Auteur Sujet: Avion: moteur qui s'arrête en vol  (Lu 11564 fois)

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corrector

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Avion: moteur qui s'arrête en vol
« le: 05 juillet 2013 à 00:00:34 »
Les clims se sont arrêtées faute de puissance électrique c'est ce que j'ai compris. Ca me parait fou, c'est quand même "banal" une coupure ERDF comme type de problème. C'est comme un moteur qui s'arrête en avion, c'est le B-A-BA de l'urgence  :(
Le moteur qui s'arrête en avion, est-ce si courant?

Snickerss

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Avion: moteur qui s'arrête en vol
« Réponse #1 le: 05 juillet 2013 à 00:22:54 »
Le moteur qui s'arrête en avion, est-ce si courant?


Plusieurs incidents rien que sur l'A380 par exemple ou l'avion fait demi tour par mesure de sécurité même s'il vol sur 3 réacteurs. Pour les avions de tourisme, un formateur m'avait dit que cela lui était arrivé plusieurs fois dans sa vie, donc "courant" non, mais probable oui complètement.

corrector

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Avion: moteur qui s'arrête en vol
« Réponse #2 le: 05 juillet 2013 à 01:25:24 »
Vol 32 Qantas

Accident


Trajet du vol 32 Qantas.
L'accident s'est produit le 4 novembre 2010 à 10h01 heure locale (02h01 UTC) alors que l'appareil redécollait de Singapour en direction de Sydney. Quatre minutes après le décollage, en pleine phase de montée au dessus de l'île de Batam, l'explosion non contenue du disque de la turbien à pression intermédiaire du réacteur n°2 a provoqué de nombreux dégâts sur l’aile gauche3. La projection de débris et de morceaux de disque a détruit le carénage du réacteur, perforé l'aile et endommagé le système d’approvisionnement en kérosène. Les débris ont également désactivé un des systèmes hydrauliques et les freins anti-blocage, mis les réacteurs n°1 et n°4 en mode dégradé, endommagé le fonctionnement des dispositifs hypersustentateurs de l'aile gauche et le système de contrôle du réacteur n°14.

Immédiatement après l'explosion, l'ordinateur de bord a affiché 54 messages d’alerte que les pilotes ont mis 50 minutes à analyser. Après avoir établi que l'avion était contrôlable, l'équipage a emprunté une trajectoire d'attente près de l'aéroport de Changi afin d'évaluer le situation de l'appareil. Au bout de 50 minutes, l'officier pilote de ligne et le Senior Check-Captain ont calculé qu'avec une surcharge de 50 tonnes, l'appareil pouvait atterrir et s'arrêter 100 m avant la fin de la piste. Après avoir utilisé le système d'extension du train d'atterrissage par gravité, l'équipage a posé l'appareil à 11h46. A cause d'un poids et d'une vitesse trop élevés, quatre pneus se sont dégonflés lors de la phase de freinage4.

Durant l’atterrissage, l'équipage n'a pas été capable couper le moteur n°1, qui a dû être arrosé par les services d'urgence durant plus de 2 heures, jusqu'à son extinction. Les passagers n'ont pas été évacués en urgence mais sont sortis normalement par une porte du coté droit après qu'un escalier mobile eut été apporté5.

Il n'y a eu aucun blessé parmi les 440 passagers et les 29 membres d'équipage mais des débris tombés au sol ont endommagé une école et des maisons6 et légèrement blessé deux personnes7.

Cause de l'accident

L'agence australienne de sécurité des transports et le motoriste Rolls-Royce ont enquêté sur l'accident et ont établi que c'est un « défaut de fabrication des turbines haute pression et à pression intermédiaire, là où le circuit distribue l'huile pour les roulements des arbres » qui est en cause : il a entraîné un frottement d'un composant mal placé contre la paroi d'un tuyau8, qui a ensuite causé des « fissures liées à la fatigue, des fuites d'huile et des feux d'huile dans les turbines haute pression et pression intermédiaire »3,9. C'est donc Rolls-Royce qui a été reconnue coupable, et dû verser un dédommagement de 72 millions d'euros à la compagnie australienne. Cet appareil a repris ses vols commerciaux en avril 201210.

Conséquences

Immobilisation de la flotte

Qantas, par la voix de son directeur général Alan Joyce, décide de suspendre pendant 48 heures les vols de sa flotte d'A380, un délai prolongé ensuite jusqu'à la fin du mois de novembre11, suite à la découverte de défaillances lors des vérifications techniques sur les moteurs Trent 900 fabriqués par Rolls-Royce12,13,14.

Rolls-Royce a procédé au remplacement de l'ensemble des moteurs Trent 900 équipant les A380 en service, ce qui provoque des retards dans les livraisons des nouveaux A380 équipés de ces réacteurs15, livraisons qui étaient initialement prévues pour le mois de décembre 2010 et sur le premier semestre de l'année 2011.

Réparation et compensation

L'appareil accidenté a été réparé pour un coût d'environ 139 millions de dollars australiens. Les quatre moteurs ont été remplacés, l'aile a été réparée et six kilomètres de câblage ont été changés. Après de nombreux tests au sol et en vol, l'avion est retourné en Australie le 22 avril 2012 et a repris son service le 28 avril 2012. Les réparations ont causé un surpoids de l'appareil de 94 kg.

Fissures et consigne de navigabilité

Durant les réparations, des micro-fissures ont été découvertes sur le bord avant de l'appareil et une consigne de navigabilité a été émise par l'Agence européenne de la sécurité aérienne pour les vingt Airbus A380-841, A380-842 et A380-861 qui avaient accumulé plus de 1 200 heures de vol, ceux avec moins de 1 800 heures de vol devant être inspectés avant 6 semaines ou 84 vols et ceux avec plus de 1 800 heures devant être inspectés sous 4 jours ou 14 vols. Le 8 février 2012, ces vérifications ont été étendues aux 68 A380 en service16.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Vol_32_Qantas







La cause de l’incident du vol QF32
La rupture de fatigue (fatigue cracking) sur ce conduit d’huile causée d’un défaut d’alignement d’un alésage (misaligned counter-bore) a entrainé la fuite d’huile fatale.
Document : ATSB


Dommages causés au câblage électrique situé dans le bord d’attaque de l’aile gauche

http://www.aerobuzz.fr/?article1332


Un réacteur Trent 900 impliqué dans l'incident de l'A380 de Qantas - Reuters

Le constat des autorités australiennes de l’aviation civile est sans équivoque : la responsabilité du motoriste Rolls-Royce est pleinement engagée dans l'incident survenu il y a trois ans sur un Airbus A380 de Qantas Airways. Le groupe britannique "a laissé passer de multiples occasion de détecter le défaut qui a provoqué l’explosion d’un de ses réacteurs" du super jumbo, conclut-elles dans le rapport final sur l’incident survenu le 4 novembre 2010 (voir le rapport ci-dessous). Un incident sur les moteurs Trent 900 qui aurait pu conduire au crash de l'apapreil sans les compétences exceptionnelles des pilotes (voir la vidéo ci-dessous) qui ont réussi un atterrissage forcé particulièrement délicat, souligne l’Australian Transport Safety Bureau (ATSB).


http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/air-defense/actu/0202857598013-incident-sur-un-a380-de-qantas-rolls-royce-responsable-selon-les-autorites-australiennes-580144.php






http://avherald.com/h?article=43309c6d/0007&opt=0

Voir aussi In-flight uncontained engine failure overhead Batam Island, Indonesia
« Modifié: 05 juillet 2013 à 01:59:51 par corrector »

corrector

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Next-Up danse sur les tombes des victimes de AF447
« Réponse #3 le: 05 juillet 2013 à 03:53:19 »
Les marchands de peur de Next-Up peuvent-ils descendre plus bas?

http://www.next-up.org/Newsoftheworld/Airbus.php

Citer
Crash Airbus vol AF447 Rio-Paris : Bug électromagnétique de l’avionique

Depuis la catastrophe du vol AF447 Rio-Paris de l’Airbus A330 de juin 2009, une masse considérable d’informations étaient disponibles, mais depuis et surtout au regard des analyses issues des boites noires récupérées en mai 2011, le FDR (Flight Data Recorder) qui enregistre les paramètres techniques du vol et le CVR (Cockpit Voice Recorder) qui enregistre les conversations dans la cabien de pilotage, le scénario ayant abouti au crash a été entièrement "décrypté" et la vérité sur l'origine exacte du crash connue.

Des nombreuses et possibles hypothèses initiales à l’origine du crash, une seule est devenue maintenant une certitude crédible et avérée : Le crash de l’Airbus d’Air France est la résultante de plusieurs causes dont l’essentielle et majeure est un bug général électromagnétique de toute l’avionique, par une dépassement des seuils d’immunités de la Compatibilité Electromagnétique (CE), le givrage éventuel des sondes Pitot n’étant qu’un élèment défaillant en cause.

Tellement avérée que personne sauf Next-Up n'évoque cette hypothèse!

Citer
Le crash est donc la résultante de l’échec TOTAL des normes de compatibilité électromagnétique appliquées à l’instrumentation électronique embarquée (avionique), le pire étant pour l’avionneur Airbus et les autres inclus, que la redondance des systèmes (doublement et totale indépendance) qui est censée fiabiliser à 100 % l’avionique dans un état de criticité a elle aussi été impactée par le bug électromagnétique.

Au-delàs de la catastrophe humaine (228 morts) c’est  donc la "philosophie industrielle" du tout électronique des avionneurs qui est remise en cause par les modèles actuels appliqués à la Compatibilité Electromagnétique (CE), les enjeux industriels sont colossaux.
Voilà, on va remettre en cause la "philosophie industrielle" sur la base d'une hypothèse soutenue par strictement rien!

Citer
A 23 heures précises le pilote envoie un signal manuel annonçant qu'il traverse une zone instable de cumulonimbus noirs extrêmement chargés en électricité qui s'accompagne de vents violents et d'éclairs donc des décharges électriques de foudre.
Est-ce que Next-Up aurait une information exclusive indiquant que l'Airbus a été foudroyé?

Citer
A 23h 10 : l’avion transmet par l’ACARS (Aircraft Communications Adressing and Reporting System) une succession de messages automatiques d'anomalies dont 14 en rafale en une seule minute. Il est constaté que le pilotage automatique est désengagé, cette opération peut avoir été décidée par l'équipage ou par les systèmes de sécurité, néanmoins cette déconnexion intervient automatiquement lorsque les ordinateurs détectent une panne grave. Autre information importante transmise par l’ACARS, les commandes électriques de vol qui activent les volets et les ailerons, passent en alimentation de secours, ce mode se déclenche en cas de pannes électriques multiples, c’est une indication majeure qui peut néanmoins avoir plusieurs origines dont un dommage structurel, il n’en reste pas moins que les moyens de contrôle nécessaires pour assurer la stabilité de l'avion sont impactés, ainsi que les systèmes de vols.
Le passage sur système de secours indique que les moyens de contrôle nécessaires pour assurer la stabilité de l'avion sont impactés?

N'importe quoi! S'il y a un système de secours, c'est précisèment pour que "les moyens de contrôle nécessaires pour assurer la stabilité de l'avion" ne soient pas "impactés"!

Citer
A 23h 12 le nouveau message envoyé est gravissime, il signale la panne de l’ADIRU (Air Data Inertial Reference Unit) qui fournit l’ensemble des données capitales nécessaires au vol (automatique ou manuel) comme la vitesse, l’altitude, la direction, la position et l’attitude de l’avion (assiette = incidence + pente, c'est un aspect préponderant pour l'avion, elle combien l'angle de l'axe longitudinal en plan vertical / trajectoire et la pente de l'angle horizontal terrestre / trajectoire), etc … ainsi que conjointement est signalé la panne de l’ISIS (Integrated Standby Instruments System) qui est la source complèmentaire d’informations pour les pilotes, dont une majeure est d’identifier les bugs !!!!!! 
L’écran récapitulatif des paramètres de l’avion de l’ISIS étant situé bien en vue en plein milieu du tableau de bord est donc lui aussi HS. La quasi totalité de l’avionique étant en panne, une minute plus tard, c’est le bug total qui est annoncé par une nouveau message qui signale que c’est au tour de l'ordinateur principal (Prim1) et l'auxiliaire (Sec1) de vol qui s'arrêtent de fonctionner.

Dans ces conditions, même avec le meilleur équipage du monde, l’avion est en perdition, plus aucune commande ne répond correctement aux sollicitations, la situation est totalement incontrôlable et désespérée car toutes les commandes ont un asservissement exclusivement électronique, ce n’est donc plus qu’une question de minutes avant le crash à plat (4 minutes et 21 secondes exactement).
N'importe quoi. Rien ne démontre que les commandes électriques aient cessé de fonctionner. (Cela pourrait arriver, c'est déjà arrivé sur Airbus, mais là rien ne semble aller dans ce sens.)

Citer
A l’époque du crash, ces évènements connus pouvaient suggérer plusieurs hypothèses et un flou qui maintenant après la découverte à 4 100 m de fond de l’épave de l’Airbus, l’analyse physique visuelle des restes de sa structure et le décryptage total de boites noires permettent de donner avec exactitude le scénario complet des événements et les causes du crash : le bug électromagnétique dû au dépassement des seuils d’immunités de la Compatibilité Electromagnétique (CE).
La vache!

Citer
Pourquoi la Compatibilité Electromagnétique (CE) de l’avionique de l’Airbus a-t-elle est défaillante ?
On sait maintennat que le dépassement des seuils d'immunités de la CE a provoqué par étapes un bug général des 140 ordinateurs et calculateurs de bord du système de l'avionique !

Un tel accident, comme d’ailleurs ceux précédents tel que celui du crash de l’Airbus A310 de la Yemenia Airways aux Comores est dû à l’accumulation et à la conjonction en chaîne de défaillances par rapport au dépassement à un moment précis T des normes d’irradiations de la comptabilité électromagnétique.
"On" sait. "On" = Next-Up

Citer
Dans les récents cas d’incidents constatés, par exemple des décrochements, c’est souvent la masse des ordinateurs personnels restant èmetteurs en mode WiFi qui créaient un bain radiatif dans la carlingue qui arrive à "buger" l’avionique comme par exemple pour le spectaculaire décrochement pour le vol QF72 de l’Airbus A330 de la Qantas [Dossier complet avec reportage photographique].

Pareillement des passagers qui en phase finale d’atterrissage arrivent à accrocher une BST avec leurs téléphones mobiles provoquent un bug de l’avionique et le crash du Boeing 777 de la British Airways à Heathrow [Dossier complet].

Plus récemment plus de 100 téléphones mobiles en fonction dont les irradiations passives bug l’électronique des instruments de vol et engendre le crash du Tupolev du président Polonais Lech Kaczyński le 10 avril 2010 (PDF].
Des irradiations passives, par opposition aux irradiations actives.

Citer
Ce crash met fin à un mythe, comme celui du Titanic qui ne pouvait pas couler, le mythe, savamment entretenu avec convictions par Airbus pendant des années de l’avion qui ne peut décrocher : la réalité de l’impact du nouvel environnement électromagnétique démontre maintenant le contraire : Ce crash est un avertissement payé cash.
Ces protections ne fonctionnent qu'en Loi Normale (Normal Law). L'Airbus était en Alternate Law.

L'indication de vitesse très faible a désactivé l'alarme de décrochage. Ce fait à lui seul explique la confusion des pilotes dont l'action qui aurait sauvé l'avion a provoqué une alarme de décrochage. Enfin le trim automatique semble avoir ajouté à la confusion (mon intuition : sans le trim auto la catastrophe n'aurait pas eu lieu).

Bon, si quelqu'un avait la moindre trace de respect ou de considération pour Next-Up, j'espère qu'elle est partie.

corrector

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Next-Up danse sur les tombes des victimes de AF447
« Réponse #4 le: 05 juillet 2013 à 04:31:05 »
La thèse de Next-Up du bug informatique causé par des interférences qui s'ajoute à la défaillance du pitot ressemble à

Semicontrolled Demolition

BadMax

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Avion: moteur qui s'arrête en vol
« Réponse #5 le: 05 juillet 2013 à 16:29:47 »
En effet, la thèse de Next-Up est complètement farfelue.

La résistance aux CEM est prise en compte depuis bien longtemps et le crash de l'AF447 n'a hélas rien à voir avec. Les messages ACARS étaient déjà suffisament clairs pour que les spécialistes (ex-forum Euro-cockpit suivi par les PN francophones) en arrivent aux mêmes conclusions que le BEA : l'avion est parti en décrochage et le pilote ne s'en est pas rendu compte. Point.

corrector

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Avion: moteur qui s'arrête en vol
« Réponse #6 le: 05 juillet 2013 à 21:48:00 »
En plus avec Next-Up, on a vraiment un comportement de monomaniaque : quel que soit le sujet, ils vont chercher à incriminer les ondes E-M. (Comme d'autres incriminent les jeux vidéo, ou les films violents, ou le porno sur Internet.)

En tapant au passage sur le BEA - qui ne me semble pas net sur quelques affaires, mais ça n'apporte rien puisque tout le monde propose la même suite d'événements.

Dans cette thèse "0 %" (raisonnement garanti 0 % avec de preuve dedans), on peut absolument tout dire. On peut mettre sur le même plan les équipements Wifi est un nuage d'orage. Et on pourra toujours trouver une source d'ondes dans un avion! Même s'il voyage à vide, on pourra dire qu'un calculateur a envoyé des ondes qui ont fait planter l'autre!

Il n'y a pas besoin d'établir un lien causal, ni même de montrer un lien statistique. Quand une chose se trouve affublée du symbole radioactif, on n'a plus besoin de démontrer qu'elle est mauvaise.

Bizarrement la radioactivité n'est pas évoquée par Next-Up. Pourtant l'environnement habituel des avions est connu pour être (un peu) radioactif, et on sait les ordinateurs ne font pas bon ménage avec la radioactivité. Et la radioactivité (gamma, X) est difficile à arrêter (il faut un épais blindage), alors qu'une peau métallique pas très épaisse suffit à déplacer les charges électrostatiques (pas les grosses décharges bien sûr).

C'est à dire, on est réellement sûr de ces points, que personne ne conteste. Ce ne sont pas de vagues hypothèses à démontrer.

BadMax

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Avion: moteur qui s'arrête en vol
« Réponse #7 le: 05 juillet 2013 à 22:34:54 »
En tout cas merci, tu m'as fait "découvrir" Next-Up. Je suis allé voir la première page et là je lis : "Enquète nationale santé Linky sur les syptomes biologiques et sanitaires ressentis par les possesseurs du compteur Linky d'ERDF par rapport aux rayonnements artificiels du CPL". Rien que le titre m'a fait éclater de rire.

L'alerte "Dèmence numérique" a l'air de valoir aussi son pesant de cacahouètes.

Ou encore
"Rapport 4G : L’accentuation de la pollution environnementale par les irradiations micro-ondes du cloud est énergivore.
C’est une contribution disproportionnée qui brouille les prévisions d’évolution de la consommation mondiale d’énergie."

C'est pas faux.

corrector

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Chercheurs de truffes
« Réponse #8 le: 05 juillet 2013 à 23:08:58 »
Tiens, ça me fait penser au chercheurs de truffes du 11 septembre qui donnent du "pyroclastique" à tout bout de champs sans savoir ce que ça veut dire (ni même remarquer la racine pyro-) et ne peuvent pas faire une recherche sur Google (ou autre) pour voir la définition.

Si leur dit que c'est du délire, ils répondent un truc du style : alors vous croyez que le gouvernement de G. Bush dit toujours la vérité?

BadMax

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Avion: moteur qui s'arrête en vol
« Réponse #9 le: 05 juillet 2013 à 23:47:49 »
J'ai trouvé le meilleur du meilleur :
Citer
- Son compressé MP3 = Danger Surdité avec le Pr Bruno Frachet chef de service ORL hôpital Rotchschild et Christian Hugonnet ingénieur acousticien (Reportage HD)
- Le principe du son compressé MP3 provoque des dommages et une altération des échanges des cellules ciliées qui deviennent incapables de répondre correctement aux stimulations du processus consistant à transformer les vibrations sonores en signal électrique via le nerf auditif.
L'importance des dommages aux cellules ciliées va déterminer le degré de perte auditive."

Trop fort l'amalgame avec le niveau sonore des baladeurs.

corrector

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Avion: moteur qui s'arrête en vol
« Réponse #10 le: 06 juillet 2013 à 00:09:12 »
Donc le son moche de Deezer, en plus ça détruit les cellules?

Bensay

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Next-Up danse sur les tombes des victimes de AF447
« Réponse #11 le: 06 juillet 2013 à 17:30:34 »
Les marchands de peur de Next-Up peuvent-ils descendre plus bas?

http://www.next-up.org/Newsoftheworld/Airbus.php

N'importe quoi! S'il y a un système de secours, c'est précisèment pour que "les moyens de contrôle nécessaires pour assurer la stabilité de l'avion" ne soient pas "impactés"!
N'importe quoi. Rien ne démontre que les commandes électriques aient cessé de fonctionner. (Cela pourrait arriver, c'est déjà arrivé sur Airbus, mais là rien ne semble aller dans ce sens.)
La vache!
"On" sait. "On" = Next-Up
Des irradiations passives, par opposition aux irradiations actives.
Ces protections ne fonctionnent qu'en Loi Normale (Normal Law). L'Airbus était en Alternate Law.

L'indication de vitesse très faible a désactivé l'alarme de décrochage. Ce fait à lui seul explique la confusion des pilotes dont l'action qui aurait sauvé l'avion a provoqué une alarme de décrochage. Enfin le trim automatique semble avoir ajouté à la confusion (mon intuition : sans le trim auto la catastrophe n'aurait pas eu lieu).

Bon, si quelqu'un avait la moindre trace de respect ou de considération pour Next-Up, j'espère qu'elle est partie.

Moi ce qui me fait rire c'est la BST.

Quelqu'un c'est ce qu'une BST (A part peut être le Bureau de Securité des Transports) ?

Cordialement
Bensay