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Technologie mobile 4G => Discussion démarrée par: JulFX le 22 juillet 2013 à 21:00:21
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Bouygues Telecom et SFR entrent en négociations exclusives pour partager une partie de leurs réseaux mobiles
Bouygues Telecom et SFR annoncent qu'à l'issue de discussions préliminaires, elles sont convenues d’entamer des négociations exclusives dont l’objet est d’aboutir à un accord de mutualisation d’une partie de leurs réseaux mobiles.
L'ambition des deux opérateurs est d'offrir à leurs clients respectifs la meilleure couverture géographique et la meilleure qualité de service. Bouygues Telecom et SFR se donneraient ainsi les moyens de figurer parmi les acteurs incontournables de la modernisation de l'économie numérique en France.
Si le secteur des télécommunications est affecté par des mutations profondes, l’explosion de nouveaux usages et du trafic de données offre aux opérateurs une opportunité de recréer de la valeur. Dans ce contexte, Bouygues Telecom et SFR souhaitent relever le défi que représente l’investissement dans les réseaux à très haut débit.
La mutualisation envisagée par Bouygues Telecom et SFR d’une partie de leurs réseaux mobiles, serait comparable à des dispositifs du même type déjà mis en œuvre dans d’autres pays européens. Chaque opérateur conserverait une capacité d’innovation autonome et une indépendance commerciale totale.
Bouygues Telecom et SFR souhaitent conclure avant la fin de l’année cet accord stratégique qui sera préalablement soumis à l’avis des instances représentatives du personnel des deux sociétés et à l’examen de l'Autorité de la concurrence et de l'Autorité de régulation des communications électroniques et des postes.
Sources: CP Bouygues Telecom - 22 juillet 2013 (http://www.corporate.bouyguestelecom.fr/bouygues-telecom-et-sfr-entrent-en-negociations-exclusives) & CP SFR - 22 juillet 2013 (http://www.sfr.com/presse/communiques-de-presse/07222013-2028-bouygues-telecom-et-sfr-entrent-en-negociations)
C'est dans la continuité de ce qu'ils font sur le fixe (adsl & ftth). J'ai hâte de voir comment ça va se passer en pratique! Étape suivante, un accord de partage entre Orange et Free? ::)
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J'y crois pas...
Mais où est passée la concurrence????
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C'est dans la continuité de ce qu'ils font sur le fixe (adsl & ftth).
Si ce n'est que c'était plutôt dans un seul sens jusqu'ici.
J'ai hâte de voir comment ça va se passer en pratique!
Itinérance ou RAN-sharing histoire de profiter des fréquences de l'un et de l'autre ?
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Mais où est passée la concurrence????
Concurrence par les services vs. concurrence par les infras ?
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Concurrence par les services vs. concurrence par les infras ?
Il me semble que le principe (oserais-je dire le dogme) de la concurrence par les infrastructures vient d'en haut?
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Ca fait quelques années déjà que la concurrence par les infras n'est plus l'unique mot d'ordre si on considère les MVNO ou l'entrée de Bouygues, Virgin et autres sur le fixe.
Article en relation:
Vers une mutualisation des réseaux
Un dogme de la libre concurrence bruxelloise est-il en train de tomber ? En France, comme ailleurs en Europe, les opérateurs de télécoms réfléchissent ouvertement à investir en commun dans leurs réseaux.
La semaine dernière, l'espagnol Telefonica a annoncé vouloir partager les coûts de son infrastructure au Royaume-Uni avec le britannique Vodafone. En France, Stéphane Richard, le PDG de France Télécom-Orange, a ouvert le débat dans une interview à L'Express, début mai, proposant à ses concurrents SFR et Bouygues Télécom de mutualiser leurs investissements pour la quatrième génération de réseau mobile (la 4G), qui devrait succéder à la 3G. Il a réitéré son appel lors de l'assemblée générale de son groupe, le 5 juin. "Avancer sur cette question, c'est un de nos chantiers prioritaires", confirme au Monde Pierre Louette, le secrétaire général du groupe.
Jérôme Yomtov, directeur général délégué de Numericable, un des principaux investisseurs dans la fibre optique en France (avec Orange), avouait aussi récemment : "Nous pourrions ouvrir notre réseau à France Télécom dans les villes où nous sommes déjà, et eux pas encore. Et vice versa." Même Bouygues Télécom a l'air intéressé : "Nous sommes ouverts à la mutualisation, sous condition", confirme au Monde la direction de l'opérateur. "Tout le secteur planche sur des scénarios", ajoute-t-on chez Free.
Il était jusqu'à présent entendu que sur ce marché, privatisé en France au milieu des années 1990, les opérateurs se faisaient concurrence d'abord par leur réseau. Le présupposé des régulateurs et des politiques, c'était que cela les inciterait à investir dans des infrastructures modernes, donc à faire avancer la technologie.
Chacun, de SFR à Bouygues Télécom, a donc maillé le territoire de ses propres pylônes et toits-terrasses (en ville), y a perché ses antennes, ses stations de base radio, a creusé ses tranchées, installé sa fibre optique, etc. A coups de milliards d'euros d'investissement. Free Mobile, le dernier venu sur le marché, a lui aussi l'obligation de déployer son propre réseau 3G : un quatrième, en plus des trois déjà construits dans l'Hexagone.
Qu'est ce qui a changé pour que soient envisagées des alliances jusqu'alors taboues ? Il y a d'abord un principe de réalité auquel plus personne n'échappe dans le secteur. La croissance européenne en berne commence à peser sur l'activité des opérateurs. Leurs réserves de développement s'amenuisent : sur le Vieux Continent, presque tout le monde dispose d'un téléphone et d'un accès à Internet. En France, l'intense guerre des prix déclenchée par Free Mobile va réduire leurs marges financières.
L'intérêt du partage de réseaux paraît évident : il leur permet de dépenser moins. Les analystes de la société CM-CIC Securities évaluent par exemple les économies à 450 millions d'euros par an pour Bouygues Télécom.
Le co-investissement est déjà une pratique courante dans les pays èmergents, quasiment sans réseau fixe préexistant, avec souvent de grandes zones désertiques très coûteuses à déployer. En Europe, les expériences se multiplient aussi : Telia Sonera et Tele2 disposent d'un réseau 3G commun en Suède. Orange a passé des accords en Espagne, au Royaume-Uni, en Pologne... Mais en France, de la théorie à la pratique, il y a une marge. Contrairement à d'autres pays, il faut faire avec les réseaux existants. "Si nous investissons en commun dans la 4G, ce sera sur des pylônes 3G, il faudra démonter une partie du matériel, cela aura un coût", remarque le dirigeant d'un opérateur. Il y a aussi des questions pratiques à résoudre. Qu'est ce qu'on partage : va-t-on jusqu'à mettre en commun les fréquences ?
Surtout, certains schémas d'alliances font peur. SFR et Bouygues Télécom voient d'un très mauvais oeil les liens a priori contre nature qu'ont tissé Orange et Free Mobile. Les deux ont signé en 2011 un accord d'itinérance : Free loue à Orange des droits de passage sur son réseau 3G en attendant que son infrastructure soit achevée. Un accord très rémunérateur pour Orange (environ 1 milliard d'euros sur trois ans) qui lui aurait donné des idées. L'ex-monopole serait en train de passer au scanner toutes les parties de son réseau pour les valoriser autant que possible. Free juge logique de prolonger l'accord 3G avec la 4G.
Un cauchemar pour leurs concurrents qui comptent sur la 4G pour faire la différence avec Free. Chez Bouygues Télécom, on veut bien partager, mais que dans les zones rurales, a priori non rentables. C'est déjà le cas dans les zones "blanches" (non couvertes) pour la 3G : les opérateurs partagent quelques milliers de pylônes.
Les choses bougeront à condition que l'Autorité de la concurrence et l'Arcep, le régulateur français des télécoms, se saisissent du sujet. Cette dernière instance a initié le débat sur le partage des réseaux 4G dans les zones rurales, pour donner un coup d'accélérateur au déploiement. Il lui faudra aussi se poser la question de la concurrence : en veut-elle davantage, ou moins ? L'Arcep a beaucoup plaidé, ces dernières années, pour l'arrivée d'un quatrième opérateur mobile. D'aucuns font remarquer, à juste titre, que quand on met en commun ses réseaux, on n'est plus très loin de la fusion complète.
Source : Le Monde (http://www.lemonde.fr/idees/article/2012/06/13/vers-une-mutualisation-des-reseaux_1717636_3232.html) le 13 Juin 2012 par Cécile Ducourtieux, Service Economie
edit: autre article en relation: Effet Free : SFR et Bouygues veulent partager une partie de leurs réseaux mobiles - La Tribune - 22 Juillet 2013 (http://www.latribune.fr/technos-medias/telecoms/20130722trib000776993/effet-free-sfr-et-bouygues-veulent-partager-une-partie-de-leurs-reseaux-mobiles.html)
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C'est quand même une petite bombe cette annonce. Sur la 4G ils vont donc être numéro 1 pour un bout de temps.
Pour les 2 c'est gagnant gagnant : Il était temps pour SFR, ça faisait quelques temps qu'on assistait à "beaucoup" de démontage de site pour peu de création (en île de France en tout cas, le ratio était déséquilibre) et pour BT avec sa réputation de couverture aléatoire, c'est un beau coup de pub en plus de sa couverture 4G N.1 en octobre.
Ça fait choc des titans Orange/Free vs SFR/BT
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C'est clairement une bonne nouvelle.
Et c'est logique. 2 entreprises peuvent très bien être concurrentes tout en étant partenaires, surtout s'il y a de gros investissements à réaliser et qui peuvent être partagés (R&D, infrastructures, moyens de production...). Et très souvent, ça fonctionne bien. Ici, les économies d'échelles sont importantes à faire. Construire 3 ou 4 réseaux concurrents en parallèle, sur une grande partie du territoire, ça n'a pas de sens que si les entreprises ont beaucoup d'argent (en trop) à dépenser.
Leon.
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bonne nouvelle ça!
par contre est ce que l'arcep va les laisser faire? j'ai un doute sur la question
le grand perdant dans l'histoire c'est free sur ce coup la...
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Y'a pas de perdant. Y'a que des gagnants : les actionnaires, et peut être les consommateurs si ces 2 boîtes s'unissent aussi pour déployer ensemble la ou ça capte mal
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sfr et BT vont qu'on même économiser un paquet d'argent avec ce partage, tout en ayant une meilleure couverture (normalement)!
si free ne fait pas pareil avec orange (ou autre), il va devoir sortir plus d'argent pour construire son réseau.
donc pour moi, free est perdant dans l'histoire,
sauf si il trouve quelqu'un avec qui partager les ressources (orange?).
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Pour les 2 c'est gagnant gagnant : Il était temps pour SFR, ça faisait quelques temps qu'on assistait à "beaucoup" de démontage de site pour peu de création (en île de France en tout cas, le ratio était déséquilibre)
Il y a un endroit pour suivre (comptabiliser) les démontages ? Parce que niveau déclarations le rythme est resté bien soutenu sur 2012 (un peu moins sur 2013).
par contre est ce que l'arcep va les laisser faire? j'ai un doute sur la question
Quand tu vois la mutualisation sur le fixe, tu te dis qu'il y a moyen que ça passe :)
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c'est clair free c'est le grand perdant, il est mort si il ne fait pas la même chose avec Orange.
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par contre est ce que l'arcep va les laisser faire? j'ai un doute sur la question
L'ARCEP (ou une autre autorité ?) a été saisie sur ce qu'il est possible de mutualiser ou non (suite à l’arrivée de Free Mobile) et les règles du jeux ont été données.
Je pense que l'accord Bouygues / SFR prend en considération ces règles du jeu. Si ce n'est pas le cas Orange va vite saisir la justice.
Sinon, vous avez compris ce qui est partagé ? Sur un réseau mobile il y a de nombreux niveau de partage possible. Par exemple une même antenne peut être utilisée par deux opérateurs qui ont chacun leur baie avec les équipements actifs.
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Sinon, vous avez compris ce qui est partagé ? Sur un réseau mobile il y a de nombreux niveau de partage possible. Par exemple une même antenne peut être utilisée par deux opérateurs qui ont chacun leur baie avec les équipements actifs.
Rien à comprendre car rien n'a été dit. Et il est possible que rien de concret ait été acté encore. Ce que je comprend c'est que les deux opérateurs sont d'accord sur le principe et il reste à définir les modalités techniques/financières.
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Pour rappel:
Autorité de la concurrence - Communiqués du 11 mars 2013 : Téléphonie mobile : mutualisation et itinérance (http://www.autoritedelaconcurrence.fr/user/standard.php?id_rub=482&id_article=2061)
Autorité de la concurrence - Avis n°13-A-08 du 11 mars 2013 relatif aux conditions de mutualisation et d’itinérance sur les réseaux mobiles - (pdf) (http://www.autoritedelaconcurrence.fr/pdf/avis/13a08.pdf)
edit: Zdnet.fr - Olivier Henrard, SFR : "l'accord de mutualisation nous permettra d'accélérer le déploiement 4G" - 23 Juillet 2013 (http://www.zdnet.fr/actualites/olivier-henrard-sfr-l-accord-de-mutualisation-nous-permettra-d-accelerer-le-deploiemen-4g-39792650.htm)
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sfr n'était pas de ceux qui gueulait parce que BT voulait réutiliser ses fréquences 2g pour la 4G?
parce que, à moins que je ne me trompe, cet accord concerne majoritairement le déploiement 4G (les réseaux 2 et 3G sont pour ainsi dire déjà là)
bon sinon, en admettant qu'orange ne se sente pas assez gros pour lutter contre SFRBT, et qu'il s'associe avec free (vraisemblablement en leur grande faveur), je ne suis pas convaincu que ce soit si profitable pour le consommateur d'avoir seulement 2 pôle, fussent-ils concurrentiels.
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sfr n'était pas de ceux qui gueulait parce que BT voulait réutiliser ses fréquences 2g pour la 4G?
Tout le monde a gueulé, mais c'est Orange qui a porté plainte sur le sujet.
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Oui Orange France à surement du "oublier" que Orange UK a fait du refarming en Angleterre, exactement comme ByTel en France ....
Est ce que Orange France va aussi attaquer Orange UK ?
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Quand tu regardes les actions judiciaires entre Bytel et SFR il y en a assez peu depuis les sociétés sont liées (c'est principalement Bytel qui loue à SFR même si SFR a eu quelques centaines de milliers de clients SFR ex-Club-internet sur le réseau racheté par Bouygues Telecom)
Il y a des affaires ou Orange et Free ont portés plainte contre SFR et étonnamment pas Bouygues Telecom.
SFR a renoncé à aller au procès pour l’utilisation du mot "fibre" pour de la fibre à terminaison coaxial.
=> Pour SFR, la fibre optique de Bouygues Telecom est une... illusion (https://lafibre.info/4g/bouygues-telecom-et-sfr-partage-du-reseau-mobile-en-approche/12/?action=post;last_msg=90675)
Orange par contre attaque tout ce qui bouge (et gagne sur certains trucs, comme le fait que Numericable avait dit être N°1 en fonction des résultats IP-Label => 2 points de mesure ne peuvent être représentatifs et Numericable a été condamné).
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Oui Orange France à surement du "oublier" que Orange UK a fait du refarming en Angleterre, exactement comme ByTel en France ....
Est ce que Orange France va aussi attaquer Orange UK ?
ce n'est pas le refarming est en cause mais la condition.
Orange dénonce un manque de transparence lors de l'appel d'offres sur les licences 4G, intervenu fin 2011. Les quatre opérateurs mobiles ont alors payé 3,5 milliards d'euros à l'État pour ces fréquences (dans la bande des 800 et 2600 MHz). Orange estime ne pas avoir été informé, au moment où il a dépensé plus d'un milliard pour ce précieux sésame, que l'Arcep autoriserait dès 2013 une autre bande de fréquences (le 1800 MHz) pour la 4G.
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Pourtant l'ARCEP avait publié plusieurs notes à ce sujet indiquant que le refarming serait autorisé. Faudrait retrouver ça...
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Oui, mais pas avant 2014 il me semble.
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Le 1er janvier 2015 , une loi européenne permet d'utiliser n'importe quelle fréquence pour n'importe quelle technologie.
Il ne sera plus possible de verrouiller les technos fréquence par fréquence.
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Le 1er janvier 2015 , une loi européenne permet d'utiliser n'importe quelle fréquence pour n'importe quelle technologie.
2016 non ? (d'après l'ARCEP, "au plus tard le 25 mai 2016").
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Désolé, c'était de mémoire.
C'est bien le 25 mai 2016 où n'importe quelle fréquence sera utilisable pour n'importe quelle technologie
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Signature de l'accord SFR/BT pour la fin de semaine d'après "les echos".
D'après les premières informations, il y a constitution/création d'une co-entreprise pour gérer les sites concernés comme préconisé par l'autorité de la concurrence. Par contre, rien n'a filtré pour l'instant sur la couverture de population/territoire qui sera concerné par cet accord, ni le type de mutualisation (passive, RAN sharing, mutualisation du patrimoine fréquentiel etc...).