique Chémaly, Directrice des Ressources Humaines de Free : « Chez Free, on joue collectif, on met en valeur les compétences plutôt que le diplôme, on encourage à faire et à innover. Résultat ? Nos collaborateurs nous le disent : ils ressentent une forme de liberté, avec le sentiment qu’ici, tout est possible. C'est ce qui nous a donné envie de lancer notre 1ère campagne de Marque Employeur : le but est de valoriser nos métiers et nos collaborateurs, mais aussi et surtout de raconter ce qui nous rend uniques. »
Nicolas Thomas, Directeur Général de Free : « Si Free innove depuis 25 ans, c’est grâce à un modèle d’organisation singulier, qui s’appuie sur des équipes de petite taille, ultra autonomes, auxquelles on fait confiance. Ce modèle a forgé la culture de l’entreprise, qui reste aujourd’hui, malgré nos plus de 11 500 collaborateurs en France, à la fois agile et orientée « delivery ». Free résout l’équation impossible : conjuguer la dimension d’un grand groupe avec la culture d’une start-up ».
Source : [Communiqué de presse] Free lance aujourd’hui sa 1ère campagne Marque Employeur du 26 juin 2024
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Il n'y a pas de grille de salaire chez Free ?
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ptdr plus jamais je tafferai pour eux !
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Ah les RH et leurs piliers... C'est marrant, c'est pareil dans ma boite et c'est un bon gros paquet de bullshit et de brainwashing ....
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en attendant c'est quand meme 650 emplois a pourvoir
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en attendant c'est quand meme 650 emplois a pourvoir
Lol.
free n'a jamais eu très belle réputation pour les emplois, comme sfr pour les abonnés ;)
suffit de lire le livre "XN la voie du pirate" pour voir à quel point c'est comme dans certaines crèmeries : un roi et sa cour.. parfois une ambiance un peu sectaire^^
650 postes à pourvoir ca veut tout et rien dire : vont ils employer un grand nombre d'ingés?
est ce tout catégorisé "service-support" pour des hotliners payés un tout ptit peu plus du smic?
un peu comme la pénurie de main d'oeuvre en france : tu m'étonnes que bcp de postes seront pas remplacés, vu que personne ne veut les faire..
en hotline le taux d'évolution de carrière dans la meme société est infiniment bas.. rien n'est vraiment beau dans ce monde.
ca me rappelle les stages de 3e:
De son côté, la plateforme dédiée lancée en grande pompe par Gabriel Attal en novembre ne semble pas avoir eu le succès escompté. Seules 70.000 offres de stage y ont été déposées, soit nettement moins que les 200.000 espérées.
https://www.bfmtv.com/economie/entreprises/560-000-eleves-concernes-les-stages-de-seconde-en-entreprise-debutent-ce-lundi_AV-202406170138.html
« La plupart du temps, les parents ont activé leur réseau et ça s’est fait dans l’urgence »
Sur le terrain, de nombreux proviseurs ont constaté une dynamique dans ce sens de toute dernière minute. « Il y a 15 jours, on était à 40 % d’élèves avec un stage, mais aujourd’hui nous sommes à 80 %. Ça s’est accéléré lors de la dernière semaine » , nous confie ce proviseur de la banlieue est parisienne qui préfère garder l’anonymat. Même tendance dans un lycée voisin avec un taux d’élèves passé de 30 à 70 % en deux semaines.
https://www.leparisien.fr/societe/stages-de-seconde-le-ministere-assure-que-70-a-95-des-eleves-ont-trouve-16-06-2024-3W7THZ5RTBCW7NKSJUUVVRTFBY.php?ts=1718598655823
la plupart de ces activités n'intéressent..personnes, et sont vouées à mourir..
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un peu comme la pénurie de main d'oeuvre en france : tu m'étonnes que bcp de postes seront pas remplacés, vu que personne ne veut les faire..
en hotline le taux d'évolution de carrière dans la meme société est infiniment bas.. rien n'est vraiment beau dans ce monde.
ca me rappelle les stages de 3e:
la plupart de ces activités n'intéressent..personnes, et sont vouées à mourir..
Si les gens étaient moins accro à leur smartphone à passer leur vie qui s'écoule dans un sablier, à scroller vers le bas pour voir des vidéos de merde matière fécale, le monde se porterait bien mieux.
Car je vois bien la différence il y a 10 ans et maintenant : les gens ne sont plus intéressés par rien (attention disclaimer, il reste des gens motivés et qui en veulent hein, heureusement). Les jeunes ne notent plus rien "oui oui j'ai compris tkt, 5min après ils ont tout oublié", ça sort la calto pour savoir une pauvre atténuation, ils s'en cognent de savoir comment la vidéo arrive sur leur tel, et sortent d'école en mode "oué oué vous aurez 3000 boules par mois", veulent de gros postes, mais sont totalement paumés quand un truc déconne.
Je pense humblement, qu'on oublie de plus en plus les notions de reconnaissance et de fierté (car la rémunération ne fait pas tout). Même en faisant du SAV, moi ça me plait d'avoir rendu un immense service à une mamie à fixer sa téléphonie (alors que c'est rien pour moi, mais quand même). Je pense que tout le monde ici bossant dans le télécom, on est fier de ce qu'on a fait, de ce qu'on fait, chaque jour.
Free offre 650 emplois. C'est bien. Admettez qu'il y a des gens qui rèvent d'y aller, peu importe la réputation, ils n'y vont pas le couteau sous la gorge, et je souhaite à ces gens tout le meilleur et de s'accomplir dans leur travail.
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650 postes à pourvoir ca veut tout et rien dire : vont ils employer un grand nombre d'ingés?
Oui, 650 cela me semble peu quand tu as des dizaines de milliers de hotliner et qu'avec les départs naturels, tu as besoin de recruter en continu.
En 2003, j'ai passé un entretien pour être hotliner Free le week-end, pendant mes études, et après un test technique simple (de mémoire un QCM de 20 questions de culture général sur l'informatique), on nous a dit qu'on était trop nombreux pour pouvoir nous faire passer des entretiens d'embauche, donc on était tous pris en CDI. Par contre, plus de la moitié n'ont pas passé la période d'essai (reconductible bien entendu).
Depuis, le groupe Iliad a dû bien changer.
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On peut être passionné et avoir quand même au moins une fourchette sur le salaire proposé sur les annonces d'emploi. Ça ferait gagner du temps à tout le monde. Même en temps que passionné, on bosse aussi pour être rémunéré.
Ça me fait penser aux petites annonces de vente avec " prix en mp".
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Si les gens étaient moins accro à leur smartphone à passer leur vie qui s'écoule dans un sablier, à scroller vers le bas pour voir des vidéos de merde matière fécale, le monde se porterait bien mieux.
Ivre, il s'imagine que les nouvelles générations se porteront mieux en se sevrant de leur drogue quotidienne ;)
Car je vois bien la différence il y a 10 ans et maintenant : les gens ne sont plus intéressés par rien (attention disclaimer, il reste des gens motivés et qui en veulent hein, heureusement). Les jeunes ne notent plus rien "oui oui j'ai compris tkt, 5min après ils ont tout oublié", ça sort la calto pour savoir une pauvre atténuation, ils s'en cognent de savoir comment la vidéo arrive sur leur tel, et sortent d'école en mode "oué oué vous aurez 3000 boules par mois", veulent de gros postes, mais sont totalement paumés quand un truc déconne.
il y a motivation et motivation : tu peux être motivé pour quelque chose d'intelligent, qui te passionne, te plait ; mais pour ranger des articles dans les rayons, pour faire du travail manuel, au quotidien pendant des années, j'en connais beaucoup qui se mutileraient pour ne pas avoir à faire cette torture psychologique : regardez le Patron Incognito de LDLC : la nénette qui gère le stock soutient être "en mode robot" la journée après avoir fait ses études d'archi.. comprendre : elle a étudié pour fuir un smic/manuel, elle se reprend dans laggle ce qu'elle a voulu fuir..
Je pense humblement, qu'on oublie de plus en plus les notions de reconnaissance et de fierté (car la rémunération ne fait pas tout). Même en faisant du SAV, moi ça me plait d'avoir rendu un immense service à une mamie à fixer sa téléphonie (alors que c'est rien pour moi, mais quand même). Je pense que tout le monde ici bossant dans le télécom, on est fier de ce qu'on a fait, de ce qu'on fait, chaque jour.
je préfère utiliser mon cerveau et mes compétences que de servir au robot, sorry
Free offre 650 emplois. C'est bien. Admettez qu'il y a des gens qui rèvent d'y aller, peu importe la réputation, ils n'y vont pas le couteau sous la gorge, et je souhaite à ces gens tout le meilleur et de s'accomplir dans leur travail.
ca dépend de quel emploi en premier lieu non?
tout le monde n'est pas fait pour tout type de travail : j'ai rencontré pas mal de gens à paris, la plupart font leur boulot "pour bouffer" et regrettnt leur orientation d'études, ou tout simplement le plafond de verre quand t'es diplomé.
les gens se plaignent d'un paquet de postes sans candidats, mais regardez l'activité derrière : qui aimerait faire ca quelques mois?
j'avais fait une expérience de quelques jours en hotline, plus jamais j'y retournerai..
Par contre, plus de la moitié n'ont pas passé la période d'essai (reconductible bien entendu).
parce qu'être hotliner est un métier aussi chiant que caissier, serveur ou aide-soignant : tu fais toute la journée, sans jamais réfléchir, surtout un métier qui te plait pas.
j'échange souvent avec des GRH, je me souviens de ce gérant d'un supermarché qui m'avait dit : "ici les caissières entrent pour vivre, pour survivre au quotidien. Elles savent qu'elles évolueront pas dans la structure, trop petite ; qu'elles repartiront de la même manière qu'elles sont entrées, sur le papier. Quand on devient caissier, c'est parce qu'on a pas le choix, et la structure ne s'amusera pas à vous faire évoluer parce qu'elle n'en a aucun intéret.."
c'est sur que ca motive les candidats (valable pour tout métier manuel/smic auprès du grand public)
On peut être passionné et avoir quand même au moins une fourchette sur le salaire proposé sur les annonces d'emploi. Ça ferait gagner du temps à tout le monde. Même en temps que passionné, on bosse aussi pour être rémunéré.
Ça me fait penser aux petites annonces de vente avec " prix en mp".
Ivre, il s'imagine qu'une entreprise va parler la première sur le salaire, quand on sait que c'est toujours le premier qui l'ouvre qui a perdu..
« Vous voulez m’embaucher, faites-moi rêver ! »
C'est un patron dans le secteur des énergies marines renouvelables qui raconte, avec une pointe de spleen dans la voix. Voici l'histoire : construire des éoliennes en mer nécessite des compétences spécifiques en matière de soudures, qui doivent pouvoir résister à la puissance du vent, à la force des vagues et à l'érosion due au sel marin. « Soudeur de fondations d'éoliennes » est un nouveau métier, bien rémunéré, un poste clé dans la transition énergétique. Le dirigeant est ravi car 15 jeunes ont intégré un CAP spécifiquement dédié à cette qualification, et il en a bien besoin, de ces forces vives. Sauf que… à la sortie de la formation, la plupart, bien qu'ayant décroché leur diplôme, laissent tomber et préfèrent se consacrer à d'autres aventures… « Ce métier n'est pas fait pour moi, c'est trop pénible… », ont-ils lancé en chœur. Et tant pis pour les champs d'éoliennes en mer, dont la construction est en plein boom…
Jean-Christophe Napierala, routier, la cinquantaine, emmène un stagiaire pour une tournée d'une semaine dans son camion. Ils partent avant l'aube et la première question du garçon est : « À quelle heure on finit ce soir ? » À 11 heures du matin, le chauffeur le dépose à une station essence, « il s'est barré, il m'a dit que cette vie-là, elle n'était pas faite pour lui ».
« Il y a toujours eu un problème de déficit d'emplois dans notre secteur, mais le phénomène a pris une ampleur inédite. On a les plus grandes difficultés à embaucher dans tous les métiers : commis, chefs cuisiniers, service en chambre, en salle », assure Maud Bailly, directrice générale Europe du Sud du groupe Accor. Elle est quand même restée sans voix quand un candidat de 25 ans lui a lancé : « Vous voulez m'embaucher, alors faites-moi rêver ! »
Certains candidats à des postes dans des entreprises le maîtrisent à la perfection : ils passent un, deux, trois entretiens, décrochent une proposition d'embauche, puis s'évanouissent dans la nature.
https://www.lepoint.fr/societe/vous-voulez-m-embaucher-faites-moi-rever-30-06-2022-2481575_23.php
va falloir crééer un topic dédié au sujet..
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parce qu'être hotliner est un métier aussi chiant que caissier, serveur ou aide-soignant : tu fais toute la journée, sans jamais réfléchir, surtout un métier qui te plait pas.
Encore une fois, ces métiers conviennent à des gens pour qui, baaah, ça leur va très bien. J'en connais aussi des caissières/serveurs/aide-soignants qui sont heureux, qui aiment le côté relationnel, etc. Des fois c'est relou oui, ça fait parti du travail au sens général, mais souvent c'est agréable.
j'avais fait une expérience de quelques jours en hotline, plus jamais j'y retournerai..
Hotliner, tu n'as pas aimé, soit. Un proche collègue au contraire, adore ça, c'est un amour au téléphone, il calme, il apaise, il apporte des solutions et parfois il plaisante même avec les gens...
Comme quoi, il faut de tout en ce bas monde. Au moins, tu as le mérite d'avoir essayé :)
il y a motivation et motivation : tu peux être motivé pour quelque chose d'intelligent, qui te passionne, te plait ; mais pour ranger des articles dans les rayons, pour faire du travail manuel, au quotidien pendant des années, j'en connais beaucoup qui se mutileraient pour ne pas avoir à faire cette torture psychologique : regardez le Patron Incognito de LDLC : la nénette qui gère le stock soutient être "en mode robot" la journée après avoir fait ses études d'archi.. comprendre : elle a étudié pour fuir un smic/manuel, elle se reprend dans laggle ce qu'elle a voulu fuir..
je préfère utiliser mon cerveau et mes compétences que de servir au robot, sorry
ca dépend de quel emploi en premier lieu non?
tout le monde n'est pas fait pour tout type de travail : j'ai rencontré pas mal de gens à paris, la plupart font leur boulot "pour bouffer" et regrettnt leur orientation d'études, ou tout simplement le plafond de verre quand t'es diplomé.
"J'en connais beaucoup"... ouaip donc tu me rajouter mon cas personnel à ta longue liste :)
J'ai foiré mes études (parce que flemme, j'avoue), j'ai fais des boulots de merde sans broncher.
J'ai compris mon erreur de vie, je me suis sorti les doigts, j'ai bossé bossé bossé pour arriver à la place que j'occupe maintenant. Certes, c'était pas une sinécure mais encore une fois, les choses ne viennent pas toutes seules. Et si elles ne venaient pas, j'ai provoqué mon destin pour qu'elles viennent. Et ça, ça vaut aussi bien dans le pro que dans le perso ;)
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Si les gens étaient moins accro à leur smartphone à passer leur vie qui s'écoule dans un sablier, à scroller vers le bas pour voir des vidéos de merde matière fécale, le monde se porterait bien mieux.
Car je vois bien la différence il y a 10 ans et maintenant : les gens ne sont plus intéressés par rien (attention disclaimer, il reste des gens motivés et qui en veulent hein, heureusement). Les jeunes ne notent plus rien "oui oui j'ai compris tkt, 5min après ils ont tout oublié", ça sort la calto pour savoir une pauvre atténuation, ils s'en cognent de savoir comment la vidéo arrive sur leur tel, et sortent d'école en mode "oué oué vous aurez 3000 boules par mois", veulent de gros postes, mais sont totalement paumés quand un truc déconne.
Attention, tu deviens un vieux cons et c'est est un plus vieux que toi que te le dit... ;)
A l'école, les ptits cons dont tu parles viennent réclamer les points pour avoir sorti leurs affaires du sac...
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650 postes à pourvoir ca veut tout et rien dire : vont ils employer un grand nombre d'ingés?
est ce tout catégorisé "service-support" pour des hotliners payés un tout ptit peu plus du smic?
Je ne vois pas ce que la 'qualité' des emplois a un interet.
Au contraire meme. Les bacs plus 12 sont pas au chomage hein, donc c'est 650 personnes peu ou pas qualifiées qui vont pouvoir avoir une vie.
Ou alors pour toi, y a que les emplis a 5k par mois qui comptent ? tout le reste c'est de la merde ?
C'est du mepris.
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Au contraire meme. Les bacs plus 12 sont pas au chomage hein
Si, eux, dans le secteur privé, ils le sont en général.
Un docteur en histoire, en géographie, en philosophie etc..., et même dans certaines matières scientifiques, sont très souvent obligés d'aller souvent vers l'enseignement secondaire (avec des gens qui ont parfois, qu'un bac+3, et je parle même pas des contractuels... :o). Alors que les sujets qu'ils ont étudiées sont très intéressants et que ce sont en général des gens passionnés par ce qu'ils ont appris.
La réalité est que les formations sont parfois déconnectés du marché de l'emploi. Mais c'est un autre sujet. ;)
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Free, mais Free quoi ? Free Réseau ? Free Mobile ? Free Pro ? Free Infra ? (Sur que non vu que l’entité a disparu ^^) Dans une boutique ? Dans une filiale de la hotline ? Les centrapel, mobipel, and co.
L’expérience de salarié chez Iliad (pour englober toutes les filiales, on pourrait aussi penser à Scaleway) peut ressembler à un séjour au goulag comme à une lune de miel aux Seychelles tellement cette boîte est capable du meilleur comme du pire. Faire des généralités n’a pas vraiment de sens.
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Free, mais Free quoi ? Free Réseau ? Free Mobile ? Free Pro ? Free Infra ? (Sur que non vu que l’entité a disparu ^^) Dans une boutique ? Dans une filiale de la hotline ? Les centrapel, mobipel, and co.
L’expérience de salarié chez Iliad (pour englober toutes les filiales, on pourrait aussi penser à Scaleway) peut ressembler à un séjour au goulag comme à une lune de miel aux Seychelles tellement cette boîte est capable du meilleur comme du pire. Faire des généralités n’a pas vraiment de sens.
Ahem, c'est dans le premier post - bon ça reste une description limitée mais c'est pas rien :
Porté par une forte croissance, Free recrute actuellement sur ses 6 grandes familles de métiers :
- métiers de la Tech et du Digital ;
- métiers des Boutiques ;
- métiers de la Relation Abonné ;
- métiers des Réseaux Télécoms ;
- métiers des Fonctions Centrales ;
- métiers Free Pro.
Enfin pardon je ne sais pas trop à qui tu réponds en fait. C'était une question sur quelles étaient les offres ou sur les expériences de travail dans chaque branche ?
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Je ne vois pas ce que la 'qualité' des emplois a un interet.
Au contraire meme. Les bacs plus 12 sont pas au chomage hein, donc c'est 650 personnes peu ou pas qualifiées qui vont pouvoir avoir une vie.
Ou alors pour toi, y a que les emplis a 5k par mois qui comptent ? tout le reste c'est de la merde ?
C'est du mepris.
pas une question de mépris, enfin si : mépriser au plus haut point l'imprécision : de quoi parle-t-on précisément?
en ce moment c'est "lutter contre la smicardisation de la france", on y est ;)
Free, mais Free quoi ? Free Réseau ? Free Mobile ? Free Pro ? Free Infra ? (Sur que non vu que l’entité a disparu ^^) Dans une boutique ? Dans une filiale de la hotline ? Les centrapel, mobipel, and co.
Onetel certainement? ;)
L’expérience de salarié chez Iliad (pour englober toutes les filiales, on pourrait aussi penser à Scaleway) peut ressembler à un séjour au goulag comme à une lune de miel aux Seychelles tellement cette boîte est capable du meilleur comme du pire. Faire des généralités n’a pas vraiment de sens.
la fameuse trace noire sur le mur de l'étage free mobile? :D
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On peut être passionné et avoir quand même au moins une fourchette sur le salaire proposé sur les annonces d'emploi. Ça ferait gagner du temps à tout le monde. Même en temps que passionné, on bosse aussi pour être rémunéré.
Ça me fait penser aux petites annonces de vente avec " prix en mp".
Suffit de consulter les offres. Les salaires sont annoncés pour la plupart :
https://recrutement.iliad-free.fr/offres
Oui, 650 cela me semble peu quand tu as des dizaines de milliers de hotliner et qu'avec les départs naturels, tu as besoin de recruter en continu.
Dizaines de milliers ... Non n'abuse pas, il n'y en a pas autant.
C'est 17400 employés au total chez Iliad :
https://www.iliad.fr/fr/nos-engagements/pour-nos-collaborateurs#:~:text=iliad%20aujourd'hui%2C%20ce%20sont,une%20grande%20vari%C3%A9t%C3%A9%20de%20m%C3%A9tiers.
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Suffit de consulter les offres. Les salaires sont annoncés pour la plupart :
https://recrutement.iliad-free.fr/offres
bien vrai. Mais ils doivent pas attirer foule : aucun étonnement que le père niel regrettait d'avoir des soucis de recrutement, sur le plateau de C à vous.
à 32k max sur la première offre de conseiller boutique, ca doit être 2500 bruts maxi donc. Comme l'observait un commentateur sur un article paru très récemment :
Philippe
le 21/08/2024 22:03
Personne ne se déplace à moins de 1800 nets.
La "valeur travail" n'existe plus. Monde d'après covid.
ils ont raison, effet covid : j'aurais tendance à placer la barre au 2200 nets au moins (ce qui n'est pas atteint au 2500bruts)
ou encore:
anonyme
le 21/08/2024 23:47
«Le poste de serveur de cafés-restaurants reste le plus recherché en 2024» ... et tant que ça demeurera une parfaite impasse professionnelle, encadrée par des gougnafiers (comme nombre des prétendus "métiers" en tension), il en sera ainsi.
ou encore:
https://www.leparisien.fr/val-d-oise-95/emploi-le-patron-de-pme-a-trouve-son-nouveau-soudeur-grace-au-demarchage-dans-les-boites-aux-lettres-29-08-2022-X5GAYNED3VDGZGOXIVFIMNEHFM.php
et le pire :
3540803 (profil non modéré)
le 22/08/2024 00:19
Franchement, je pourrais postuler pour gagner plus, mais passer 10 entretiens avec des méthodes qui parfois frisent le ridicule, non merci.
expliqué par :
ou encore :
Julien, 35 ans. Confronté, lui aussi, à une mauvaise surprise à son arrivée dans l’équipe de vente d’une grosse PME, il a aussitôt claqué la porte.
«Au cours des entretiens, explique-t-il, je n'avais jamais pu rencontrer mon futur supérieur comme je le demandais. Le premier jour, je me suis trouvé face à un homme très autoritaire. D'emblée, il m'a expliqué qu'avec lui, il ne fallait pas espérer rentrer chez soi avant 21 heures.»
Cet accueil inattendu et le sentiment d’avoir été piégé par l’entreprise - qui s’était bien gardée de le mettre en présence de ce boss sympathique - l’ont décidé à fuir illico. Il avait, il est vrai, la conviction de pouvoir retrouver facilement un autre poste tant les entreprises ont de forts besoins de recrutement aujourd’hui.
https://www.lefigaro.fr/decideurs/management/au-secours-je-n-aime-pas-mon-nouveau-job-les-solutions-pour-s-en-sortir-20230907
«Après déjà trois entretiens, on m'a donné un document de 300 pages à analyser en me disant que j'avais cinq jours», indique Claire, 27 ans, en poste dans une grande banque d'affaires au rythme infernal, qui postulait pour entrer dans une fintech. Des tests impossibles à caser dans ses journées surchargées. Sans cesse contactée sur LinkedIn par des recruteurs, elle s'est finalement résignée, la mort dans l'âme, à démissionner pour pouvoir participer aux process de recrutement. « Chercher, c'est un job à temps plein, explique la jeune femme, qui vient d'être embauchée dans une belle licorne qu'elle convoitait. J'ai eu des tests de motivation à remplir en ligne, puis un entretien avec le chasseur de têtes, puis des rendez-vous de “fit” avec les RH sur la personnalité, puis plusieurs entretiens techniques, puis un “case study” de deux heures à faire dans leurs locaux – un tableau Excel de 2000 lignes à exploiter -, suivi d'un rendez-vous de restitution pour débriefer, puis des rendez-vous avec des membres de l'équipe… Je n'aurais jamais pu mener le process de front en restant en poste», souffle-t-elle.
https://www.lefigaro.fr/social/rendez-vous-rh-en-serie-tests-techniques-a-repetition-cas-pratiques-a-profusion-jusqu-ou-ira-la-folie-des-entretiens-d-embauche-20240310
Copthorne
le 11/03/2024 à 12:47
J'ai un MBA, un master complémentaire en finance, aussi un PhD, ingénieur, et 25 ans de parcours en grande industrie... En France il n'y en avait jamais assez. J'ai traversé l'Atlantique et TOUT est beaucoup plus simple.
Le problème français est double : incapables de prise de décisions, et la France est surtout couarde.
brako
le 11/03/2024 à 12:39
Si les gens arrêtaient de postuler dans des entreprises qui font passer 6 entretiens, ça changerait rapidement. Aujourd'hui même pour des pauvres start-up de 10 personnes il faut quasiment voir tout le monde, je ne sais pas ce qui a changé mais il y'a 20 ans en 2 entretiens c'était réglé.
«On me rapporte que chez Apple ou Google, c'est 12 entretiens», note Anne-Céline Lejeune, chasseuse de têtes - on dit désormais chasseuse de talents - chez ALCpartners.
«Pour l'un d'eux, j'ai d'abord dû passer un entretien RH de personnalité, puis un entretien avec le chef de mission qui a duré une bonne heure, puis un entretien d'une demi-heure environ avec un associé de l'entreprise et enfin, de nouveau un entretien d'embauche plus classique avec celui qui serait mon futur manager», liste le jeune homme, débauché à la sortie de son alternance. Un parcours sinueux auquel s'est ajoutée une série de tests. «Ça a commencé par un test psychotechnique, avec des calculs mentaux et de la logique, détaille-t-il. Puis j'ai eu un examen de mon niveau d'anglais et enfin un QCM qui avait plus trait à la vie de bureau»
[..]
«La déception est d'autant plus grande que le processus est long, parce qu'à mesure que les entretiens passent; on se projette», renchérit Gautier, 29 ans, qui a passé pas moins de neuf entretiens - sur son temps de travail -, pour un poste de responsable des relations presse d'un grand guide gastronomique. Même après un mail envoyé pour comprendre la décision de l'employeur, le jeune homme n'a obtenu aucune réponse.
faudrait fait un topic RH :o
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En tant que dev, ça aurait été mon rêve de travailler là-bas durant la période Révolution, où ils innovaient tout le temps, avec plein de chose à inventer.
Mais maintenant, avec leur box standardisés et l'image moins "geek" niveau innovation, ça donne moins envie. Surtout quand je vois les mêmes offres d'emploi revenir, comme si les recrues ne restaient pas