Auteur Sujet: Les nouvelles de la 5G en France  (Lu 420613 fois)

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chantoine

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Les nouvelles de la 5G en France
« Réponse #2184 le: 24 avril 2021 à 09:26:30 »
Je supposerais que les radars militaires sont orientés vers l'espace, et pas vers les populations, et que donc on n'a pas de données fiables quand les faisceaux sont orientés vers le bas, vers les populations qu'il s'agit de couvrir.

T'as raison, c'est vachement judicieux quand il s'agit de vérifier si un bombardier russe ne s'approche pas de nos côtes...

alain_p

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Les nouvelles de la 5G en France
« Réponse #2185 le: 24 avril 2021 à 09:35:38 »
Je suppose que tu as toutes les données qui manquent à l'ANSES ?

Nico

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Les nouvelles de la 5G en France
« Réponse #2186 le: 24 avril 2021 à 09:39:44 »
J'espère quand même qu'on est capable de détecter un avion qui vole en dessous de l'altitude des avions de ligne. Parce que ça m'inquiète un peu là.

chantoine

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Les nouvelles de la 5G en France
« Réponse #2187 le: 24 avril 2021 à 09:59:25 »
Je suppose que tu as toutes les données qui manquent à l'ANSES ?

Je suppose qu'il t'arrive de réfléchir ou de te documenter un minimum avant d'affirmer n'importe quoi ?

https://duckduckgo.com/?q=radars+militaires&t=vivaldi&page=1&sexp=%7B%22biaexp%22:%22b%22,%22msvrtexp%22:%22b%22,%22trmexp%22:%22b%22%7D&iax=images&ia=images

https://fr.wikipedia.org/wiki/Cat%C3%A9gorie:Radar_militaire_fran%C3%A7ais

Oui, certains sont inclinés/inclinables plutôt vers le haut, mais rarement pour arroser l'espace.

alain_p

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« Réponse #2188 le: 24 avril 2021 à 11:07:45 »
Vas y, essaye de me faire passer pour un imbécile, et l'ANSES avec.

L'armée n'est pas connue pour s'intéresser beaucoup à la santé des populations civiles, et mener des études sanitaires. Là, il s'agirait par exemple de détecter un taux de cancer de la peau un peu plus élevé dans la population, là où des radars dans ces bandes de fréquence sont atifs, par rapport à des zones qu'elles ne balayent pas. Je doute que de telles études aient été menées.

D'autre part, il n'y a pas grand chose à voir entre un radar militaire et une antenne 5G. Un radar militaire est en général situé sur une base miliatire en pleine campagne, ou sur un bateau, avec très peu de population à côté. Les modes d'émission et les puissances ne sont pas les mêmes. Les émetteurs 5G et autres sont situés au milieu de la population à moins de 100 m souvent d'habitations (toit d'immeubles...). Autre très grosse différence, on a l'autre extrémité de l'émetteur dans la main, à proximité du corps, le téléphone. Et il émet d'autant plus fort qu'il capte mal, et avec le 26 GHz, cela risque d'arriver souvent.

Ces fréquences ne sont pas utilisées à proximité de la population, pas pour le WiFi, pas pour le micro-onde, etc... On n'a donc aucune expérience et étude de l'exposition. Et bien sûr, cela dépend de la puissance d'émission.

Après, je pense que ces ondes ne sont sans doute pas plus nuisibles que celles connues, et certainement moins que le soleil et ses UV, mais il clair qu'il y a très peu de données à ce sujet, et qu'il faudra en construire, par exemple déjà avec des modèles animaux, pour le prouver.

Imaginez que vous affirmiez sans étude que le 26 GHz n'est pas dangereux, sans aucune donnée fiable, vous vous feriez vite démolir par les anti-ondes. Clairement, dans le contexte actuel, personne ne va s'y risquer. Mais si vous avez des données fiables, allez, donnez les références.

alain_p

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Les nouvelles de la 5G en France
« Réponse #2189 le: 24 avril 2021 à 11:31:51 »
Tiens, j'ai trouvé en fait un article de l'OMS à ce sujet, mais un peu vaste, et peu concluant :
https://www.who.int/peh-emf/publications/facts/fs226/fr/

Citer
Les champs électromagnétiques et la santé publique: les radars et la santé humaine
...
 Les champs RF de fréquence supérieure à 10 GHz sont absorbés à la surface de la peau mais la quantité d'énergie qui pénètre dans les tissus sous-jacents est très faible. Du point de vue dosimétrique, les champs RF de plus de 10 GHz sont caractérisés par leur intensité ou densité de puissance exprimée en watts par mètre carré (W/m2) ou, pour les champs faibles, en milliwatts ou microwatts par mètre carré (mW/m2 ou µW/m2).

    L'exposition à des champs de radiofréquence de plus de 10 GHz dont la densité de puissance dépasse 1000 W/m2 a des effets nocifs notoires sur la santé consistant par exemple en cataractes ou brûlures cutanées.

Exposition humaine

La puissance émise par les radars varie de quelques milliwatts (radars de contrôle de la circulation utilisés par la police) à plusieurs kilowatts (grands radars de poursuite spatiale). Toutefois, l'exposition humaine aux champs de radiofréquences émis par les radars peut être réduite (souvent jusqu'à plus de 100 fois) par un certain nombre de facteurs :

    Les ondes électromagnétiques ne sont pas émises de façon continue par un système radar mais sous la forme d'impulsions. Dans ces conditions, la puissance moyenne émise est beaucoup plus faible que la puissance de crête.

    Les émissions radars sont directionnelles, et l'énergie transportée par le champ de radiofréquences est contenue dans un faisceau très étroit qui ressemble à celui d'une lampe torche. Hors de l'axe du faisceau, l'énergie du champ de radiofréquences décroît rapidement. Dans la plupart des cas, elle est des milliers de fois plus faible que dans l'axe du faisceau.

    De nombreux radars comportent une antenne animée en permanence d'un mouvement de rotation dans le plan horizontal ou d'oscillation dans le plan vertical, ce qui modifie constamment la direction du faisceau.
 
  Les zones où l'exposition humaine pourrait être dangereuse sont en principe interdites aux personnes non autorisées.

Les différents types de radars

Parmi les types courants de radars utilisés dans la vie de tous les jours on peut citer :

Les radars de contrôle aérien qui sont utilisés pour le repérage des aéronefs et guider leur approche de l'aéroport jusqu'à l'atterrissage. Ils sont généralement situés en hauteur de sorte que le faisceau ne peut atteindre les personnes au sol. Les radars classiques de contrôle aérien peuvent avoir des puissances de crête de 100 kW ou davantage, mais la puissance moyenne émise n'est que de quelques centaines de watts. Dans les conditions d'exploitation normale, ces systèmes ne représentent aucun danger pour la population.

Les radars météorologiques sont souvent situés au même endroit que les radars de contrôle aérien, c'est-à-dire dans un secteur de l'aéroport suffisamment éloigné. Ils opèrent à des fréquences plus élevées mais leur puissance moyenne et leur puissance de crête sont généralement plus faibles. Comme les radars de contrôle aérien, ils ne constituent aucun danger pour la population dans les conditions normales d'exploitation.

Les radars militaires sont nombreux et vont de vastes installations à forte puissance de crête (1 mW ou davantage) et puissance moyenne (de l'ordre de plusieurs kW) à de petites unités de contrôle de tir, généralement embarquées à bord d'aéronefs. Ces vastes installations radars suscitent de l'inquiétude parmi les collectivités qui vivent à proximité. Toutefois, comme l'énergie émise est diffusée sur une surface étendue, la densité de puissance résultante varie de 10 à 100 W/m2 dans les limites du site. A l'extérieur du site, le champ électromagnétique de radiofréquences n'est généralement plus décelable sans faire appel à un matériel de détection très perfectionné. Toutefois, les petits radars de contrôle de tir embarqués à bord d'aéronefs militaires peuvent être dangereux pour le personnel au sol. Ces appareils émettent des ondes électromagnétiques de puissance moyenne relativement élevée (plusieurs kW) au moyen d'antennes de petite dimension, d'où la possibilité de densités de puissance pouvant atteindre 10 kW/m2. De toute façon la population ne serait pas exposée à ce genre d'émissions car lors de l'essai au sol de ces radars, la zone d'expérimentation est interdite à tout le personnel. Les forces armées utilisent également la plupart des autres types de radars décrits ci-après.
...

Captain Bumper

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Les nouvelles de la 5G en France
« Réponse #2190 le: 24 avril 2021 à 12:32:56 »
Vas y, essaye de me faire passer pour un imbécile, et l'ANSES avec.

L'armée n'est pas connue pour s'intéresser beaucoup à la santé des populations civiles, et mener des études sanitaires. Là, il s'agirait par exemple de détecter un taux de cancer de la peau un peu plus élevé dans la population, là où des radars dans ces bandes de fréquence sont atifs, par rapport à des zones qu'elles ne balayent pas. Je doute que de telles études aient été menées.

D'autre part, il n'y a pas grand chose à voir entre un radar militaire et une antenne 5G. Un radar militaire est en général situé sur une base miliatire en pleine campagne, ou sur un bateau, avec très peu de population à côté. Les modes d'émission et les puissances ne sont pas les mêmes. Les émetteurs 5G et autres sont situés au milieu de la population à moins de 100 m souvent d'habitations (toit d'immeubles...). Autre très grosse différence, on a l'autre extrémité de l'émetteur dans la main, à proximité du corps, le téléphone. Et il émet d'autant plus fort qu'il capte mal, et avec le 26 GHz, cela risque d'arriver souvent.

Ces fréquences ne sont pas utilisées à proximité de la population, pas pour le WiFi, pas pour le micro-onde, etc... On n'a donc aucune expérience et étude de l'exposition. Et bien sûr, cela dépend de la puissance d'émission.

Après, je pense que ces ondes ne sont sans doute pas plus nuisibles que celles connues, et certainement moins que le soleil et ses UV, mais il clair qu'il y a très peu de données à ce sujet, et qu'il faudra en construire, par exemple déjà avec des modèles animaux, pour le prouver.

Imaginez que vous affirmiez sans étude que le 26 GHz n'est pas dangereux, sans aucune donnée fiable, vous vous feriez vite démolir par les anti-ondes. Clairement, dans le contexte actuel, personne ne va s'y risquer. Mais si vous avez des données fiables, allez, donnez les références.

C'est pas parce que tu trouves pas que les études n'existent pas... Et puis tu devrais plutôt chercher ici : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/?tool=ifruhpdds pour les études médicales, pas sur Google & consort (à la rigueur Google Scholar), parce qu'à part tomber sur de la vulgarisation au mieux partielle, rarement impartiale et souvent mauvaise, tu trouveras rien de convainquant et de valable du PdV scientifique et médical. Et puis après faudra les comprendre ces articles, connaître leurs limites (pas toujours mises en avant dans l'article, surtout que les critères de qualité ne sont pas les mêmes aujourd'hui qu'il y a 10 ou 20 ans), savoir identifier les biais, connaître les différents schémas d'études et leurs propres limites, etc. etc. et pour ça pas mal de LCA à apprendre avant... Pour pas juste être un n-ième épidémiologiste de réseau social sans connaissance ni expérience, comme notre cher président ou bcp de médecins auto-proclamés d'internet (ce qui n'a pas pour autant comblé les déserts médicaux, ni améliorer la prise en charge des patients... étonnant avec tous ces nouveaux médecins sur le marché...  ::) ::) )

alain_p

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Les nouvelles de la 5G en France
« Réponse #2191 le: 24 avril 2021 à 12:38:56 »
Et donc quand l'ANSES dit qu'il n'existe pas de données suffisantes sur le sujet, elle raconte n'importe quoi ? Ses spécialistes ne savent pas lire d'articles scientifiques ?

Rq : ton lien ne mène nulle part de concret.

Il faut arrêter de parler de moi, et regarder ce que dit l'ANSES, c'est la référence en France, n'en déplaise à certains :

Citer
L’Anses a considéré une bande de fréquences élargie, de 18 à 100 GHz, pour laquelle la profondeur de pénétration des ondes est similaire, pour rechercher les effets éventuels sur la santé décrits dans la littérature scientifique disponible. Celle-ci a principalement étudié les effets sur la peau, l’œil, les membranes, le système nerveux central et les cellules issues de divers tissus humains ou animaux (peau, neurones, cornée…).

L’Anses a cherché à apprécier l’exposition probable dans la bande 26 GHz : elle se différencie des autres bandes de fréquences par une profondeur de pénétration des ondes dans le corps beaucoup plus faible, de l’ordre du millimètre, exposant des couches superficielles de la peau ou de l'œil. Les simulations disponibles laissent présager des niveaux d’exposition faibles.

Pour autant, à l’heure actuelle, les données ne sont pas suffisantes pour conclure à l’existence ou non d’effets sanitaires liés à l’exposition aux champs électromagnétiques dans la bande 26 GHz.

https://www.anses.fr/fr/content/5g-pas-de-risques-nouveaux-pour-la-sant%C3%A9-au-vu-des-donn%C3%A9es-disponibles
« Modifié: 24 avril 2021 à 13:37:44 par alain_p »

Captain Bumper

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« Réponse #2192 le: 24 avril 2021 à 13:01:03 »
Et donc quand l'ANSES dit qu'il n'existe pas de données fiables sur le sujet, elle raconte n'importe quoi ? Ses spécialistes ne savent pas lire d'articles scientifiques ?

Rq : ton lien ne mène nulle part de concret.

MDR!  ;D Je vois donc effectivement que ton niveau n’est guère élevé dans le domaine sinon tu ne dirais pas que mon lien ne mène à rien. C’est sûr que si tu t’attendais à un article de vulgarisation tout pré mâché, c’est pas le bon lien. PubMed est une base de données exhaustive éditée par la NLM sur tous les domaines médicaux depuis 1950 et des brouettes. Faut entrer des mots clés (tu as le MeSH pour t’aider à les définir) puis les articles en rapport sortent. Oui ça demande du boulot. Si tu galères je peux t’envoyer le PPT de mon cours d’initiation que je faisais aux étudiants de santé en fin de 2e cycle  ;D 8)

Quant à l’ANSES, ne t’en déplaise (mais faudrait le savoir pour en parler correctement), ce n’est pas la seule source en France ni en Europe. Il existe d’autres organismes reconnus en France et en Europe, certains meme ne sont pas d’accord entre eux (cf là vaccination CoVID des femmes enceintes) et pourtant disent se servir des mêmes données, il existe aussi nombre de sociétés scientifiques qui font un excellent boulot (au moins au niveau de l’ANSES) et de publi d’équipes scientifiques.
Ce préambule établi, l’ANSES dit juste qu’il n’existe pas SPÉCIFIQUEMENT de données sur l’innocuité du 26 GHz (cette bande en particulier) mais qu’il en existe sur une bande élargie de 18 à 100 GHz et qu’elle s’est basée sur ça pour conclure. Et qu’il prévisible que les effets secondaires ne soient pas fous!... Faut pas juste citer, faut comprendre.

alain_p

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Les nouvelles de la 5G en France
« Réponse #2193 le: 24 avril 2021 à 13:28:18 »
MDR!  ;D Je vois donc effectivement que ton niveau n’est guère élevé dans le domaine sinon tu ne dirais pas que mon lien ne mène à rien.

Et si on parlait du tien ? Tu crois que le fait de me citer des moteurs de recherche comme Google Scholar ou le moteur de recherche d'articles de la National Library of Medicine ferait que tu aurais raison ? Cela ne vole pas très haut. Je vais le répéter mais je n'ai pas l'ambition, et ce n'est pas mon domaine de compétence de remplacer l'ANSES. Je le répéte, ton lien ne mène à rien de concret sur le sujet.

Je n'ai cité l'article de l'OMS et fait des remarques sur l'usage de la téléphonie mobile simplement pour faire remarquer que ce n'est pas parce que tu n'aurais pas remarqué d'effets sur la santé dans ces bandes de fréquence avec les radars militaires que ce serait le cas forcément pour la façon de les utiliser dans la 5G.

Il y a d'autres organismes de santé que l'ANSES, on peut citer le haut conseil de la santé publique entre autres, mais même si cela ne te plait pas, l'ANSES est bien la référence, acceptée par l'état et les municipalités sur ces sujets.

Et quand elle dit :
Citer
Pour autant, à l’heure actuelle, les données ne sont pas suffisantes pour conclure à l’existence ou non d’effets sanitaires liés à l’exposition aux champs électromagnétiques dans la bande 26 GHz.

Je crois que ce n'est ce qui va convaincre les écolos, les anti-ondes et les municipalités, qu'il y a de façon prouvée aucun risque à l'usage de cette gamme d'onde. Ce n'est pas moi qu’il faut convaincre, c'est eux, et je peux te dire que tu es mal parti avec ton manque d'arguments et ton attitude condescendante.

mattmatt73

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Les nouvelles de la 5G en France
« Réponse #2194 le: 24 avril 2021 à 13:38:48 »
... l’ANSES dit juste qu’il n’existe pas SPÉCIFIQUEMENT de données sur l’innocuité du 26 GHz (cette bande en particulier) mais qu’il en existe sur une bande élargie de 18 à 100 GHz et qu’elle s’est basée sur ça pour conclure. Et qu’il prévisible que les effets secondaires ne soient pas fous!... Faut pas juste citer, faut comprendre.

Exactement, je ne l'aurais surement expliqué de manière moins diplomatique.

Sur le non ionisant, il n'y a plus grand chose à chercher, depuis le temps.
Les seuils réglementaires étant très en deçà des risques.

Comment les américains utilisent cette bande de fréquence pour des smartphones ? Des hotpoints en hauteur qui couvrent 100m autour ?
La propagation par trajets multiples devant écrouler la bande passante réelle





 

Captain Bumper

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« Réponse #2195 le: 24 avril 2021 à 13:50:22 »
Et si on parlait du tien ? Tu crois que le fait de me citer des moteurs de recherche comme Google Scholar ou le moteur de recherche d'articles de la National Library of Medicine ferait que tu aurais raison ? Cela ne vole pas très haut. Je vais le répéter mais je n'ai pas l'ambition, et ce n'est pas mon domaine de compétence de remplacer l'ANSES. Je le répéte, ton lien ne mène à rien de concret sur le sujet.

Aaah! ravi de voir que tu reconnais que ce n'est pas ton domaine de compétence. Citer un rapport de l'ANSES sans compétence adéquate pour le remettre en perspective ou le discuter, (je rappelle juste que l'ANSES n'a pas vocation à faire de la vulgarisation à outrance et que ses rapports sont d'abord destinés à des populations concernées et éduquées sur le sujet), bah ça n'apporte rien de concret non plus.

Soit tu as les compétences, et je te donne le lien d'une base de donnée de référence utilisées pluri-quotidiennement par des dizaines de millions de médecins, chirurgiens, professions para-médicales, chercheurs, épidémiologistes, biostatisticiens, etc (bref, que des mecs qui ont entre Bac (ou équivalent)+6 et Bac+12 dans ces domaines) à travers le monde depuis des décennies (et qui a le bon gout d'être gratuite depuis maintenant une vingtaine d'années), et comme on le fait tous dans ma profession quand on a besoin d'infos validées, soit tu ne les as pas et citer de travers toutes les infos glanées ici et là sur le Net n'apporte rien car soumis aux nombreux biais dont souffrira ta recherche : biais de confirmation (ne sélectionner que les infos qui vont dans son sens), biais de croyance, effet de halo, excès de confiance dans ses capacités à choisir le bonne information, manque d'esprit critique sur l'information et sa qualité, biais d'ancrage, effet Dunning-Kruger, etc.