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Bistro => Discussion démarrée par: Damien le 03 février 2013 à 21:09:32
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Je pense que cet article peut plaire à certains membres de lafibre.info :
http://passeurdesciences.blog.lemonde.fr/2013/02/03/physique-la-masse-se-mesure-aussi-en-secondes (http://passeurdesciences.blog.lemonde.fr/2013/02/03/physique-la-masse-se-mesure-aussi-en-secondes)
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Le fameux E=mc2 d'Einstein établit l'équivalence entre matière et énergie (ce qui explique le mécanisme interne des étoiles et la bombe atomique).
N'importe quoi.
la dilatation du temps.
Non.
Physiquement, LE temps ça n'existe pas. Il y a UN temps pour chaque horloge.
Parler de la dilatation de quelque chose en soi ça ne veut rien dire. Il faut comparer à autre chose : un objet qui rentre dans un trou, on le dilate il ne rentre plus dans le trou, ça c'est de la physique.
Le temps est relatif et non pas absolu
donc ça n'a pas de sens de dire que le temps s'écoule lentement. Par contre on peut dire que des horloges ont divergées.
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Oui il aurait plutôt fallu parler de dilatation de l'espace-temps, c'est une notion plus correcte.
Sinon cette autre piste pour quantifier la masse est intéressante.
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N'importe quoi.
Non.
Il devient de plus en plus difficile de discuter avec toi, et de te comprendre, corrector. Ces derniers temps, tu y vas fort, je trouve. Ce genre de post n'est absolument pas fait pour ouvrir la discussion, mais pour la fermer... Je me trompe?
Physiquement, LE temps ça n'existe pas. Il y a UN temps pour chaque horloge.
Peux-tu expliquer un peu plus, stp?
Parler de la dilatation de quelque chose en soi ça ne veut rien dire. Il faut comparer à autre chose : un objet qui rentre dans un trou, on le dilate il ne rentre plus dans le trou, ça c'est de la physique.
donc ça n'a pas de sens de dire que le temps s'écoule lentement.
Avant de critiquer (c'est systématique chez toi), peux-tu relire l'article, stp? L'article dit texto "le temps s'écoule moins vite", et non "le temps s'écoule lentement". Donc je ne vois pas ce qu'il y a à redire là dessus!
Pour finir, quel est l'intérêt de reprendre tout le monde sur des points de détail, des définitions, les "adresses routables", le temps, comme tu le fais si bien? Ca fait avancer le schmilblick? Du moment que tout le monde se comprend (toi y compris pour les adresses routables et le temps), même en employant pas un vocabulaire archi-ultra-précis, ça suffit, non?
Leon.
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Oui il aurait plutôt fallu parler de dilatation de l'espace-temps, c'est une notion plus correcte.
Dilatation ou déformation?
Sinon cette autre piste pour quantifier la masse est intéressante.
Oui, c'est fascinant.
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Il devient de plus en plus difficile de discuter avec toi, et de te comprendre, corrector.
Pourtant je fais des efforts pour détailler, pour expliquer. Et je dois dire que parfois j'ai un peu l'impression de parler dans le vide, et de réexpliquer les mêmes trucs dans le même topic, et ça ne donne pas envie d'expliquer plus davantage.
Ces derniers temps, tu y vas fort, je trouve. Ce genre de post n'est absolument pas fait pour ouvrir la discussion, mais pour la fermer... Je me trompe?
Ouvrir la discussion sur quoi? Le fait que E=mc² explique le fonctionne d'une bombe atomique? Le fait que les frais de résiliation sont des frais de résiliation? Le fait que "en bon père de famile" ne veut rien dire concernant l'usage d'un téléphone?
Il n'y a rien à discuter. Ce sont des âneries.
Avant de critiquer (c'est systématique chez toi), peux-tu relire l'article, stp?
Non.
L'article dit texto "le temps s'écoule moins vite", et non "le temps s'écoule lentement".
Tu m'expliques la différence?
Donc je ne vois pas ce qu'il y a à redire là dessus!
Alors, tu peux nous expliquer ce que ça veut dire?
Du moment que tout le monde se comprend (toi y compris pour les adresses routables et le temps),
Tu peux expliquer ce que tout le mond comprend par "adresse routable"?
même en employant pas un vocabulaire archi-ultra-précis, ça suffit, non?
Et employant un vocabulaire faux ou qui induit en erreur, ou qui renforce des idées fausses, ça aide qui?
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Je pense que cet article peut plaire à certains membres de lafibre.info :
http://passeurdesciences.blog.lemonde.fr/2013/02/03/physique-la-masse-se-mesure-aussi-en-secondes (http://passeurdesciences.blog.lemonde.fr/2013/02/03/physique-la-masse-se-mesure-aussi-en-secondes)
Cette recherche est fascinante, mais cet article est je trouve très mauvais car il renforce les stéréotypes suivants :
1) Albert Einstein a dit que la matière peut devenir de l'énergie
Einstein dit strictement l'inverse : l'énergie se conserve; dans un système fermé, rien (d'autre que autant d'énergie sous une autre forme) ne se transforme en énergie, ce qui ferait augmenter la quantité d'énergie!
La masse étant équivalente à l'énergie (donc la masse peut se mesurer en Joules, ou bien l'énergie peut se mesurer en grammes), la masse ne se transforme en rien du tout. Surtout pas en énergie, vu que c'est de l'énergie.
2) le temps peut ralentir : cela suppose qu'il y a un temps absolu et un temps relatif qui se dérègle par rapport au temps absolu.
Albert Einstein dit strictement l'inverse : le temps est un concept physique qui a un sens uniquement local; chaque métronome a un temps propre.
Le temps global est juste quelque chose qu'on ne peut pas définir physiquement, parce qu'on ne peut pas l'approcher autant qu'on veut : définir le temps global c'est ni plus ni moins définir la simultannéité. La "révélation" physique qui est en fait une remarque "de bon sens" (mais contraire à l'intuition courante) est que la simultannéité précise globale (à grande distance) n'a pas de sens physique!
Si je demande à quelqu'un l'heure, pour la donner avec précision il va commencer à èmettre un son au moment où l'aiguille passe un point. À la précision temporelle de mon oreille, je vais avoir la même heure que lui. Mais il faudra aussi tenir compte de la distance : si la personne est loin, ou que je veux un réglage précis, le temps que met le son pour arriver n'est plus négligeable! Avec un système électronique on utilisera des ondes E-M, donc il faut tenir compte du délais en terme de la vitesse de phase de l'onde lumineuse, c'est à dire vitesse effective de la transport de l'énergie lumineuse dans le milieu donné (pas c, mais c multiplié par l'indice optique du milieu pour la longueur d'onde utilisée).
On peut indiquer les distances en "unité naturelle", c'est à dire en temps mis pour parcourir cette distance à la vitesse de l'onde de lumière. C'est en quelque sorte le "ping" absolu entre deux personnes qui cherchent à communiquer : selon leur distance, ils ne peuvent échanger plus rapidement. C'est une limite de précision de comparaison de l'heure indiquée par des horloges éloignées.
On synchronise des systèmes avec des "ping", donc la latence minimum d'un ping limite la précision de la synchronisation des systèmes éloignés.
Une horloge "lente" est ralentie par rapport au temps qu'elle est censée mesurer. Avec plusieurs horloges cote à cote, on peut définir celles qui ralentissent ou celles qui accélèrent, il suffit d'avoir une horloge de meilleure qualité. Si on éloigne des horloges on va envoyer des ping pour comparer les heures indiquées. Comment définir un décalage entre deux horloges éloignée qui est en fait inférieur au delais que mettent ces ping?
Quel est le temps propre de référence par rapport auquel on définit le temps qui soi-disant ralentirait?
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Cette recherche est fascinante, mais cet article est je trouve très mauvais car il renforce les stéréotypes suivants :
[...]
2) le temps peut ralentir : cela suppose qu'il y a un temps absolu et un temps relatif qui se dérègle par rapport au temps absolu.
Albert Einstein dit strictement l'inverse : le temps est un concept physique qui a un sens uniquement local; chaque métronome a un temps propre.
Encore une fois, je ne te comprends vraiment pas, corrector.
Où as-tu vu dans cet article qu'on faisait référence à un "temps absolu"? Au contraire, l'article semble décrire la même chose que toi en ce qui concerne le "temps relatif".
Je cite l'article:
On aurait pu rester bloqué dans cette impasse si Holger Müller et son équipe n'avaient pas eu une astucieuse idée basée sur une étonnante conséquence de la théorie de la relativité restreinte d'Einstein (toujours lui) : la dilatation du temps. Aussi étrange que cela paraisse, quand un objet se déplace, le temps s'écoule moins vite pour lui que pour un objet immobile. Le temps est relatif et non pas absolu, ce qui a été confirmé par des expériences comparant l'heure indiquée par des horloges atomiques embarquées dans des avions à celle donnée par d'autres horloges atomiques demeurées au sol. Une fois leur voyage aérien terminé, les premières étaient un peu en retard sur les secondes. Les satellites du système GPS qui se déplacent à grande allure au-dessus de nos têtes corrigent d'ailleurs en permanence leurs données pour tenir compte de la dilatation du temps.
Leon.
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Où as-tu vu dans cet article qu'on faisait référence à un "temps absolu"?
"dilatation du temps"
Au contraire, l'article semble décrire la même chose que toi en ce qui concerne le "temps relatif".
Je cite l'article:
On aurait pu rester bloqué dans cette impasse si Holger Müller et son équipe n'avaient pas eu une astucieuse idée basée sur une étonnante conséquence de la théorie de la relativité restreinte d'Einstein (toujours lui) : la dilatation du temps. Aussi étrange que cela paraisse, quand un objet se déplace, le temps s'écoule moins vite pour lui que pour un objet immobile.
Pour moi, la vitesse d'écoulement du temps présuppose qu'il existe un temps absolu qui sert à définir le ralentissement du temps. L'existence du temps absolu n'a pas besoin d'être énoncée explicitement, elle est présente dans cette phrase, pour moi.
Donc, pour moi, cette phrase n'a pas de sens.
Que la phrase suivante dise exactement le contraire n'aide en rien à ma compréhension (qui est mon sens modèle de personnes cherchant à comprendre).
Les raccourcis comme "le temps s'écoule moins vite", "les adresses IP privées ne sont pas routables", "grâce au pare-feu, tous les ports sont fermés" me dérangent énormèment. Cela sous entend des choses carrèment fausses - pas approximatives, pas imprécises, pas imparfaitement exprimées, vraiment, complètement fausses.
Je ne sais pas ce qu'induit ce genre de propos sur la physique relativiste dans la tête des gens, parce que je discute rarement de relativité, mais je constate en pratique que l'idée de port TCP ouvert ou fermé cause des ravages.
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Ce genre de phrase est-elle défendable :
Le fameux E=mc2 d'Einstein établit l'équivalence entre matière et énergie (ce qui explique le mécanisme interne des étoiles et la bombe atomique).
La bombe atomique, et une pile de 1,5 V, aussi...
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"dilatation du temps"
Pour moi, la vitesse d'écoulement du temps présuppose qu'il existe un temps absolu qui sert à définir le ralentissement du temps. L'existence du temps absolu n'a pas besoin d'être énoncée explicitement, elle est présente dans cette phrase, pour moi.
Donc, pour moi, cette phrase n'a pas de sens.
Franchement, je ne vois pas comment on peut mal interpréter ça. Parler de vitesse d'écoulement du temps, de dilatation du temps, ne fait pas appel à une référence absolue du temps! Ca n'est que ton interprétation des phrases, rien d'autre. Alors dire que c'est "n'importe quoi" à cause d'une erreur d'interprétation de ta part, c'est fort, je trouve!
Bref, j'ai l'impression que tu es d'accord avec toi même, et que tu nous le fait (un peu trop) souvent savoir. Franchement, si tu critiques comme ça ce qui ne corresponds pas à TON vocabulaire, à TES définitions, je ne vois pas comment on peut s'en sortir. Tu as vraiment la critique facile, je trouve.
Leon.
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Franchement, je ne vois pas comment on peut mal interpréter ça.
Je ne vois pas quoi comprendre d'autre.
Parler de vitesse d'écoulement du temps, de dilatation du temps, ne fait pas appel à une référence absolue du temps! Ca n'est que ton interprétation des phrases, rien d'autre.
Peux-tu m'expliquer comment tu l'interprètes?
Bref, j'ai l'impression que tu es d'accord avec toi même, et que tu nous le fait (un peu trop) souvent savoir.
Ah.
Franchement, si tu critiques comme ça ce qui ne corresponds pas à TON vocabulaire, à TES définitions, je ne vois pas comment on peut s'en sortir. Tu as vraiment la critique facile, je trouve.
Quels sont les termes de mon vocabulaire qui ne sont pas généralement connus?
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Je pense que cet article peut plaire à certains membres de lafibre.info :
http://passeurdesciences.blog.lemonde.fr/2013/02/03/physique-la-masse-se-mesure-aussi-en-secondes (http://passeurdesciences.blog.lemonde.fr/2013/02/03/physique-la-masse-se-mesure-aussi-en-secondes)
J'allais oublier l'essentiel : Merci Damien pour cet article intéressant. Je trouve ça rassurant de voir qu'il y a encore plein de choses à explorer en physique.
Leon.
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Où as-tu vu dans cet article qu'on faisait référence à un "temps absolu"? Au contraire, l'article semble décrire la même chose que toi en ce qui concerne le "temps relatif".
Je cite l'article:
On aurait pu rester bloqué dans cette impasse si Holger Müller et son équipe n'avaient pas eu une astucieuse idée basée sur une étonnante conséquence de la théorie de la relativité restreinte d'Einstein (toujours lui) : la dilatation du temps. Aussi étrange que cela paraisse, quand un objet se déplace, le temps s'écoule moins vite pour lui que pour un objet immobile. Le temps est relatif et non pas absolu, ce qui a été confirmé par des expériences comparant l'heure indiquée par des horloges atomiques embarquées dans des avions à celle donnée par d'autres horloges atomiques demeurées au sol. Une fois leur voyage aérien terminé, les premières étaient un peu en retard sur les secondes. Les satellites du système GPS qui se déplacent à grande allure au-dessus de nos têtes corrigent d'ailleurs en permanence leurs données pour tenir compte de la dilatation du temps.
Raisonnement élèmentaire :
Si le temps ralentit (quoi que ça signifie, du moment que ça signifie quoi que ce soit) quand on se déplace à grande vitesse cela signifie qu'on peut définir "se déplacer à grande vitesse" et qu'on peut déterminer que quelqu'un s'est déplacé à grande vitesse (en comparant les horloges).
Donc, la vitesse (ou quelque chose basé sur la vitesse) est définie dans l'absolu, ainsi que l'immobilité (ou le fait d'avoir une vitesse inférieure).
Autrement dit : il n'y a pas de relativité. La théorie de la relativité est basée sur un postulat faux.
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Oui j'allais dire et le fond dans cette histoire ^^ !
Il faut dire que cela fait un moment que les physiciens essaient de trouver un moyen de se passer d'étalon physique pour la masse. C'est encore la seul unité représenté par un objet physique réel.
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" Les satellites du système GPS qui se déplacent à grande allure au-dessus de nos têtes "
Le satellite a t-il l'impression de se déplacer à grande vitesse?
Il serait immobile dans le vide intersidéral, il ressentirait bien la même chose (c'est à dire presque rien).
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ET??
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Comment cela s'harmonise avec ce qui a été dit précédemment sur les horloges?
J'ai beaucoup de mal avec ces concepts.
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Autrement dit : il n'y a pas de relativité. La théorie de la relativité est basée sur un postulat faux.
Ah ouaih, quand même!
Leon.
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C'est ce que je déduis directement de l'article cité.
Tu vois une erreur dans mon propos?
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cas très simple: Prend une horloge atomique (horloge les plus précises au monde), dans le champ de gravite terrestre sur la terre ferme. Et une autre dans le satellite a 400Km d'altitude toujours dans le champ de gravité terrestre.
Du faite que le champ de gravité terrestre est moins puissant lorsqu'on s'éloigne de la terre, cela induit que le temps à bord du satellite s'écoule moins vite que sur terre. Cette expérience avec ces horloges ultra précises est vérifiée tout les jours.
Par conséquent il convient fréquemment de prendre en compte cette désynchronisation des horloges pour le système GPS sinon les erreurs de positionnement seraient de plusieurs kilomètres au lieu du centimètre aujourd'hui.
C'est une application directe de la relativité d'Einstein.
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Du point de vue de la Terre, je suppose.
(Du point de vue d'un satellite, il n'y a pas de gravité, il est juste immobile.)
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Bien sur que si, il y a une gravité. Pourquoi veux tu qu'il n'y en ai pas?
Tu mélanges gravité et référentiel !!!
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Ah oui?
Comment satellite ressent la gravité terrestre? ? ?
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Ben en étant attiré par la terre et lui en attirant la terre. Le satellite ne flotte pas, il tombe indéfiniment autour de la terre. Cela s'appel la mise sur orbite. Tout corps s'attirent. Loi de la gravitation.
Partout dans l'univers tu sera soumis à un champs de gravité. La gravitation est une force dont l'influence est infinie.
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Du point de vue du satellite : il flotte.
Sinon, indique moi comment le satellite sait qu'il ne flotte pas. Sans observer la Terre de préférence!
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Du point de vue du satellite : il flotte.
Ça ne veut rien dire. Dans le référentiel du satellite, lui est immobile et le reste bouge. Mais où veux tu en venir?
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Il n'est pas soumis à la gravité, de son point vue.
Dans le référentiel du satellite, lui est immobile
Donc, il n'est pas accéléré.
Donc, il n'est soumis à aucune force, ou des forces qui s'annulent exactement.
Or il ne peut être soumis à aucune autre force (sinon : laquelle?).
Donc, il n'est pas soumis à la gravité terrestre.
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Tu mélanges référentiel (qui une notion purement mathématique) et champ de gravité.
Accélération nulle ne veut pas dire mouvement nul . Attention!!!
Etre immobile ne veut pas dire qu'il n'y a pas de force qui s'exerce. Comme tu le dis des forces peuvent être en équilibre.
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Tu mélanges référentiel (qui une notion purement mathématique)
Ah bon?
Le référentiel n'est pas une notion de physique?
et champ de gravité.
Le champ de gravité n'est pas mesuré dans un référentiel?
Accélération nulle ne veut pas dire mouvement nul.
Je ne dis pas ça!
Immobile veut dire accélération nulle!
Et immobile ne veut pas dire qu'il n'y a pas de force qui s'exerce. Comme tu le dis des forces peuvent être en équilibre.
Je répète ma question :
Or il ne peut être soumis à aucune autre force (sinon : laquelle?).
Si tu penses qu'il y a d'autres forces, j'aimerais que tu précise lesquelles.
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Ben en étant attiré par la terre et lui en attirant la Terre.
Oui. D'un point de vue terrien.
Le satellite ne flotte pas, il tombe indéfiniment autour de la terre.
Si tu considères le satellite tout seul, sans t'occuper de la Terre, c'est la même chose!
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Avant de critiquer (c'est systématique chez toi), peux-tu relire l'article, stp? L'article dit texto "le temps s'écoule moins vite", et non "le temps s'écoule lentement". Donc je ne vois pas ce qu'il y a à redire là dessus!
Pour finir, quel est l'intérêt de reprendre tout le monde sur des points de détail, des définitions, les "adresses routables", le temps, comme tu le fais si bien? Ca fait avancer le schmilblick? Du moment que tout le monde se comprend (toi y compris pour les adresses routables et le temps), même en employant pas un vocabulaire archi-ultra-précis, ça suffit, non?
Tu confonds deux choses complètement différentes :
- quand j'affirme qu'il faut écrire "chiffrer" et non "crypter" : c'est un point de vocabulaire non critique (mais ce n'est pas une raison pour se tromper ni pour propager un usage incorrect) qui ne change pas le sens du message; tu peux appeler ça du pinaillage si tu veux! Mais saches que je n'en fait pas une maladie, je trouve ça juste regrettable. Quand quelqu'un parle de "crypter avec AES" il n'y a bien évidemment aucune ambiguïté sur ce qu'il entend par là.
- quand je contredis une affirmation fausse, qui peut découler d'un usage impropre d'un terme : une adresse privée EST routable. Je ne crois pas que ça soit un problème de vocabulaire, mais je veux bien que les forumeurs me donnent leur définition personnel de "routable". Pour moi c'est évidemment "qui peut être forwardé par une passerelle IP" et je pense qu'il n'y a pas d'autre définition plausible.
- quand je dis que cet article raconte n'importe quoi sur la physique relativiste, ce n'est pas une question de vocabulaire. L'article contient clairement deux contre-vérités : cet article décrit une physique opposée à la relativité. Tu ne peux pas prétendre que c'est du pinaillage. Tu peux éventuellement me dire que je me trompe complètement, que je raconte n'importe quoi sur la physique relativiste, mais pas que je pinaille sur le vocabulaire parce que quand je dis "blanc" et que l'article dit "noir", il faut qu'un moins l'un des deux raconte n'importe quoi sur la physique.
La physique relativiste est un sujet franchement difficile (moins que la physique quantique AMA, mais quand même) sur lequel il y a énormèment de légendes qui circulent, cet article en est l'illustration. Il est d'autant plus important de s'exprimer clairement. Ta critique est de ma critique est d'autant plus malvenue AMHA.
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Ça ne veut rien dire. Dans le référentiel du satellite, lui est immobile et le reste bouge. Mais où veux tu en venir?
Dans une station spatiale, les spationautes flottent : par rapport à leur cadre de vie, la station spatiale, ils ne subissent pas le champs de gravitation de la Terre.
Ils ne peuvent savoir qu'il existe un champs de gravitation de la Terre que parce qu'ils savent que la Terre existe, mais pas parce qu'ils le ressentent, ils ne le ressentent pas.
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Einstein a postulé que Newton avait raison sur la relativité du mouvement (d'où la théorie "de la relativité").
Le temps est relatif et non pas absolu, ce qui a été confirmé par des expériences
Quand Einstein remarque que le temps est un concept physique défini seulement localement, il ne fait pas un postulat physique, il fait une simple observation triviale (mais pas difficile à faire), qui ne peut pas être réfutée par une expérience physique; le temps est local parce qu'on ne sait pas le définir autrement que localement. Le temps est local par définition.
Avant la théorie de la relativité (en gros), on pensait intuitivement qu'il était physiquement global, c'est à dire que toutes les définitions locales du temps coïncident parce que dans la vie courante c'est comme ça.
Mais cela ne peut plus être le cas dès si on fait de l'électromagnétisme avec des postulats de mécanique newtonienne! Dans les équations de Maxwell on parle d'une onde qui se propage, donc :
- ou bien Newton a tort, et il existe une vitesse physique absolue, et il existe une immobilité physique absolue qui est le cadre des équations de l'électromagnétisme;
- ou bien Newton a raison, il n'existe pas une vitesse physique absolue, ni d'immobilité physique, donc il n'existe pas de temps physique absolu, autrement dit les temps locaux ne concordent pas toujours exactement.
Il y a là uniquement un raisonnement logique, ni une observation physique, ni un postulat physique.
Le temps est relatif et non pas absolu, ce qui a été confirmé par des expériences comparant l'heure indiquée par des horloges atomiques embarquées dans des avions à celle donnée par d'autres horloges atomiques demeurées au sol.
Attention, toute expérience qui remettrait en cause le fait que le temps est relatif devrait remettre en cause la relativité de Newton ou bien les lois de Maxwell.
Le temps est relatif et non pas absolu, ce qui a été confirmé par des expériences comparant l'heure indiquée par des horloges atomiques embarquées dans des avions à celle donnée par d'autres horloges atomiques demeurées au sol.
Cette phrase laisse entendre que le fait d'affirmer que le temps est local est une façon d'exprimer que les horloges se déplaçant à différentes vitesses sont en désaccord, alors que ça veut simplement dire qu'il n'est pas possible de comparer précisèment les horloges dans la plupart des cas : la simultanéité est un concept local.
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Le fameux E=mc2 d'Einstein établit l'équivalence entre matière et énergie
Entre la masse et l'énergie.
La matière est une notion (pas très bien définie) qui est une des formes de masse.
quantité d'énergie contenue dans la matière
La matière ne "contient" pas de l'énergie comme une bouteille de gaz comprimé ou une pile. La masse relativiste de la matière est égale à son énergie; c'est la même chose.
La masse au repos de la matière égale à son énergie de masse. (Il y a masse et masse. Quand on parle de masse, il faut bien faire attention à quoi on fait référence. La masse n'est pas la même selon le référentiel. La masse au repos est toujours la même.)
quand un objet se déplace, le temps s'écoule moins vite pour lui que pour un objet immobile.
Mais son énergie cinétique augmente, donc son énergie totale augmente, c'est à dire que sa masse augmente (puisque masse = énergie).
Je me demande comment tout ça se goupille...
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Dans une station spatiale, les spationautes flottent : par rapport à leur cadre de vie, la station spatiale, ils ne subissent pas le champs de gravitation de la Terre.
Ils ne peuvent savoir qu'il existe un champs de gravitation de la Terre que parce qu'ils savent que la Terre existe, mais pas parce qu'ils le ressentent, ils ne le ressentent pas.
Les astronautes, ou spationautes ou cosmonautes (ça dépends de quel pays) ne flottent pas, ils tombent !!!
Ils sont soumis à la gravité de la terre et donc à une accélération. De même que la station spatiale. Dans leur référentiel ils sont donc immobiles car ils se déplacent à la même vitesse en même temps et dans la même direction.
Il n'est pas question de savoir s'ils ressent un champs de gravitation ou pas, se champs existe, il ne disparaît pas. Il ne sont d'ailleurs soumis qu'à la gravité.
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Les astronautes, ou spationautes ou cosmonautes (ça dépends de quel pays) ne flottent pas, ils tombent !!!
N'empêche, dans la station, ils ne peuvent pas s'en rendre compte!
Il n'est pas question de savoir s'ils ressent un champs de gravitation ou pas, ce champs existe, il ne disparaît pas. Il ne sont d'ailleurs soumis qu'à la gravité.
Par quelle expérience dans la station ils peuvent établir ça?
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Je ne vois vraiment pas le rapport avec l'article, mais je sais que le "gradient de gravité" se mesure, sur terre mais également dans un satellite qui est en apesanteur. En gros, on est capable de mesurer la différence de champ gravitationnel (du à la terre par exemple) entre 2 points proches. Je n'en sais pas beaucoup plus.
Leon.
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Est ce que tu te rend compte que tu tourne autour du centre de la voie lactée? Non et ça change quoi sur les forces qui s'exerce sur toi? Rien. Le ressenti n'a rien à faire dans les forces qui s'exercent.
En effet il ne peuvent se rendre compte des effets de la gravité puisque elle est constamment compenser par leur vitesse de chute.
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Je ne vois vraiment pas le rapport avec l'article,
Le rapport, c'est la gravitation...
OK, c'est une sous-discussion un peu HS, on va pas demander à vivien de déplacer ça, on est dans le bistro.
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Est ce que tu te rend compte que tu tourne autour du centre de la voie lactée? Non et ça change quoi sur les forces qui s'exerce sur toi? Rien. Le ressenti n'a rien à faire dans les forces qui s'exercent.
En effet il ne peuvent se rendre compte des effets de la gravité puisque elle est constamment compenser par leur vitesse de chute.
Du coup, il n'y a pas lieu d'en tenir compte.
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Ah ouaih, quand même!
Leon.
Sérieux, tu comprends autre chose que moi?
Donc tu penses que si un horloge A est ralentie par rapport à B, alors B est ralentie par rapport à A?
Ou alors, quoi?
Le ralentissement du temps est relatif? Le temps est relativement relatif?
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Est ce que tu te rend compte que tu tourne autour du centre de la voie lactée? Non et ça change quoi sur les forces qui s'exerce sur toi? Rien. Le ressenti n'a rien à faire dans les forces qui s'exercent.
La physique, c'est quoi sinon du ressenti?
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Tout dépend à quelle échelle tu te place et qu'est ce que tu veux prendre en compte.
Tu ne peux pas dire que la gravité à disparu juste que son effet n'est plus visible.
Ex (mais je sais pas s'il va te parler): interférence avec des particules.
Su tu arrives à faire des interférences destructives avec des particules: tu ne vois plus de signal sur ton détecteur. Ce n'est pas que la particule qui fait ton signal s'est désintégrée avec sa comparse en opposition de phase, non elle a juste suivit un autre chemin qui ne mène pas au détecteur. Pourquoi? la physique quantique s'est y répondre en parti. Pour moi ça reste une sorte de magie de la physique.
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Peux-tu expliquer un peu plus, stp?
Avant de critiquer (c'est systématique chez toi), peux-tu relire l'article, stp? L'article dit texto "le temps s'écoule moins vite", et non "le temps s'écoule lentement". Donc je ne vois pas ce qu'il y a à redire là dessus!
Si il a des horloges disposées à intervalle régulier sur une droite, que je me déplace avec une horloge le long de cette droite (donc tu passes à proximité d'une horloge régulièrement), le temps s'écoule plus lentement pour moi? Donc mon horloge embarquée est lente par rapport aux horloges fixes? Donc je vois les horloges fixes prendre de l'avance?
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Humm cet effet ne se verra qu'à une vitesse relativiste c'est à dire avec une vitesse proche de la vitesse de la lumière.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Paradoxe_des_jumeaux (https://fr.wikipedia.org/wiki/Paradoxe_des_jumeaux)
je t'invite à lire cela.
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Franchement, je ne vois pas comment on peut mal interpréter ça. Parler de vitesse d'écoulement du temps, de dilatation du temps, ne fait pas appel à une référence absolue du temps!
Parler de rapprochement et d'éloignement ne fait pas appel à une référence absolue dans l'espace, non plus.
Bref, j'ai l'impression que tu es d'accord avec toi même, et que tu nous le fait (un peu trop) souvent savoir. Franchement, si tu critiques comme ça ce qui ne corresponds pas à TON vocabulaire, à TES définitions, je ne vois pas comment on peut s'en sortir. Tu as vraiment la critique facile, je trouve.
C'est juste que tu n'as absolument aucun intuition physique, ni mathématique.
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Tu ne peux pas dire que la gravité à disparu juste que son effet n'est plus visible.
Du point de vue de la physique, quelle est la différence entre ne pas exister et ne pas avoir d'effet visible?
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Humm cet effet ne se verra qu'à une vitesse relativiste c'est à dire avec une vitesse proche de la vitesse de la lumière.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Paradoxe_des_jumeaux (https://fr.wikipedia.org/wiki/Paradoxe_des_jumeaux)
je t'invite à lire cela.
Intéressant mais cela ne répond pas à ma question!
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Puisqu'on est dans des discussions sur la physique, j'ai une question qui me taraude depuis un moment :
La vitesse de la lumière est définie comme une limite absolue. Je ne crois pas avoir vu de modèles/théorie qui se basent sur une hypothèse contraire.
Dans les théories qui postulent que la vitesse de la lumière est une limite absolue, j'ai un souci :
Comment savoir que l'on est pas déjà à la vitesse de la lumière ?
Y a t il d'autres références absolues qui nous permettent de nous positionner par rapport à cette limite absolue ?
La notion de temps permet de calculer la vitesse, mais le temps lui même n'est pas une référence absolue.
Je me demande si je ne suis pas dans une impasse de réflexion où je tourne en rond par ignorance, où erreur tout simplement.
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Dans les théories qui postulent que la vitesse de la lumière est une limite absolue, j'ai un souci :
Comment savoir que l'on est pas déjà à la vitesse de la lumière ?
Y a t il d'autres références absolues qui nous permettent de nous positionner par rapport à cette limite absolue ?
La matière ne peut pas se déplacer à la vitesse de la lumière, tu peux juste t'en approcher, avec beaucoup d'énergie.
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Ça je l'ai lu oui.
Mais quelles expériences nous permettent de nous situer par rapport à la limite absolue de la vitesse de la lumière ?
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La vitesse de la lumière étant constante, la question n'a pas de sens.
C'est ça qui est marrant!!!
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La vitesse de la lumière oui, mais pour le reste ?
Dans mon référentiel par exemple, je suis immobile et ça suffit, c'est ça ?
Dans ton référentiel je me déplace à une vitesse, de toutes les façons inférieure à celle de la lumière, et c'est tout ?
En fait j'ai juste à bien comprendre la notion de référentiel ?
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Dans quel référentiel? Tu es attaché à quoi?
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Je ne peux pas créer mon propre référentiel ? Rattaché à mon centre de masse par exemple ?
Cette question et sa réponse sont importantes pour m'aider ?
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Tu peux attacher un référentiel où tu veux, mais tu es où?
Sur la Terre?
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Oui je suis sur terre.
Et si tu penses à un autre cas qui pourrait m'aider à voir ce que je comprends pas, ne te gêne pas ;)
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Tu ne sais pas que les ouragans ont un sens de rotation? (Et l'eau dans les WC, selon les Simpson.)
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J'en ai entendu parler, Coriolis ?
Ça doit m'aider ?
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C'est pour dire que la Terre tourne physiquement sur elle même, sinon tu ne peux pas expliquer ces observations météo.
Tu ne peux pas prétendre que le Soleil tourne autour de la Terre toutes les 24 h, et donc ta vitesse n'est pas la même selon ta distance par rapport à l'équateur.
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J'ai bien compris que pour le moment je tourne autour de ma recherche de réponse sans y arriver.
Et comme le soleil lui même tourne par rapport au centre de la galaxie, j'ai peur de m'éloigner de plus en plus de mon objectif, trouver une réponse.
Si ma question n'a pas de sens: merci de le dire, voire de la corriger.
Si tu ne veux/ sais pas répondre, c'est aussi possible, je ne vais pas te forcer.
Si tu penses que c'est un problème d'avoir un référentiel en rotation, j'ai indiqué que tu pouvais choisir un autre référentiel que la terre. D'autant plus si c'est plus simple.
Merci
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J'ai bien compris que pour le moment je tourne autour de ma recherche de réponse sans y arriver.
Et comme le soleil lui même tourne par rapport au centre de la galaxie, j'ai peur de m'éloigner de plus en plus de mon objectif, trouver une réponse.
Si tu tournes autour d'un point, c'est que tu es en accélération centripète.
Si tu accélères, c'est plus bon.
Il faut supposer un référentiel qui n'accélère pas.
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Du coup, tu veux ou tu veux pas ?
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Tu prends un référentiel non accéléré et tu mesures tes vitesses à partir de là.
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Je vois, ma question de départ était donc une erreur.
Même si j'étais un photon se déplaçant dans le vide, du moment qu'il n'y a pas d'accélérations gênantes, ma vitesse importe peu par rapport à celle de la lumière.
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Je vois, ma question de départ était donc une erreur.
Même si j'étais un photon se déplaçant dans le vide, du moment qu'il n'y a pas d'accélérations gênantes, ma vitesse importe peu par rapport à celle de la lumière.
Attention le temps n'est pas le même selon le référentiel.
Si tu t'accroches au photon, je ne sais même plus si tu peux encore avoir un temps.
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A cause du facteur de Lorentz en effet.
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Un référentiel est un système permettant de repérer les événements. Le choix du référentiel détermine la forme des lois utilisées pour décrire les événements. Parmi tous les référentiels utilisés en mécanique, certains permettent d'avoir des lois, des équations plus simples, ce sont les référentiels inertiels, appelés aussi référentiels galiléens.
Comment faire pour qu'un point matériel y soit isolé, compte tenu de la gravitation ? Comment vérifier que son mouvement est vraiment rectiligne uniforme, sans appareillage qui ne trouble l'isolement ? Autant de questions, qui en pratique relèvent d'une décision : on décide à tel ou tel degré d'approximation de considérer tel référentiel comme inertiel.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Recherche_d%27un_r%C3%A9f%C3%A9rentiel_inertiel
Résumé : trouver le référentiel parfait n'est pas faisable, mais les bonnes approximations existent
En bref, c'est une bonne question, le genre de choses auxquelles on ne réfléchit pas assez souvent.
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Du point de vue de la physique, quelle est la différence entre ne pas exister et ne pas avoir d'effet visible?
Physique quantique : chat de Shrödinger.
Tant que t'as pas ouvert la boite, tu ne sais pas s'il est mort ou vivant...
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Faux, le chat doit être mort ou être vivant.
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C'est plus subtil,c'est une superposition d'états, vivant avec une certaine probabilité et mort avec une autre probabilité, qui ne sont pas nécessairement égale.
Le chat est à la fois mort et vivant, c'est en ouvrant la boite que l'on sait s'il est mort ou vivant.
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Je vois, ma question de départ était donc une erreur.
Même si j'étais un photon se déplaçant dans le vide, du moment qu'il n'y a pas d'accélérations gênantes, ma vitesse importe peu par rapport à celle de la lumière.
Il y a une particularité lorsque l'on fait référence à la relativité c'est que la vitesse de la lumière est constante et invariante.
En quoi ce terme est essentiel ?
On peut faire une expérience simple, tu montes sur le toit d'une voiture, elle roule à 50km/h et tu tires dans le même sens et la même direction dans laquelle elle circule un objet à 20km/h. Tout le monde est d'accord pour dire que ton objet aura une vitesse de 50+20=70km/h (et implicitement les vitesses sont celles mesurées par un observateur extérieur au système voiture,toi,objet lancé).
Si l'on refait la même expérience avec un vaisseau se déplaçant à une vitesse proche de c (vitesse de la lumière) et celui ci lance un photon (tire laser par exemple), à quelle vitesse se déplace le photon du point de vue d'un observateur extérieur comme précédemment ? On répond : vitesse du vaisseau + c si l'on ne connait que la physique "classique" mais les expériences et la théorie de la relativité montre que la réponse est : c !
Toute la physique relativiste est basée sur cette invariance de c quelque soit le référentiel d'observation. Et ces expériences répondent, je pense, à ta question initiale puisqu'elles prouvent que c est bien une limite absolue.
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On peut faire une expérience simple, tu montes sur le toit d'une voiture, elle roule à 50km/h et tu tires dans le même sens et la même direction dans laquelle elle circule un objet à 20km/h. Tout le monde est d'accord pour dire que ton objet aura une vitesse de 50+20=70km/h (et implicitement les vitesses sont celles mesurées par un observateur extérieur au système voiture,toi,objet lancé).
Définis "mesure de vitesse"
Si l'on refait la même expérience avec un vaisseau se déplaçant à une vitesse proche de c (vitesse de la lumière) et celui ci lance un photon (tire laser par exemple), à quelle vitesse se déplace le photon du point de vue d'un observateur extérieur comme précédemment ?
Détecter un photon pose problème.
En plus, tu te places dans la physique non Newtonienne et non "classique", la relativité quantique ce qui est encore plus dur.
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Refaire l'expérience du photon relativiste qui "voudrait lancer un autre photon" par exemple est déjà un peu plus hardu, sans même aller vers la physique quantique.
Mais j'ai conscience d'avoir très mal défini cet exemple.
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Refaire l'expérience du photon relativiste qui "voudrait lancer un autre photon" par exemple est déjà un peu plus hardu, sans même aller vers la physique quantique.
Mais j'ai conscience d'avoir très mal défini cet exemple.
Tu parles de l'expérience de Michelson Morley je suppose ?
Et bien c'est une expérience qui est très facile à mettre en place et qui ai d'ailleurs souvent montrée aux étudiants de physique à en licence et/ou master.
Historiquement l'expérience (fin 19° siècle) est arrivée avant la théorie de la relativité restreinte d'Einstein (début du 20°) et c'est cette théorie postulant de l'invariance de la vitesse de la lumière (c) qui permis d'expliquer les résultats de cette expérience.
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Oui il aurait plutôt fallu parler de dilatation de l'espace-temps, c'est une notion plus correcte.
Absolument pas. On a dilatation du temps pour un objet en mouvement (en fait une horloge liée à cet objet, et en fait qui a accéléré pour atteindre sa vitesse), par rapport à une horloge considérée dans un repère au repos (pas d'accélération).
Et par ailleurs, on a contraction des longueurs pour les objets en mouvement (relativiste), telle que mesurée dans le repère au repos, par rapport à la mesure de cette longueur dans un repère lié à cet objet.
Donc il faut bien distinguer espace et temps, même si c'est le fait d'avoir un espace-temps où le temps et l'espace sont liés (espace de Minkowski), qui fait apparaître ces différents effets.
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N'oublions que l'idée que l'énergie "pure" (sans matière) possède une masse, et une inertie n'est pas une idée originale à l'époque :
L’énergie électromagnétique se comportant donc au point de vue qui nous occupe comme un fluide doué d’inertie, on doit conclure que si un appareil quelconque après avoir produit de l’énergie électromagnétique, l’envoie par rayonnement dans une certaine direction, cet appareil devra reculer comme recule un canon qui a lancé un projectile.
Bien entendu, ce recul ne se produira pas si l’appareil producteur envoie également de l’énergie dans tous les sens ; il se produira au contraire si cette symétrie n’existe pas, et si l’énergie électromagnétique produite est renvoyée dans une direction unique, ainsi que cela arrive par exemple si l’appareil est un excitateur de Hertz placé au foyer d’un miroir parabolique.
Il est facile d’évaluer en chiffres l’importance de ce recul. Si l’appareil a une masse de 1 Kilogramme et s’il a envoyé dans une direction unique avec la vitesse de la lumière trois millions de joules, la vitesse due au recul est de 1 cm. par seconde. En d’autres termes si l’énergie produite par une machine de 3000 watts est envoyée dans une seule direction, il faudra pour maintenir la machine en place, malgré le recul, une force d’une dyne.
Il est évident qu’une force aussi faible ne pourrait pas être décelée par l’expérience. Mais on pourrait s’imaginer que si, par impossible, on disposait d’appareils de mesure assez sensibles pour la mettre en évidence, on aurait ainsi démontré que le principe de réaction n’est pas applicable à la matière seule ; et que ce serait la confirmation de la théorie de Lorentz et la condamnation des autres théories.
Il n’en est rien, la théorie de Hertz et en général toutes les autres théories prévoient le même recul que celle de Lorentz.
Des écrits assez faciles à lire et plutôt inspirés, mais il n'a jamais été au bout du bout!
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N'oublions que l'idée que l'énergie "pure" (sans matière) possède une masse, et une inertie n'est pas une idée originale à l'époque :
N'importe quoi. Tu n'y connais rien en physique.
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C'est plus subtil,c'est une superposition d'états, vivant avec une certaine probabilité et mort avec une autre probabilité, qui ne sont pas nécessairement égale.
Le chat est à la fois mort et vivant, c'est en ouvrant la boite que l'on sait s'il est mort ou vivant.
Pourquoi crois-tu qu'il est difficile de fabriquer un ordinateur quantique (et casser RSA)?
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Absolument pas. On a dilatation du temps pour un objet en mouvement (en fait une horloge liée à cet objet, et en fait qui a accéléré pour atteindre sa vitesse), par rapport à une horloge considérée dans un repère au repos (pas d'accélération).
Définis "dilatation du temps"
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Définis "dilatation du temps"
Recherche dans un manuel ou sur Internet.
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Recherche dans un manuel ou sur Internet.
Bref tu n'en sais rien.
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N'importe quoi. Tu n'y connais rien en physique.
Je te mets au défi de m'humilier.
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Bref tu n'en sais rien.
Si, mais je te réponds comme tu réponds aux autres. Fais des efforts, cherche, et après, et je verrai pour en faire. Tu es bien connu pour répondre "définis...".
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Je te mets au défi de m'humilier.
Ben voyons. La masse est caractéristique de la matière.
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Tu veux vraiment perdre ton temps à lui répondre alain_p ?
Et point intéressant ... le titre de l'article est faux. Car dans l'article ils parlent de la dualité onde-corpuscule donc que l'on peut définir une onde à la matière (ce que l'on fait régulièrement avec les faisceaux d'électrons et de protons). La fréquence de l'onde détermine sont énergie donc, dans ce cas, la masse ; et cette fréquence est en Hz soit l'inverse de la seconde et non pas la seconde.
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En quoi ce terme est essentiel ?
On peut faire une expérience simple, tu montes sur le toit d'une voiture, elle roule à 50km/h et tu tires dans le même sens et la même direction dans laquelle elle circule un objet à 20km/h. Tout le monde est d'accord pour dire que ton objet aura une vitesse de 50+20=70km/h (et implicitement les vitesses sont celles mesurées par un observateur extérieur au système voiture,toi,objet lancé).
Tu vas mettre un "radar tronçon"? :D
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Si, mais je te réponds comme tu réponds aux autres. Fais des efforts, cherche, et après, et je verrai pour en faire. Tu es bien connu pour répondre "définis...".
Non, tu bluffes.
Je call ton bluff.
Tu n'en sais RIEN!
Tu ne comprends RIEN à la physique!
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Non, tu bluffes.
Je call ton bluff.
Tu n'en sais RIEN!
Tu ne comprends RIEN à la physique!
:) C'est au programme de terminale S, tu n'as qu'à prendre un manuel de physique de terminale S.
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Tu veux vraiment perdre ton temps à lui répondre alain_p ?
Et point intéressant ... le titre de l'article est faux. Car dans l'article ils parlent de la dualité onde-corpuscule donc que l'on peut définir une onde à la matière (ce que l'on fait régulièrement avec les faisceaux d'électrons et de protons). La fréquence de l'onde détermine sont énergie donc, dans ce cas, la masse ; et cette fréquence est en Hz soit l'inverse de la seconde et non pas la seconde.
Je ne suis pas tout à fait d'accord avec ta description. La fréquence de l'onde permet de remonter à sa longueur d'onde, par la relation Lambda = c/f. Et une fois que l'on a la longueur d'onde, on peut utiliser la relation de De Broglie, Lambda = h/p, ou classiquement, p= m x v, pour déterminer la masse, si on connait (précisèment) la vitesse. h est la constante de Planck.
Là, ils semblent faire interférer les ondes de matière entre atome au repos et atome en mouvement (relativiste ?), pour déterminer la fréquence, mais ce n'est pas décrit de façon précise.
En fait, dans l'article de Nature, au moins son abstract, c'est un peu différent, car ils parlent de fréquence de Compton, Omega0 = mc²/h, donc de la fréquence d'un photon qui aurait la même énergie que l'atome en question. Je n'ai pas lu l'article de Nature, qui n'est pas accessible directement.
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:) C'est au programme de terminale S, tu n'as qu'à prendre un manuel de physique de terminale S.
Tu viens de l'inventer.
Tu n'as RIEN.
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Ben voyons. La masse est caractéristique de la matière.
Tu veux vraiment perdre ton temps à lui répondre alain_p ?
() de l'onde détermine (sa) masse ;
Tu viens donc appuyer quelqu'un que tu contredis de façon flagrante DANS LE MÊME MESSAGE.
Tu te relis des fois?
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Non, pas du tout, bien sûr que non, tu mens.
:)
Temps et relativité restreinte
Notion d’événement. Temps propre.
Dilatation des durées.
Preuves expérimentales.
http://cache.media.education.gouv.fr/file/special_8_men/99/0/physique_chimie_S_195990.pdf
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Tu viens donc appuyer quelqu'un que tu contredis de façon flagrante DANS LE MÊME MESSAGE.
Tu te relis des fois?
J'ai justement corrigé ce passage dans un message précédent. Lis toi aussi.
P.S : je rappelle quand même : E = mc² . Une particule de masse m au repos possède une énergie mc².
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P.S : je rappelle quand même : E = mc² .
Tu l'as appris quand?
Une particule de masse m au repos possède une énergie mc².
Non, son énergie peut être supérieure.
Tu n'es pas bien rigoureux, et je suis sûr que tu n'es pas physicien.
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Non, son énergie peut être supérieure.
Ah bon ?
Tu n'es pas bien rigoureux, et je suis sûr que tu n'es pas physicien.
:)
-
:)
http://cache.media.education.gouv.fr/file/special_8_men/99/0/physique_chimie_S_195990.pdf
Voilà, donc rien ne permet de traiter de ce dont tu parlais (mais tu as oublié de quoi tu parlais, parce que tu n'es pas rigoureux).
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Ben voyons. La masse est caractéristique de la matière.
Si le champs EM n'a pas de masse, comment agit-il sur la matière?
L’énergie électromagnétique se comportant donc au point de vue qui nous occupe comme un fluide doué d’inertie, on doit conclure que si un appareil quelconque après avoir produit de l’énergie électromagnétique, l’envoie par rayonnement dans une certaine direction, cet appareil devra reculer comme recule un canon qui a lancé un projectile.
Bien entendu, ce recul ne se produira pas si l’appareil producteur envoie également de l’énergie dans tous les sens ; il se produira au contraire si cette symétrie n’existe pas, et si l’énergie électromagnétique produite est renvoyée dans une direction unique, ainsi que cela arrive par exemple si l’appareil est un excitateur de Hertz placé au foyer d’un miroir parabolique.
Il est facile d’évaluer en chiffres l’importance de ce recul. Si l’appareil a une masse de 1 Kilogramme et s’il a envoyé dans une direction unique avec la vitesse de la lumière trois millions de joules, la vitesse due au recul est de 1 cm. par seconde. En d’autres termes si l’énergie produite par une machine de 3000 watts est envoyée dans une seule direction, il faudra pour maintenir la machine en place, malgré le recul, une force d’une dyne.
Il est évident qu’une force aussi faible ne pourrait pas être décelée par l’expérience. Mais on pourrait s’imaginer que si, par impossible, on disposait d’appareils de mesure assez sensibles pour la mettre en évidence, on aurait ainsi démontré que le principe de réaction n’est pas applicable à la matière seule ; et que ce serait la confirmation de la théorie de Lorentz et la condamnation des autres théories.
Il n’en est rien, la théorie de Hertz et en général toutes les autres théories prévoient le même recul que celle de Lorentz.
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Si, mais je te réponds comme tu réponds aux autres. Fais des efforts, cherche, et après, et je verrai pour en faire.
Je n'envoie pas balader des gens qui posent des questions pas totalement débiles et qui n'affirment pas sans savoir. Jamais.
Je mets au défi qui que ce soit de trouver un exemple de ma soi-disant façon de répondre aux autres.
Tu es bien connu pour répondre "définis...".
Je suis bien connu pour être rigoureux, merci de le rappeler.
Mais tu peux arrêter de me glorifier, ça va vite devenir gênant, je n'aime pas ça.
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Puisqu'on est dans des discussions sur la physique, j'ai une question qui me taraude depuis un moment :
La vitesse de la lumière est définie comme une limite absolue.
Et l'horizon, c'est une limite pour toi?
Tu as déjà atteint l'horizon?
(métaphore à la con, mais bon)
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J'ai justement corrigé ce passage dans un message précédent. Lis toi aussi.
P.S : je rappelle quand même : E = mc² .
Tu n'as rien corrigé du tout. Voici ton message précédant ACTUELLEMENT :
Ben voyons. La masse est caractéristique de la matière.
Il faudrait savoir.
Toi, tu ne sais pas.
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Si le champs EM n'a pas de masse, comment agit-il sur la matière?
Une masse, par exemple celle du soleil, déforme l'espace-temps. Un photon, sans masse, suit la courbure de l'espace. C'est tout, il n'a pas besoin de masse.
Un calcul de la déviation de la lumière d'une étoile rasant le soleil a été fait par Einstein en 1915. Si le photon avait eu une masse, la déviation aurait été deux fois moindre. Le résultat d'Einstein a été prouvé par les observations d'Eddington lors d'une éclipse du soleil en 1919. C'est de la publication de ces résultats dans la presse qu'est née la renommée d'Einstien.
D'autre part, toute énergie courbe aussi l'espace. Il n'y a pas besoin de matière (donc de masse). La géométrie de l'espace est déterminée par la présence d'énergie, pas seulement de masse (et E = mc²). Mais les concentrations de masse sont bien plus fréquentes que celles d'énergie (soleil, étoiles, galaxie, amas de galaxies...).
P.S : je vais rajouter, pour éviter les confusions, "concentration d'énergie sans masse". Un photon, par exemple, a une énergie, E = h Nu, mais pas de masse. Donc un photon n'est pas de la matière ;). L'énergie de masse, E = mc² est en général bien supérieure à celle d'un photon, d'où un effet gravitationnel bien moindre, sauf à monter très très haut en fréquence.
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Je n'envoie pas balader des gens qui posent des questions pas totalement débiles et qui n'affirment pas sans savoir. Jamais.
Je mets au défi qui que ce soit de trouver un exemple de ma soi-disant façon de répondre aux autres.
Bien sûr...
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Et l'horizon, c'est une limite pour toi?
Tu as déjà atteint l'horizon?
(métaphore à la con, mais bon)
Il faudrait définir l'horizon et j'avoue que je n'ai pas de définition précise qui me vient.
Et je ne cherche plus à atteindre la vitesse de la lumière :D
Ni l'horizon, et l'arc en ciel non plus (même si en créer un petit facilite...)
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La géométrie de l'espace est déterminée par la présence d'énergie, pas seulement de masse (et E = mc²).
Pourquoi répéter cette formule incompréhensible comme un mantra?
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Il faudrait définir l'horizon et j'avoue que je n'ai pas de définition précise qui me vient.
Et je ne cherche plus à atteindre la vitesse de la lumière :D
Ni l'horizon, et l'arc en ciel non plus (même si en créer un petit facilite...)
L'horizon n'est évidemment pas un objet physique mais un objet virtuel, une image vu par une caméra à un endroit donné, tout comme la perspective. Personne ne s'imagine le contraire.
Le temps à notre échelle semble être une donnée physique qui met tout le monde d'accord, contrairement à l'horizon. Mais cette illusion explose au contact de l'électromagnétisme sans éther.
Si le temps dépend de qui le mesure, alors tout devient plus difficile et il faut exiger des précisions, comme je le fais systématiquement, contre à peu près tout le monde, ce qui veut dire que je suis la seule personne rigoureuse et scientifique ici.
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Pourquoi répéter cette formule incompréhensible comme un mantra?
Si tu veux, je peux te donner la formule mathématique : Gmunu = 8 Pi G/c² Tmunu.
Maintenant, je te laisse chercher ce que cela signifie. Le "mantra" est quand même bien plus facile à comprendre.
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Une masse, par exemple celle du soleil, déforme l'espace-temps. Un photon, sans masse, suit la courbure de l'espace. C'est tout, il n'a pas besoin de masse.
Et les protons, ils font quoi à part suivre la courbure de l'espace?
Un calcul de la déviation de la lumière d'une étoile rasant le soleil a été fait par Einstein en 1915. Si le photon avait eu une masse, la déviation aurait été deux fois moindre.
Comment le photon qui va à la vitesse de la lumière pourrait "avoir une masse"?
Le résultat d'Einstein a été prouvé par les observations d'Eddington lors d'une éclipse du soleil en 1919. C'est de la publication de ces résultats dans la presse qu'est née la renommée d'Einstien.
Je pensais que c'était l'inverse : Eddington était allé jusqu'au tdc du monde à cause de la renommée d'Einstein.
D'autre part, toute énergie courbe aussi l'espace. Il n'y a pas besoin de matière (donc de masse). La géométrie de l'espace est déterminée par la présence d'énergie, pas seulement de masse (et E = mc²). Mais les concentrations de masse sont bien plus fréquentes que celles d'énergie (soleil, étoiles, galaxie, amas de galaxies...).
Incompréhensible.
P.S : je vais rajouter, pour éviter les confusions, "concentration d'énergie sans masse". Un photon, par exemple, a une énergie, E = h Nu, mais pas de masse. Donc un photon n'est pas de la matière ;). L'énergie de masse, E = mc² est en général bien supérieure à celle d'un photon, d'où un effet gravitationnel bien moindre, sauf à monter très très haut en fréquence.
J'ai rien compris.
Quel effet gravitationnel?
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C'est plus subtil,c'est une superposition d'états, vivant avec une certaine probabilité et mort avec une autre probabilité, qui ne sont pas nécessairement égale.
Le chat est à la fois mort et vivant, c'est en ouvrant la boite que l'on sait s'il est mort ou vivant.
NON
Un chat n'est pas quantique.
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Et les protons, ils font quoi à part suivre la courbure de l'espace?
Ils suivent aussi la courbure de l'espace, mais avec une inertie différente, liée à leur masse. Mais classiquement, un photon, qui n'a pas de masse, ne devrait pas être sensible à la gravitation, qui est donnée pas P = mg (dans la théorie de Newton).
Comment le photon qui va à la vitesse de la lumière pourrait "avoir une masse"?
Cela, c'est selon la théorie de la relativité, et aussi selon les équations de Maxwell (qui ont pour solution des ondes se propageant à la vitesse qui a été identifiée comme celle de la lumière). Avant la fin du 19eme, on ne savait pas que la lumière était une onde électromagnétique.
D'après Newton, la lumière était constituée de particules matérielles de différentes couleurs, ayant une masse, se propageant en ligne droite dans les milieux transparents.
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NON
Un chat n'est pas quantique.
Il est vrai que :
Trois petits chats,3 petits chats,chats,chats
Chats peau de paille,chats peau de paille,paille,paille
Paille à son,son,son...
Je donne pas cher de cette expérience pour le chat,ni pour l'expérimentateur,celui-qui essaye de mettre un chat dans une boite,va devoir s'armer de patience.
Et la probabilité que le chat reste en vie dans cette boite,sans manger et sans boire,va diminuer fortement très vite.
La probabilité qu'il soit mort au bout de 5 jours est de 1,pas besoin d'ouvrir la boite.
Sinon,pour la gmunu-ique,les tenseurs sont des objets fascinants,mais pas très intuitifs.
C'est dû au produit vectoriel qui ne l'est pas non plus.
Ajouter des vecteurs,cela semble plus ou moins intuitif,mais construire un vecteur produit de deux autres vecteurs et comprendre que cela engendre une rotation,il faut bien comprendre les nombres complexes et les propriétés de l'exponentielle complexe.
D'ailleurs Maxwell avait utilisé les quaternions.Mais c'est une autre sujet. :)
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Ils suivent aussi la courbure de l'espace, mais avec une inertie différente, liée à leur masse.
Qu'est-ce que l'inertie?
Cela, c'est selon la théorie de la relativité, et aussi selon les équations de Maxwell (qui ont pour solution des ondes se propageant à la vitesse qui a été identifiée comme celle de la lumière). Avant la fin du 19eme, on ne savait pas que la lumière était une onde électromagnétique.
D'après Newton, la lumière était constituée de particules matérielles de différentes couleurs, ayant une masse, se propageant en ligne droite dans les milieux transparents.
Donc Newton pensait lui aussi que les étoiles déviait la lumière?
Intéressant.
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Qu'est-ce que l'inertie?
C'est le fait de s'opposer à une modification de son mouvement. Selon la première loi de Newton, un objet sur lequel ne s’exerce aucune force reste au repos, s'il l'était déjà, ou continue son mouvement en ligne droite à vitesse constante. Lorsqu'une force s'exerce sur lui, l'accélération subie est inversement proportionnelle à sa masse inerte : F/m = a. Il est plus difficile de faire "bouger" un objet massif qu'un objet léger.
C'est vrai quelle que soit la force, donc la masse inerte n'a aucune raison à priori d'être égale à la masse pesante, qui est la charge de la gravitaion. P = Mp g (comme F = q E pour la charge électrique) , F/Mi = a, avec Mp la masse pesante et Mi la masse inerte. Mais l'expérience d'Eötvos a montré qu'elles étaient égales à 9 décimales.
Einstein en a conclu que la gravitation était un phénomène d'inertie. Les objets dans un champ gravitationnel ne suivent pas des lignes droites, mais des géodésiques, les lignes de plus courte distance dans un espace-temps courbe. Et c'est la densité d'énergie qui "courbe" l'espace. Par exemple, sur une sphère, les lignes de plus courte distance sont des arcs de cercle.
Donc Newton pensait lui aussi que les étoiles déviait la lumière?
Intéressant.
Je ne sais pas s'il l'a dit comme cela, mais dans sa théorie de la lumière, c'était naturel.
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C'est le fait de s'opposer à une modification de son mouvement. Selon la première loi de Newton, un objet sur lequel ne s’exerce aucune force reste au repos, s'il l'était déjà, ou continue son mouvement en ligne droite à vitesse constante. Lorsqu'une force s'exerce sur lui, l'accélération subie est inversement proportionnelle à sa masse inerte : F/m = a. Il est plus difficile de faire "bouger" un objet massif qu'un objet léger.
C'est vrai quelle que soit la force, donc la masse inerte n'a aucune raison à priori d'être égale à la masse pesante, qui est la charge de la gravitaion. P = Mp g (comme F = q E pour la charge électrique) , F/Mi = a, avec Mp la masse pesante et Mi la masse inerte. Mais l'expérience d'Eötvos a montré qu'elles étaient égales à 9 décimales.
Einstein en a conclu que la gravitation était un phénomène d'inertie. Les objets dans un champ gravitationnel ne suivent pas des lignes droites, mais des géodésiques, les lignes de plus courte distance dans un espace-temps courbe. Et c'est la densité d'énergie qui "courbe" l'espace. Par exemple, sur une sphère, les lignes de plus courte distance sont des arcs de cercle.
Donc un objet est soumis en même temps à
1) l'acceleration (inversement proportionnelle à Mi) liée à l'attraction gravitationnelle (proportionnelle à Mp) créée par la masse (d'une étoile, mettons)
2) la courbure de l'espace-temps (qui est indépendante de Mi) créée par l'énergie (de cette étoile)
?
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Donc un objet est soumis en même temps à
1) l'acceleration (inversement proportionnelle à Mi) liée à l'attraction gravitationnelle (proportionnelle à Mp) créée par la masse (d'une étoile, mettons)
2) la courbure de l'espace-temps (qui est indépendante de Mi) créée par l'énergie (de cette étoile)
?
Non, dans la théorie d'Einstein, il n'y a plus de force de gravitation, c'est un phénomène purement inertiel, donc il n'est soumis qu'à la courbure de l'espace.
Donc pas d'accélération liée à l'attraction gravitationnelle, qui est un concept newtonien.
On pourrait penser que dans ce cas, la géodésique est la même pour un photon que pour une particule massive, mais je ne crois pas. Un photon a une géodésique (d'espace temps) de longueur nulle ds=0, du fait qu'il a la vitesse de la lumière et de la dilatation du temps dans son repère. Une particule de masse m a une géodésique de longueur non nulle, du fait que v < c.
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Je ne suis pas tout à fait d'accord avec ta description. La fréquence de l'onde permet de remonter à sa longueur d'onde, par la relation Lambda = c/f. Et une fois que l'on a la longueur d'onde, on peut utiliser la relation de De Broglie, Lambda = h/p, ou classiquement, p= m x v, pour déterminer la masse, si on connait (précisèment) la vitesse. h est la constante de Planck.
Là, ils semblent faire interférer les ondes de matière entre atome au repos et atome en mouvement (relativiste ?), pour déterminer la fréquence, mais ce n'est pas décrit de façon précise.
En fait, dans l'article de Nature, au moins son abstract, c'est un peu différent, car ils parlent de fréquence de Compton, Omega0 = mc²/h, donc de la fréquence d'un photon qui aurait la même énergie que l'atome en question. Je n'ai pas lu l'article de Nature, qui n'est pas accessible directement.
En effet rien à voir avec ce que je racontais !
Même l'abstract de l'article n'est pas très explicite il faudrait avoir accès à l'article complet.
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Les chats, vus par le Laboratoire Kastler-Brossel de l'ENS, l'UPMC et le CNRS :)
http://taoufik.amri.free.fr/ColloquePhD2010.pdf
Liens gmunu-iques et Maxwell (Paris-sud):
http://lptms.u-psud.fr/nicolas_pavloff/enseignement/files/2010/03/cours_ecq.pdf
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Même l'abstract de l'article n'est pas très explicite il faudrait avoir accès à l'article complet.
J'ai pu y avoir accès pas le site sci-hub (à rechercher sur google). C'est un site "pirate" pour avoir accès à tous les articles, monté par une chercheuse kazakh, dont l'institut n'avait pas les moyens de s'abonner à toutes les revues. Mais là, je pense qu'il y a un certain droit au piratge. Les auteurs des articles sont des chercheurs qui, en France, sont payés par l'Etat. Il faut payer pour publier dans ces revues (et non, l'auteur n'est pas rémunéré), mais en plus, quand un chercheur fait une revue (peer review) d'un article qui lui est soumis pour avis par une revue, il n'est pas payé, c'est bénévole.
De plus, la France paye (consortium couperin), 176 millions à l'éditeur Elsevier (principal éditeur de revues scientifiques), pour l'accès aux revues :
http://rue89.nouvelobs.com/2014/11/10/france-prefere-payer-deux-fois-les-articles-chercheurs-255964
Mais les universités, instituts et laboratoires doivent tout de même payer pour avoir accès aux revues. C'est un système très lucratif pour les revues en question !
Il suffit donc de rentrer sur le site l'identifiant unique de l'article, que l'on appelle le DOI : 10.1126/science.1230767
J'aurais peut-être pu y accéder par des moyens plus légaux (Université).
En fait, j'ai vu que l'article datait de 2013, donc ce n'est pas très récent. Je ne l'ai pas encore lu en entier, mais ils utilisent des atomes de cesium 133, ceux-là même qui sont utilisés pour la définition de la seconde :
« La seconde est la durée de 9 192 631 770 périodes de la radiation correspondant à la transition entre les deux niveaux hyperfins de l’état fondamental de l’atome de césium 133. »
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Si on va par là... je pense que le modèle de business des revues scientifiques est un des plus dégueulasses qui soient.
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doi:10.1038/nature.2016.20757
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Il me semblait avoir lu quelque part que le photon était à la fois une particule de masse nulle et une onde.
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Disons que le photon est le quantum du champ électromagnétique. C'est donc l'aspect corpusculaire de la lumière. Le champ électromagnétique qui se propage a aussi un aspect ondulatoire. Cela dépend de quel aspect on étudie. C'est la dualité onde/corpuscule, justement utilisée pour mesurer la masse d'un atome, car une onde est aussi associée à l'électron, par exemple, mais aussi un atome (relation de De Broglie, Lambda = h/p).
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J'ai pu y avoir accès pas le site sci-hub (à rechercher sur google). C'est un site "pirate" pour avoir accès à tous les articles, monté par une chercheuse kazakh, dont l'institut n'avait pas les moyens de s'abonner à toutes les revues. Mais là, je pense qu'il y a un certain droit au piratge. Les auteurs des articles sont des chercheurs qui, en France, sont payés par l'Etat. Il faut payer pour publier dans ces revues (et non, l'auteur n'est pas rémunéré), mais en plus, quand un chercheur fait une revue (peer review) d'un article qui lui est soumis pour avis par une revue, il n'est pas payé, c'est bénévole.
De plus, la France paye (consortium couperin), 176 millions à l'éditeur Elsevier (principal éditeur de revues scientifiques), pour l'accès aux revues :
http://rue89.nouvelobs.com/2014/11/10/france-prefere-payer-deux-fois-les-articles-chercheurs-255964
Mais les universités, instituts et laboratoires doivent tout de même payer pour avoir accès aux revues. C'est un système très lucratif pour les revues en question !
Qu'est-ce que ces revues anciennement prestigieuses apportent aux chercheurs et à la "Science" (quoi que ça puisse vouloir) dire?
Il y a une certaine similarité avec l'Internet qui reste en IPv4.
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Qu'est-ce que ces revues anciennement prestigieuses apportent aux chercheurs et à la "Science" (quoi que ça puisse vouloir) dire?
Il y a une certaine similarité avec l'Internet qui reste en IPv4.
En fait, seuls (ou à peu près) les articles publiés dans ces revues (à peer review), les plus prestigieuses en premier, sont comptabilisées dans ce que l'on appelle "l'indice de citations", ou indice h. Il est censé mesurer l'impact des recherches :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Indice_h
Plus un chercheur a d'articles dans ces revues, plus il a de chances d'obtenir un poste, de progresser dans sa carrière, d’obtenir des financements etc... Les revues comme Nature sont en particulier très cotées, ou aussi Physical Review, The Lancet en médecine etc... En gros, c'est un passage obligé. Il y a une expression dans le domaine de la recherche, "Publish or Perish", surtout aux USA, où la recherche vit par des subventions, des contrats, qui sont à rechercher en permanence....
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Bien sûr...
Pourquoi tu ne peux pas croire que je pose des questions pour avoir des réponses?
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Pourquoi tu ne peux pas croire que je pose des questions pour avoir des réponses?
En fait, je répondais à ton affirmation comme quoi tu n'envoyais jamais balader les gens avec des expressions comme "N'importe quoi", "Tu n'as rien compris" (sans expliquer davantage) etc...
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En fait, je répondais à ton affirmation comme quoi tu n'envoyais jamais balader les gens avec des expressions comme "N'importe quoi", "Tu n'as rien compris" (sans expliquer davantage) etc...
Oui, quand les gens font des affirmations aussi absurdes que définitives, et généralement tellement fausses qu'on ne voit pas où commencer un "debunk".
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En fait, seuls (ou à peu près) les articles publiés dans ces revues (à peer review), les plus prestigieuses en premier, sont comptabilisées dans ce que l'on appelle "l'indice de citations", ou indice h. Il est censé mesurer l'impact des recherches :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Indice_h
C'est un serpent qui se mord la queue!
Plus un chercheur a d'articles dans ces revues, plus il a de chances d'obtenir un poste, de progresser dans sa carrière, d’obtenir des financements etc... Les revues comme Nature sont en particulier très cotées, ou aussi Physical Review, The Lancet en médecine etc... En gros, c'est un passage obligé. Il y a une expression dans le domaine de la recherche, "Publish or Perish", surtout aux USA, où la recherche vit par des subventions, des contrats, qui sont à rechercher en permanence....
Ah ah, parce que en France on est à l'abris des dérives de la science-spectacle et de la science-pour les revues...
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Relis bien, ce n'est pas ce qu'il t'a dit. Il t'indique que c'est un passage obligé, encore plus aux US.
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D'un autre coté, évaluer les chercheurs n'est pas évident.
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Ce qui est assez évident c'est que le dogme du tout puissant facteur H est un problème...
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J'ai pu y avoir accès pas le site sci-hub (à rechercher sur google). C'est un site "pirate" pour avoir accès à tous les articles, monté par une chercheuse kazakh, dont l'institut n'avait pas les moyens de s'abonner à toutes les revues. Mais là, je pense qu'il y a un certain droit au piratge. Les auteurs des articles sont des chercheurs qui, en France, sont payés par l'Etat. Il faut payer pour publier dans ces revues (et non, l'auteur n'est pas rémunéré), mais en plus, quand un chercheur fait une revue (peer review) d'un article qui lui est soumis pour avis par une revue, il n'est pas payé, c'est bénévole.
De plus, la France paye (consortium couperin), 176 millions à l'éditeur Elsevier (principal éditeur de revues scientifiques), pour l'accès aux revues :
http://rue89.nouvelobs.com/2014/11/10/france-prefere-payer-deux-fois-les-articles-chercheurs-255964
Mais les universités, instituts et laboratoires doivent tout de même payer pour avoir accès aux revues. C'est un système très lucratif pour les revues en question !
Il suffit donc de rentrer sur le site l'identifiant unique de l'article, que l'on appelle le DOI : 10.1126/science.1230767
J'aurais peut-être pu y accéder par des moyens plus légaux (Université).
En fait, j'ai vu que l'article datait de 2013, donc ce n'est pas très récent. Je ne l'ai pas encore lu en entier, mais ils utilisent des atomes de cesium 133, ceux-là même qui sont utilisés pour la définition de la seconde :
A qui le dis tu ! Rien qu'une "petite" revue comme A&A (Astronomy et Astrophisics) qui est l'une des références en astrophysique fait payer une belle somme aux universités pour y avoir accès.
Après il y a arXiv qui permet d'avoir accès à énormèment d'articles gratuitement mais il n'y a pas de vérification par les pairs (pas de comité de relecture et d’approbation). Donc cela permet de trouver bien souvent des articles très intéressant et "presque" en version définitive sans avoir à payer mais il faut faire encore plus attention car l'on y trouve aussi de belles conneries (déjà que dans certaines revues je ne comprend pas comment certains ont pu être publié vu le manque de rigueur et l'inutilité de ce qui a été fait et écrit !)
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Où est la soi-disant "communauté" scientifique quand il faut changer les choses?
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En fait, les revues, si j'ai bien compris, ont un système d'évaluation des articles (en dehors des méthodes de financement) qui autorisent leur publication.
Si ces articles passent l'évaluation, elles sont considérées comme fiables. D'où l'utilité de passer par ce système.
Il s'agit d'une méthode comme une autre de présentation de thèse, en fait.
Sauf que, lorsque ça devient trop précis (2-3 chercheurs dans le monde), c'est proprement impossible à vérifier....
Pour info, dans certaines entreprises, des personnes qui passent des diplômes en cours du soir, avec présentation de mémoire ou de thèse, ont obligation d'avoir des articles publiés dans des revues internationales. Et les notes de ces diplômes sont évalués suivant un 'barème' en fonction du nombre d'articles publiés.....
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En fait, il y a eu une réaction de la communauté scientifique, sous la forme en particulier d'une pétition contre l'éditeur Elsevier. Mais seuls les chercheurs les plus reconnus peuvent se permettre de boycotter ces revues. Ils savent que s'ils publient ailleurs, même sur Arxiv, ils continueront à être lus, et leurs recherches financées, sur leur notoriété (prix Nobel..).
http://www.pourlascience.fr/ewb_pages/a/actu-la-fronde-des-chercheurs-contre-i-elsevier-i-29118.php
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En fait, les revues, si j'ai bien compris, ont un système d'évaluation des articles (en dehors des méthodes de financement) qui autorisent leur publication.
Si ces articles passent l'évaluation, elles sont considérées comme fiables.
Oui, "considérés".
Si déjà l'évaluation permettait de détecter les erreurs flagrantes, ça se saurait.
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oui c'est pour ça que je dis ça :)
Comme personne n'est parfait...
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La revue permet de détecter les erreurs flagrantes (en général). Mais ça prend beaucoup de temps...
Elle ne permet en revanche pas de détecter les résultats manipulés.
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Comme l'occasion fait le larron (et que je suis très en retard sur cette revue), voici à quoi cela ressemble, pour ceux qui ne connaissent pas le système.
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Avant de critiquer (c'est systématique chez toi), peux-tu relire l'article, stp? L'article dit texto "le temps s'écoule moins vite", et non "le temps s'écoule lentement". Donc je ne vois pas ce qu'il y a à redire là dessus!
Sans doute parce que tu n'as aucune compréhension de la physique toi même.
Je ne vois pas comment quelqu'un qui ne domine pas déjà le sujet pourrait ne pas avoir une compréhension strictement négative (en savoir moins que celui qui ignore tout) après de telles "explications".
Pour finir, quel est l'intérêt de reprendre tout le monde sur des points de détail, des définitions, les "adresses routables", le temps, comme tu le fais si bien? Ca fait avancer le schmilblick?
Je suis sûr et certain que je fais toujours avancer le schmilblick.
Du moment que tout le monde se comprend (toi y compris pour les adresses routables et le temps), même en employant pas un vocabulaire archi-ultra-précis, ça suffit, non?
Non
La critique du pinaille est très souvent le fait des cuistres qui ont peur d'être découverts. "Je me comprends" dit celui qui n'y comprend rien.